Faut Il Toujours Lutter Contre Les Inegalites

détermination de l’éducation, si on éduque c’est que l’on se base sur un idéal. L’enfant et l’adulte, sont capable de finaliser l’idéal. Il devient donc aussi impossible de couper l’éducation de la société. Pour comprendre le système scolaire, il faut appréhender les aspects politiques, sociaux, toute la culture (et cela pour contextualiser sa réflexion). Le mot éducation peut avoir deux autres significations : Education d’un pays c’est à dire un système structuré de loi d’institutions, de programmes

la société, se sentant différent de ses autres camarades. Cela peut souvent se traduire par un échec scolaire. Cet échec scolaire aura inéluctablement des conséquences sur l’avenir professionnel de l’enfant, du fait de cette exclusion initiale. Il faut savoir qu’aujourd’hui en France ce type d'exclusion, concerne l'enfance de milliers d’exclus. Toutefois certains actes peuvent être relativisé car ils deviennent communs et banal dans notre société actuelle, tel que le divorce qui aura généralement

d’améliorer notre système éducatif. Selon Baudelot et Establet, il faut que les résultats des enquêtes PISA rentrent dans un débat public et qu’on en parle au lieu de les faire passer inaperçu. La comparaison internationale permet de souligner les limites de l’élitisme républicain que l’on peut observer dans l’école française mais également le fait qu’elle mette en place une culture du classement et enfin qu’elle tolère les inégalités et surtout qu’elle permette leurs reproductions. Nous avons pu voir

LE SPORT, MIROIR DE NOTRE SOCIETE ? Quelques problématiques centrales : • Le sport est-il un moteur ou un frein à la mixité sociale ? • Les champions sont-ils toujours des modèles ? • L’argent risque t-il de corrompre le sport ? • Les valeurs du sport sont-elles respectées ? • Quelles sont les fonctions sociales du sport ? • Jusqu’où peut aller la partisanerie ? • Le sport est-il une pratique réellement démocratique ? • Que révèle le sport

démocratie est une organisation sociale traversée par une exigence d'égalité. Pour mieux la définir, Tocqueville la compare à l'aristocratie. On peut noter que la démocratie est un système politique qui précède l’aristocratie dans lequel il existe toujours des inégalités sociales et économiques mais où chacun n’est plus obligé de passer d’une classe à une autre, où les frontières de l’Ancien régime ont disparu et où le maître peut devenir valet et inversement. Il va même jusqu’à dire que l’aristocratie amène

à relativiser. Première partie Selon la perspective marxiste, l'histoire de la société jusqu'à nos jours reflète la division de la société en classes sociales qui s'opposent dans une lutte ininterrompue, pacifique ou non. Marx distingue toujours au moins deux classes fondamentales : * les capitalistes ou bourgeois, classe dominante qui possède le capital et dispose ainsi des moyens de faire travailler autrui à son profit en pesant sur le cours d'achat de la force de travail * le

propositions avant d’ envisager un traitement des causes plutôt que des symptômes. C’est la pression des explosions régulières de violence qui met régulièrement au coeur des débats l’insuffisance des solutions actuellement mises en place pour lutter contre la discrimination. Le territoire le plus visible de l’exercice de cette discrimination est celui du travail et de l’embauche. Dans un article du Nouvel Observateur, Claude Askolovitch cite les propos de la sociologue Mouna Viprey qui constate que

Quelques textes contre le racisme Texte 1 A la rentrée des classes, regarde tous les élèves et remarque qu'ils sont tous différents, que cette diversité est une belle chose. C'est une chance pour l'humanité. Ces élèves viennent d'horizons divers, ils sont capables de t'apporter des choses que tu n'as pas, comme toi tu peux leur apporter quelque chose qu'ils ne connaissent pas. Le mélange est un enrichissement mutuel. Sache enfin que chaque visage est un miracle. Il est unique. Tu ne rencontreras

Qu'importent alors les capacités, les moeurs, la couleur de la peau ? Lorsqu'il s'agit des Droits de l'homme, il n'existe pour leur violation aucune excuse légitime. Pour la conclusion : Mais la lutte pour les Droits de l'homme ne se limite pas à la lutte contre le racisme, sous toutes ses formes. Les Nations Unies, sur ce point, ont malheureusement cédé à la facilité, parce qu'il était bien plus facile à notre époque d'obtenir l'accord de tous les gouvernements pour la dénonciation du racisme que de toute

la drôlerie de ces histoires ont pour but de s'adresser à l'intelligence des lecteurs et de susciter leur réflexion; l'essentiel, pour ce philosophe, reste la liberté de penser . Ces récits, à l'air inoffensif, sont en fait de véritables diatribes contre la société du XVIIIe et ses multiples abus, que nous aborderons plus loin. Ces fictions se veulent instructives et plaisantes afin d'aborder tous les sujets et, ceci, dans toutes les dimensions. De cette manière, les critiques acerbes et ironiques