Fanatisme Religieux

représentation  plus  ou  moins  fidèle de la scène de l’assassinat de Marc­Antoine.  Cette touche d’ironie était très plaisante.”    Les élèves  de  secondes,  ont  ainsi,  appris  beaucoup de choses à  propos  de cette fameuse affaire, et du fanatisme religieux qui s’abattait à cette période,  en France.  Les  élèves   de  secondes  félicitent  la  compagnie du  Grand  Théâtre,  pour  son excellente performance.        

historien et dramaturge. Son but était de vulgariser ses ouvrages pour les mettre à la portée de tous, et non employer un langage érudit au service d’une minorité. Son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il a écrit de nombreuses œuvres, les plus célèbres étant ses contes philosophiques Zadig et Candide. Candide ou l’Optimisme est donc un roman philosophique écrit en 1759 et paru à Genève par soucis de censure

effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il est cependant déiste et son idéal reste celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il agit d'ailleurs auprès des élites éclairées de l’Europe des Lumières en se servant

idées des nobles, qui n'avaient pas évolué. Le héros de l'histoire réussit sa vie et s'en sort malgré son ascendance non noble. • 1763 : Traité sur la Tolérance : Voltaire invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux et se bat contre les superstitions.

dans un puit. La population du Languedoc s’est levée contre ces deux familles avec rage les faisant coupable de crimes qu’elles n’ont pas commis. Celle-ci s’est laissé envahir par les préjugés et a fait preuve d’une terrible intolérance d’ordre religieux. La lutte contre l’intolérance est l’un des thèmes majeurs des philosophes des Lumières et le cheval de bataille de Voltaire. Il voit à travers la défense des Calas et des Sirven l’opportunité de concrétiser ses idées. Voltaire : un philosophe

tolérance est un essai philosophique (1763) où Voltaire développe ses idées contre le fanatisme et la persécution. • EXTRAIT : C’est un extrait du chapitre 23. Ce texte présente la forme d’une prière en apparence, sachant que Voltaire est déiste cette prière est détournée et s’adresse, non pas à Dieu, mais aux hommes. C’est un appel à la tolérance entre les hommes. Il montre que les pratiques ou les rites religieux sont des sources de conflits entre les hommes. Voltaire appelle à la liberté dans la

satirique à saveur philosophique, l’écrivain décrit l’aventure d’un jeune Huron, représentant typique du bon sauvage, qui débarque en France où il doit confronter une toute autre réalité : les institutions et les mœurs françaises sous les pouvoirs religieux et tyrannique du règne de Louis XIV. Cependant, une question se pose à la lecture de ce conte : le regard nouveau de l’Ingénu sert-il d’arme philosophique afin d’élaborer une critique contre la société moderne? Tout d’abord, l’Ingénu, représentant

leçon à tirer de cette lecture. Quand Voltaire dit qu'il faut cultiver notre jardin, il dénonce de nombreux travers de la société de son temps : l'esclavage ; l'oisiveté et la non productivité de noblesse, l'Inquisition, l'hypocrisie et le fanatisme religieux... . De plus, il invite le lecteur à constamment réfléchir, par exemple avec Pangloss, le fameux philosophe dont les théories sont remises en cause tout au long de la lecture.  Le divertissement du conte de Candide est une apparence pour dissimuler

de plaire à la divinité ou d'apaiser son courroux. Mourir pour une religion ne prouve pas qu'une religion soit véritable ou divine : cela prouve tout au plus qu'on la suppose telle. Un enthousiaste, en mourant, ne prouve rien, sinon que le fanatisme religieux est souvent plus fort que l'amour pour la vie. Un imposteur peut quelquefois mourir avec courage ; il fait alors, comme on dit, de nécessité vertu. Mourir pour une opinion ne prouve pas plus la vérité ou la bonté de cette opinion, que mourir

siècle. Il occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Il est aussi une figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre les fanatisme religieux (qu'il nommait «l’Infâme»), et pour la tolérance et la liberté de penser.Ces œuvres philosophique: Les Lettres philosophiques, le Traité sur la tolérance, le Dictionnaire philosophique portatif, les Questions sur l’Encyclopédie. Georges-Louis