Ethos

personnes que l’on est. A moins d’être complétement fermé, ça nous touche tous. Esthétiques très nombreuses.Problème contemporain : Rapport entre éthique et artEst-ce que ses réactions qui vont condamner une œuvre sont légitimes ?Moralis = ethikos > ethos : « caractère habituel »Éthologie : siens des comportements des animaux Éthique étudier les façons dont on se comporte, mais en même temps c’est lié à la moraleMorale manière de faire, de vivreDescartes ensemble des réflexions pour répondre à la

occasions - pour la réfuter ensuite. On réserve parfois le terme de prolepse à la mention du contre-argument, et celui d’hypobole à la réfutation de ce contre-argument. Cette figure présente divers intérêts : elle participe à la construction d’un ethos (voir cours 7) d’objectivité, d’impartialité, d’ouverture d’esprit, par la prise en compte d’un discours adverse dans un contexte monologal, elle neutralise de possibles objections que le destinataire passif pourrait formuler intérieurement ; dans

politique. D’autre part, les individus obéissent à un certain conservatisme des classes populaires. Ils produisent une opinion à partir de ce que Pierre Bourdieu appelle l’ « éthos de classe »: c’est un système de valeurs implicites que les individus intériorisent depuis l’enfance. Les réponses sont donc formulées à partir de cet éthos de classe, c’est le principe qui conditionne les opinions produites. L’enquête d’opinion traite l’opinion comme la somme des opinions individuelles or, dans la réalité sociale

leur orientation vers une fin. La bioéthique est un terme récent qui désigne les interrogations éthiques posées par les pratique médicales et biotechnologiques très récentes. Morale et éthique ont la même origine étymologique : moris (en latin) et ethos (en grec) signifiant la coutume (mœurs) ou l'inclination naturelle à agir (comportement)); la fin étant "ce pour quoi agit celui qui agit" (Aristote). En science expérimentale les causes finales (voir les 4 causes d'Aristote en sciences de la vie)

Philo : La conscience morale Le devoir moral est-il une entrave à la liberté ? Morale : latin mos, mores, manière d'être, manière de se conduire, moeurs. Ethique : grec ethos, manière d'être, manière de se conduire, moeurs. Distinction moeurs, morale, éthique : Il est question, dans les trois cas de figure, de prescrire des règles qui définissent ce qui est bien ou mal en matière de conduite humaine. Les moeurs définissent le comportement au quotidien au sein d'une société. Ex ; règles de bien-séance

importance de la famille : complicité père-fils très forte : pathos Concept de l’honnête homme : rapport à la raison qui fonde le libre arbitre et permet l’affranchissement et la liberté mais qui va en opposition avec la construction sociale : ethos (rapport au monde) Donc il n’y a pas d’action juste universellement, mais la justice pour tous (universelle) découle de la raison et du respect des lois : déclaration des droits et de la citoyenne ouverture sur l’éducation civique et le thème obligatoire

plus importante, « puisque la tragédie imite, non pas les hommes, mais l'action, la vie, le bonheur et le malheur. (…) L'histoire est le principe, et comme l'âme de la tragédie ; les caractères viennent en deuxième lieu. » (chap. VI) Le caractère (ethos) est « tout ce qui permet de qualifier le personnage en action » (chap. XV) La « pensée » renvoie à la rhétorique qu'utilise le personnage dans son discours. L’expression est « la manifestation de la pensée à travers les mots » et l' « agencement

 linguistique   -­‐  référent  :  rapport  au  monde.      Fonction  expressive  :  on  met  ce  que  l'on  veut  dans  le  message,  on  n'y  met  un  peu   de  soi  (ethos)   Fonction  conative  :  on  retrouve  un  peu  du  destinataire.   Code  métalinguistique  :  code  de  la  langue,  minimum  de  base   Message  :   fonction  expressive,

la dissociation de Philinte (une politesse générale et publique fondée sur des critères esthétiques et sociaux) Alceste oppose un monde monolithique conditionné par une seule valeur liée à la morale, et par là même, difficilement attaquable. 3) Un ethos démesuré Mais le raisonnement d’Alceste est moins fondé sur des sentences que sur des revendications personnelles. L’homme d’honneur (d’ordre général) que l’exorde montrait scandalisé est investi par Alceste lui-même « et si j’en avais fait autant… »

il en fait sentir la démesure et en soutient le déchaînement, au rythme oratoire de la période. - questions posées = quaestiones q structurent somme de théologie classique - polyptote = déclinaison du mot - enjambement qui mime emportement - éthos du prédicateur assertif - modalité aléthique = porte sur la valeur de vérité d’un énoncé (emploi du verbe être, emploi des articles indéfinis, du futur prophétique, de l’assertion constante) - le pronom personnel de première personne cède la place