Éternité

sur leur cendre ; Tu ne les rendras plus ! " Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s'aimer dans ton sein. III Eternité de l'homme, illusion ! chimère ! Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain ! Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés,

de chromos » → dérision, les visions d'helene sont représentés avec irrespect Hector veut « fabriquer une heure a nous » il veut avoir le sentiments de contrôler son destin / opposition avec les termes «  feuilleter vos gravure prêtes de toute éternité ! » Hélène voit rouge → couleur = vision importante sa aura lieu et Hector répond par ironie « la ville s’effondre, brûle » (rouge du feu) → incompréhension Fatalité a la fin de la seconde partie → Hélène sait et l'assume

Egyptien de la 3ème dynastie de l’ancienne Egypte. C’est le Pharaon Khéops qui s’est fait construire ce tombeau géant, qu’il considère comme une sépulture capable de défier le temps en restant inviolable et en conservant sa dépouille pendant une éternité. Elle fait 232 mètres de large et 146 mètres de haut et elle est composée de 3 chambres. Les pierres qui ont été utilisée pour la fabrication du monument ont été extraites des montagnes d’Arabie. Plusieurs milliers d’Egyptiens furent mobilisés pour

comparatif « comme » = la comparaison est le procédé qui structure le poème Personnification de la rose transformée en une magnifique jeune fille « Mois de mai » printemps Description au présent de vérité générale : ce qui est dit est vrai de toute éternité Vision assez traditionnelle qui est donnée de cette saison Renaissance de la nature : « en sa première fleur », « vive couleur », « grâce » Parfum évoqués : v.6 = « embaumant » 1er mot du vers | « odeur » Dernier mot du vers * HARMONIE =

on respect le feu de peur d’être brûlé. Feu et rêverie : Chaleur-> intimité-> foyer Invitation au repos-> rêverie Appel au changement, à la consomption. Complexe d’Empédocle-> le rêveur devant le feu (amour et respect du feu, éphémère et éternité, vie et mort). Feu sexualisé : « L’amour est la première hypothèse pour la reproduction objective du feu » Frottement : Les hommes préhistoriques ont fait le feu en frottant les mains avec des morceaux de bois et une roche. Le premier instinct

temps. Pourtant la dernière phrase du livre ouvre sur un nouvel espoir, un nouveau matin :«Ce n'est qu'à l'aube que Monsieur Marais s'en retourna à Versailles.» Le titre du roman de Quignard et du film de Alain Corneau créent un paradoxe entre une éternité d'horizons qui s'offrent à nous nous offre une nouvelle chance, et la le tragique de la vie. Quignard reprend les thèmes du mouvement baroque à savoir les illusions de la vie et sa fatalité, la vanité humaine et la puissance du temps face à la mort

jeunesse est éphémère. D’autre part, on constate la présence du champ lexical du temps dans les deux textes. Nerval utilise des mots tels que « passé », « adieu », « passait » et « fui ». Baudelaire emploie plutôt des mots plus soutenus comme « éternité » et « jamais ». Dans les deux poèmes, on trouve également des verbes conjugués au passé. Nerval utilise le passé composé « elle a passé » et « elle a fui », il signale un fait récent mais terminé. Baudelaire emploie le passé simple pour indiquer

universel - rythme ternaire « mères, courtisanes ou saintes » ==> englobe toutes catégories - opposition « grâce » et « gloire » ==> englobe toutes les vies - « débris d’humanité pour l’éternité mûrs » échos des sons donc insistance sur le mot « éternité » ==> englobe le temps II) 3 derniers quatrains : vision du poète A) un point de vue interne - énonciation à la première personne - v.73 « Mais moi, moi qui » ==> allitération en « m » pour s’opposer complètement à la vision des autres -

passé : caractère insaisissable de la femme, présente et absente (vie/mort)  - Le poème semble hors du temps. "souvent" : présent qui englobe passé, présent et futur. Aucune indication de quand se passe le rêve. "statues" (vers 12) : atemporalité, éternité et immobilité comme source de bonheur. II. La femme rêvée 1 - La femme aimée  Seule certitude : l'amour est réciproque "et que j’aime, et qui m’aime" (vers 2), "et m'aime et me comprend" (vers 4). C'est l'amour parfait : amour et compréhension

12 : "Ainsi le vent jetais l'écume de tes ondes" (le vent se jete pas) Strophe 5 vers 19 : "Le flot fut attentif" (un flot n'est pas attentif) Stophe 10 vers 37 : " Temps jaloux, se peut-il que ces moments ..." Strophe 12 vers 45-46 : "éternité,.... que vous engloutissez! " ( il leurs parlent comme si ces éléments étaient des êtres humains) Je pense que le poète romantique a besoin de toutes ces personnifications afin de faire passé son message plus subtilement , de façon romantique