Éternité

philosophique. Alors que la question : « suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis ? » est une question qui nécessite une interrogation philosophique. 3.Il n’est pas plus possible d’apporter une solution unique, irréfutable et valable de toute éternité au problème posé par le sujet. La question « peut-on avoir le droit de mentir ? », prendra un sens différent selon qu’elle se réfléchira dans le champ morale, épistémologique ou bien uniquement et exclusivement politique. 4.La question posée renvoie

pas « un empire dans un empire » (Spinoza) mais bien un des éléments de cet empire. L’homme n’échappe pas non plus à la finitude. A la mort. Individuellement et probablement aussi en tant qu’espèce. Ainsi F. Nietzsche écrit-il « il y a eu des éternités où il ne fut pas ; quand il aura de nouveau disparu, il ne se sera rien passé » insistant ainsi sur l’insignifiance de l’homme face à l’infini temporel et spatial. Certes l’homme se considère comme un « être à part » en ce sens qu’il est un animal

-Vers 9 « la nuit » est liée à la disparition et représente la solitude et la détresse -Les « … »représente la séparation du poème et marque comme césure entre deux textes -L’antithèse entre « fugitif »vers 9 et « éternité » vers 11qui accentue la soudain disparition B) L’espoir de la voir perdu - Baudelaire tente de revivre le moment en s’interrogeant

Alice Ferney a écrit 12 romans entre 1993 et 2020. Grâce et Dénuement est le 3ème et lui vaudra le prix Culture et Bibliothèques pour tous en 1998. "L'élégance des veuves" quant à lui, a été adapté au cinéma en 2016 par Tran Ahn Hung sous le titre "Éternité", avec Audrey Tautou, Bérénice Béjo, Mélanie Laurent.Présentation de l’œuvreGrâce et Dénuement a été publié pour la 1ere fois en 1997 aux éditions ‘Actes Sud’ et lui fera gagner son 1er prix. Ce n’est pas le plus gros succès d’Alice Ferney

changement ne se fait pas ‘’ d’âge en autre,ou,comme dit le peuple,de sept en sept ans,mais de jour en jour,de minnute en minute. ‘’ . Un changement ne se fait donc pas sur long terme,mais très rapidement.. Tout comme Don Juan,qui n’attend pas une éternité avant d’aller d’une femme à l’autre,et ne s’attarde pas sur l’amour d’une seule et unique femme.

5. à l'insu de... — без ведома 6. tiède - тепловатый, тёплый 7. encombrer - загромождать, заваливать 8. futile - пустой, ничтожный 9. désastre (m) - бедствие; разгром; крах, катастрофа 10. songe (m) - сновидение, сон 11. éternité (f) – вечность 12. adoration (f) - поклонение, обожание 13. s'agenouiller - стать на колени, преклонить колени 14. noce (f) – свадьба, брак 15. nuptial(-e) - брачный, свадебный 16. toqué (-e) - свихнувшийся, помешанный 17. ragot

Aragon Seule s’en suit la déception et l’amertume d’avoir cru à cette personne fallacieuse de la beauté. « renaître » // « tuer » Image maternelle, redonne vie au poète, une vie superlative car elle aurait pu être la médiatrice de l’idéal (« éternité »). Conclusion Une allée du Luxembourg, de Gérard de Nerval (Odelettes)

et garde moi à tes côtés. Mon amour grandit un peu plus chaque jour. Tu es gravé dans mon cœur. Tu es celui qui berce mes rêves, celui qui occupe mes pensées, celui que j'imaginais, celui qui me fait trembler et chaque seconde sans toi deviens une éternité. Sans ta présence à mes côtés, le temps ne veut plus progressé. Tu es bien plus qu'un simple amour, tu es désormais ma moitié ».

sont d'ordinaire les fripons qui conduisent les fanatiques, et qui ættent le poigtard entre leurs qains; ils ressenblent à ce Vieux de la llontaEFrequi faisait, ditoo, goûter les joies du paradis à des i-mbéciles, et qui leur pronettait r:ne éternité de ces plaisirs dont iI leur avait donné' un avant-ÉÎoOt, à condition. qu'ils iraient leur nomerait. fl n'y a eu qu'une seule reli-eion dans le a.ssassiner tous ceux qu'il nonde qui n'ait pas été souillée par le fanatisne, c'est celle des

passé : caractère insaisissable de la femme, présente et absente (vie/mort). Le poème semble hors du temps. « souvent » : présent qui englobe passé, présent et futur. Aucune indication de quand se passe le rêve. « statues » (vers 12) : atemporalité, éternité et immobilité comme source de bonheur. 2) Commentaire composée Paul Verlaine est née le 30 mars 1844 et mort le 8 janvier 1896 à Paris. En 1867, Verlaine connaît une première grande souffrance : sa cousine Élise, dont il était