Éternité

éclair… puis la nuit Fugitive beauté, Dont le regarde m´a fait soudainement renaître, il exprime une opportunité qui il sasse ne peut pas avoir mais il se demande à lui-même dans le « v.11 » si pourra être encore Ne te verrai-je plus que dans la éternité ? Dans la regarde de sa bien aimé par contre dans le « v.12 » Ailleurs, bien loin d´ici ! trop tard ! jamais peut –être ! Il exprime un sens d´ angoisse et de tristesse. Pour remarque cette partie Baudelaire utilise deux figures d´amplification

Les égyptiens croient en l'immortalité. Ils conservent les corps des morts en les embaumant (momie) à l'intérieur de sarcophages. Les plus riches se font construire des tombeaux gigantesques soigneusement décorés et richement garnis pour passer une éternité heureuse: Sont apparus en premier les mastabas, puis les pyramides, enfin les tombes de la Vallée des Rois (bien cachées pour échapper aux pilleurs). 2 p 26 : temple de Louxor Pour honorer leur dieux les égyptiens leur ont construit des temples

passante est vue comme une apparition divine ce qui devient inaccessible pour le poète. Ce symbole se développe à partir du vers 10 avec de nombreuses oppositions comme « regard et renaître »v10 s’opposant à «  ne te verrai-je plus »v11 ainsi que « éternité »v11 s’opposant aussi à « renaître ». A partir du vers 12, il y a une succession d’adverbes et de temps qui fait passer le lecteur dans une utopie. On se perd dans les pensées du narrateur : « Ailleurs, bien loin d’ici ! Trop tard ! Jamais peut-être 

du monde arabe. Ce texte est l’imaginaire croisé de trois histoires d’amour qui se rencontrent, Kais et Leila, Bouabdil et Grenade, et Aragon et Elsa. Par la forte expression de ses souffrances en amour, Aragon crée sa propre épopée, gage d’une éternité poétique.

n’est plus lui-même. » Ainsi, accepter la proposition d’immortalité de Calypso, c’est renoncer, au fond, à son statut de héros épique. Demeurer près d’elle, c’est rester dans l’oubli, être dépossédé de sa gloire posthume, pour ne gagner qu’une éternité anonyme, semblable à celle des « sans nom » de l’Hadès, ceux qui n’ont pas su s’assurer, par une vie ou une mort héroïque, de subsister dans la mémoire des vivants7. Il faut encore ajouter que Calypso laisse le choix, même s’il est relatif,

ou pas. Il sert donc de transition entre les épicuriens et les poètes du XIXème pour qui la mort est liée au désespoir. En 1830 Lamartine présente la faiblesse de l’Homme face à la nature. C’est donc ce parallélisme à travers le titre du poème « Eternité de la nature, brièveté de l’homme » qui présente très bien la pensée de ce siècle. Le poète est alors désespéré de la faiblesse de l’humain face à la puissance de la nature qui est immortel. Ce thème se retrouve chez d’autres poètes comme chez Baudelaire

liaison. Le couple se donne rendez-vous l’année suivante au lac, mais la jeune femme, malade, ne viendra pas. Dans « Le Lac », le poète évoque les lieux qu’ils ont parcourus et qu’il revoit seul. Seul le souvenir peut donner à son amour éphémère une éternité. Analyse : L’obsession du temps : Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : * La nuit * Le jour * L’aurore * Le soir * Les heures * L’année * Moments * L’éternité et des adjectifs qualificatifs

parfaitement, au bon moment. C'est en faisant comme si, que nous devenons. Plus on est relié à notre mission de vie et que nous sommes engagés dans le processus de transformation, plus le chemin pour y arriver se fait court et ce qui semblait une éternité devient maintenant une proximité. Comme un piston qui serait poussé au maximum et qui nous propulserait ensuite au sommet. On doit retrouver notre voix (voie) du coeur, celle de l'amour. Arriver à ressentir, peu importe les éléments extérieurs

est, pas d'erreur. ESTRAGON (piqué au vif) : Et après ? VLADIMIR (accablé) : C'est trop pour un seul homme. (Un temps. Avec vivacité.) D'un autre côté, à quoi bon se décourager à présent, voilà ce que je me dis. Il fallait y penser il y a une éternité, vers 1900. ESTRAGON : Assez. Aide-moi à enlever cette saloperie. VLADIMIR : La main dans la main on se serait jeté en bas de la tour Eiffel, parmi les premiers. On portait beau alors. Maintenant il est trop tard. On ne nous laisserait même pas

part un aspect religieux. -Nous pouvons dire que c’est un récit autobiographique car l’auteur nous fait part de son voyage mais le « je » souvent utilisé au début s’efface et disparait. -Le mot « clochets » évoque un nouveau départ vers le ciel : éternité. Et en autre partie le mot « gares » signifie lui un départ vers l’espace. -La 1ere strophe choisit des vers irréguliers mais une richesse en musicalité. -La 2eme strophe, elle utilise des allitérations en t (citer) et évoque l’appétit de l’auteur