Épicurisme

intellectuels serait confondre plaisir et satisfaction. MILL : « IL VAUT MIEUX ETRE UN HOMME INSATISFAIT QU’UN PORC SATISFAIT, IL VAUT MIEUX ETRE SOCRATE INSATISFAIT QU’UN IMBECILE SATISFAIT ». 3) Peut-on réaliser le bonheur en calculant ses plaisirs ? Epicurisme et Utilitarisme : rendent réalisable le bonheur humain mais rencontre des difficultés : - Ramène le bonheur à un état temporaire et incomplet - Impose un modèle au bonheur qui ne tient pas compte de la diversité - Suppose qu’il n’y a qu’un seul

associer au concept de passion. Conclusion Le concept de la passion en philosophie pose un problème complexe car elle s’oppose à la raison. La doctrine épicurisme dont le garant est Epicure comporte trois parties : la logique , la physique, la morale. La conception de la philosophie des épicuriens était basé sur la distinction des types de désirs. Ce qu’il faut comprendre n’est- pas plutôt le processus par

que le futur est incertain et que tout est appelé à disparaître. C'est donc un hédonisme d'ascèse, une recherche de plaisir ordonnée, raisonnée, qui doit éviter tout déplaisir et toute suprématie du plaisir. C'est un hédonisme a minima : c'est un épicurisme (Horace faisait partie de ces épicuriens de l'ère romaine). On peut rapprocher ce qui est devenu une maxime de ces mots tirés du même poème : Spatio brevi / Spem longam reseces, soit « Ôte le long espoir à tes jours comptés » (littéralement « Retranche

bonheur Une vision archétypale de deux modèles philosophiques et de deux modes de vie - Ce qui sous-tend le discours de Valmont est l’opposition entre deux modèles philosophiques bien connus même s’il sont quelque peu caricaturés : Stoïcisme et Epicurisme : le stoïcisme prône une forme de bonheur marquée par l’absence de trouble (ataraxie), pas de sentiments excessifs, une apathie de l’âme. La vision courante de l’Epicurisme (la philosophie est en fait plus complexe) est de jouir de la vie, le fameux

qu’offre la poésie par sa transmission à la postérité. Force nous est de reconnaître que le pari est pour l’instant gagné ! Ainsi, dans ce poème, on se trouve à mi-chemin entre épicurisme et baroque : la vie est brève, et la mort rôde sans cesse, est dans la vie, et non pas seulement à la fin de la vie. Mais surtout, on est dans une vision qui n’est pas forcément vraiment éloignée d’une vision plus moderne de la poésie, telle qu’on

de son temps, et de plus tard encore après : celle de l’immortalité, qu’offre la poésie par sa transmission à la postérité. Force nous est de reconnaître que le pari est pour l’instant gagné ! Ainsi, dans ce poème, on se trouve à mi-chemin entre épicurisme et baroque : la vie est brève, et la mort rôde sans cesse, est dans la vie, et non pas seulement à la fin de la vie. Mais surtout, on est dans une vision qui n’est pas forcément vraiment éloignée d’une vision plus moderne de la poésie, telle qu’on

hyperbolique (Comme s'il avait eu cent Bouchers à ses trousses / C'était une clameur à rendre les gens sourds / Tu nous étourdis tous). Son discours est répétitif et insistant (crierait, du haut de son gosier, Crierait tout du haut de sa tête). – A cet épicurisme mal compris, La Fontaine oppose la vraie attitude vraiment philosophique, tirée de Gassendi, (1592-1655). Philosophe et savant francais, Gassendi s'est d'abord fait connaître par ses attaques contre les théories d'Aristote ; il prit aussi part à

innocear (latin) = qui ne peut nuire • « souhait/ désir/ satisfait/ tranquille » : l’épicurien réfléchit à comment améliorer son bonheur Épicurien : ataraxie = travail sur soi  état de tranquillité, de quiétude grâce à un entraînement sur soit Épicurisme : profiter de l’instent présent, vivre ce qu’il y a de mieux c) La mise en valeur du narrateur « je » • « je » : insistance • « moi/ je »= mise en valeur après un hémistiche • « moi je » : statut prise de position catégorique • v 34= répétition

aucunement affecté par les remords de leurs actions et ne ce soucis pas du sens morale. Alors la punition risque d'être improductive dans l'amélioration morale du méchant pour certains criminels. 4. Question 5 : Comparaison entre épicurisme et scotisme Métaphysique Dans la Métaphysique stoïcienne, il n'y a en vérité pour eux qu'une seule divinité. Le cosmos selon les stoïciens est gouverné en sa totalité par une volonté divine, intelligente et bonne. Selon eux, il n'y a pas de mal

conséquences. Avant de répondre à cette question, il est nécessaire de rappeler que, pour les utilitaristes, si le bonheur individuel est la seule fin en soi, il n’en demeure pas moins que le bonheur d’autrui sert de moyen pour atteindre cette fin. Epicurisme : L'épicurisme professe que pour éviter la souffrance il faut éviter les sources de plaisir qui ne sont ni naturelles ni nécessaires. Il ne prône donc nullement la recherche effrénée du plaisir, comme beaucoup le pensent à tort. Cette vision erronée