Emma Et Le Bovarysme

grâce a Madame de Bovary , Education sentimentale et Julien Sonel. Madame de Bovary est un roman qui a fait scandale est a aboutit à un procès. Ce roman raconte l’histoire du bourgeoise de province : Emma, qui s’est fait une fausse idée de la vie et de l’amour à cause de lecture de jeunesse (bovarysme : c’est avoir le trait principal de Madame de Bovary, c’est a dire qu’il s’est forgé des idées très romanesque sur la vie : des idées fausse dû à une lecture intensive de romans de chevaliers galants)

culture des personnages sont opposées. Eugénie est l’allégorie de la campagne qui travail et semble émerveiller lors qu’un minimum de luxe apparaît tandis que Charles lui représente la ville avec un désiré de luxe constant. Il semble être en proie au bovarysme, il est le perpétuel insatisfait. Charles évolue donc dans un milieu aisé, a la ville et ne semble pas travailler. Au contraire du père Grandet il profite pleinement de sa fortune et ne change pas son comportement il ne sait s’adapter a la situation

seront clos par une désillusion brutale et retrouvant la raison, il développera une étonnante sagesse avant de mourir, entouré de l’affection et de l’admiration de son entourage. Quant à l’écrit de Flaubert, nous découvrons une jeune fille du nom de Emma Rouault, future Madame Bovary, qui a été placé dans un couvent pour y recevoir une bonne éducation et qui s’adonne, pendant son temps libre à la lecture où tout n’est « […]qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons

Charles commence l’histoire et la fini = cadre (bizarre car titre du livre « Bovary ») * Charles initial : pathétique * Charles fin : dimension attachante, mimétisme et compétition posthume * Charles devient un personnage romantique dès que Emma meurt * Homais fini l’histoire * Homais : étymologiquement = l’homme, incarne la réussite bourgeoise, tire des bénéfices de tout ce qu’il fait, usurpateur du rôle de Charles (c’est la réussite), opportuniste, rusé, tire profit, Flaubert lui

roman homonyme de Gustave Flaubert avec Isabelle Huppert (Emma Bovary), Jean-Francois Balmer (Charles Bovary), Christophe Malavoy (Rodolphe Boulanger), Lucas Belvaux (Léon Dupuis), Jean Yanne (Homais, le pharmacien), Christiane Minazzoli (Mme Lefrancois), François Périer (Le narrateur), Florent Gibassier (Hippolyte), Jean-Claude Bouillaud (Rouault), François Maistre, Thomas Chabrol, Jean-Louis Maury, Henri Attal. Fille d’un riche paysan, Emma aspire à une vie pleine de passions dignes des romans

de cette propension de l’esprit à tout enjoliver, à parer la réalité la plus triviale des feux de l’imagination. Flaubert dénonce un certain romantisme par refus de l’invraisemblance et haine des lieux communs. Il se moque de la littérature dont Emma se gorge au couvent : « Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu’on tue à tous les relais, chevaux qu’on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du cœur, serments

viennent de ses lectures : très souvent, des romans d’amour (à l’eau de roses) => ils circulaient en cachette (sous le manteau) dans les couvents. Emma Bovary -> (Flaubert) ->Bovarysme : incapacité à se satisfaire de sa situation, fait de rêver d’une vie qui n’existe pas. Autres oppositions :

longue date (l’avare, l’hypocrite, par exemple…) Flaubert pour sa part invente un type nouveau en créant le personnage de Madame Bovary à partir d’un fait-divers extrait d’une gazette de province. Il crée en quelque sorte un nouveau poncif : « le bovarysme ». Emma Bovary est-elle une exception ? On peut se poser cette question. Flaubert présente son héroïne comme une petite bourgeoise bien ordinaire, élevée au couvent. Mais il lui prête une énergie telle (cf l’article de Baudelaire sur Flaubert) que cette

structure du roman traditionnel.   Emma Bovary, lectrice passionnée de bluettes sentimentales, est victime de ses illusions et des aspirations qui excèdent sa condition de petite bourgeoise de province. Si le roman est une satire du romantisme féminin, il dénonce également un travers de la condition humaine. En poursuivant des rêves de bonheur tout aussi illusoires qu’inaccessibles, Emma incarne un type psychologique universel auquel elle donnera son nom, le bovarysme. D’autre part, il faut au romancier

de cette propension de l’esprit à tout enjoliver, à parer la réalité la plus triviale des feux de l’imagination. • Flaubert dénonce un certain romantisme par refus de l’invraisemblance et haine des lieux communs. Il se moque de la littérature dont Emma se gorge au couvent : « Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu’on tue à tous les relais, chevaux qu’on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du cœur, serments