Eloge Paradoxal Du Mensonge

le dramaturge. Cette tirade extrait de l’acte 5 scène 2 permet donc en même temps à Dom Juan de mettre en évidence son système de valeur fondé sur l'hypocrisie et à Molière, à travers cet éloge paradoxal, de lui donner une portée polémique. Le nouveau visage de Dom Juan De la vérité au mensonge Je sait *pas ce qu’il fallait mettre ici mon paulo *d’amour ^^ ; Les avantages de l’hypocrisie Mise en relief de l’hypocrisie : L’hypocrisie : Permet de continuer

ait tué bien des gens ») Une prétention ridicule (ex. : éloge de Diafoirus père sur le savoir de son fils qui vante le fait que son fils ne change jamais d’opinion , « qu’il s’attache aveuglément aux opinions des anciens, et que jamais il n’a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle, touchant la circulation du sang », cet éloge est paradoxal car il construit l’image d’un homme borné qui ne tient son savoir médical que

à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste c’est décrire les meurs, en étant pessimiste, en mettant en avant les misères des hommes tels qu’ils sont. « Le cœur est creux et plein d’ordures » Pascal. - Chef d’œuvre paradoxal. Parmi les grands chefs d’œuvre du 17ème

moyen de le connaître, et on entre dans la fiction par le « flux de conscience ». Le personnage, qui déteste l’odeur des autres, est saisi dans son langage, ses obsessions, ses habitudes, sa vision du monde. Critique avec argumentation (assez paradoxale) : statistiques (pseudo-preuves), « journal » (l.2) : argument d’autorité. Raisonnement distendu, par bribes, et ellipses. « sociologue » ; terminé par « y’a pas de raison » = échec. « d’un autre côté » : utilisé pour l’argumentation mais à mauvais

 L'auteur fait un éloge de l'art. Il le décrit unissant la liberté, l'expression et la gloire. --- II. Victor Hugo s'adresse à la France et semble exprimer l'idée que son chant la protège (ce peut être le chant des opposants).   X. Chanson A travers l'analogie du festin, l'auteur semble exprimer que les gens aisés s'enrichissent et s'engraissent sur le dos des pauvres. Il note son dégoût pour ces pratiques et n'envie en rien leur situation.   XI. Oh ! je sais qu'ils feront des mensonge sans nombres

personnages : DJ et S. II) L'Ambiguïté des personnages 1. Sganarelle .L’ambiguïté des relations avec DJ « le plus gd scélérat » - >donc hypocrite - oxymore : soumission et domination - fascination : (l.65) « ce serait un chapitre » - imitation : éloge du tabac .L’ambiguïté de rôle par rapport à DJ - moral, pensée 2. Dom Juan - 2 visions : G/ le séducteur virtuose – énumération du Gusman S/ le dégoût – hyperboles - DJ est-t-il maître de la situation ? Sganarelle en parle comme d'une machine qui

LES LIEUX ACTE I : Lieu : intérieur : un palais Scène 1 La pièce s’ouvre sur un éloge étonnant du tabac . Il s'agit en fait d' un éloge paradoxal, c'est à dire l'éloge de quelque chose que l’opinion commune a tendance à condamner, c'est une pratique rhétorique que l'on retrouve tout au long de la pièce avec l'éloge de l'inconstance (I/2) et l'éloge de l'hypocrisie (V/2) faits par Dom Juan. Ici l'éloge paradoxal développé par Sganarelle, personnage comique, prend l'aspect d'un discours solennel

Dell’Arte qui nous renvoie à une arlequinade. L’agitation des personnages, l’ardeur avec laquelle ils racontent leur expérience de la noyade amuse, la façon qu’ont Lucas et Pierrot de parier sur les noyés fait rire par la cruauté qu’elle dégage, c’est paradoxal mais puisque la scène se termine bien pour le « noyé » il n’y a pas de raison de ne pas en rire. Dans la scène trois, on a un parfait exemple de ce que l’on peut qualifier d’agitation : le fait que Don Juan passe aux mains pour combattre Pierrot

| ACTE I : Lieu : intérieur : un palais Scène 1 La pièce s’ouvre sur un éloge étonnant du tabac . Il s'agit en fait d' un éloge paradoxal, c'est à dire l'éloge de quelque chose que l’opinion commune a tendance à condamner, c'est une pratique rhétorique que l'on retrouve tout au long de la pièce avec l'éloge de l'inconstance (I/2) et l'éloge de l'hypocrisie (V/2) faits par Dom Juan. Ici l'éloge paradoxal développé par Sganarelle, personnage comique, prend l'aspect d'un discours solennel

 de  se  réconcilier  avec  le  Coadjuteur.   Référence  à  Mme  Robinet.  Aventure  de  M.  Busche.     13.  SA  FILLE,  11  février     Ê Plainte  à  cause  de  la  lettre  manquante.  Eloge  du  style  de  MdG.  Douleur  de  la  séparation.   Ê (le  soir)  Arrivée  de  la  lettre  =  rire.  Ne  pense  qu’à  elle.  Mention  de  sa  petite-­‐fille,  Marie-­‐Blanche.     14.  SA