Eloge Paradoxal Du Mensonge

directes Conclusion La stratégie de séduction de Dom Juan fonctionne, il met en pratique sa stratégie de manipulation, son côté libertin habile > efficace. Il abuse d'une âme naïve, mais met un effet comique en mettant les spectateurs de son côté. Éloge à Charlotte. Acte II, Scène 2 Introduction: Dom Juan est une des pièces les plus appréciées du public. Écrite en 1665, d’après une œuvre de Tirso de Molina, c’est une pièce qui est envoûtante et qui, aujourd’hui est devenue un véritable mythe. Cette

sensualité », dont l'occupation principale est la séduction des femmes, qu'il exerce comme un dieu, avec enthousiasme et habileté et il justifie son inconstance par sa poursuite incessante de la beauté. Il sait être démonstratif et convaincant, capable de mensonges, de fausses promesses ou d'hypocrisie si nécessaire. Sa principale caractéristique est cependant l'athéisme avec toutes les conséquences que ce choix de libre penseur implique dans la société de son temps. Il ne craint pas le Ciel, auquel il ne

libertinage : la vertu d’une honnête femme qui est de « s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son mari et d'en être aimée ». Singulier éloge du mariage « d’inclination » en un siècle où le mariage d’intérêt est la règle ! Mais pour atteindre ce bonheur, il ne suffit pas de se prémunir du mensonge des hommes, il convient tant « il était difficile de conserver cette vertu » de se préserver des tentations « par une extrême défiance de soi-même ». Ainsi la mère se

et conquérant du personnage mis au service de sa perversité puis une certaine faille qui heurte notre logique. PARTIE I: son esprit stratégique et conquérant mis au service de sa perversité un peu plus tôt dans sa tirade, DJ avait fait une éloge paradoxale de l'infidélité présentée comme une justice à la beauté des femmes. Chaque conquête féminine devient pour lui un véritable combat: champ lexical de la guerre présent dès les premières lignes: « réduire » « combattre » « rendre les

libertinage : la vertu d’une honnête femme qui est de « s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et d’en être aimée ». Singulier éloge du mariage « d’inclination » en un siècle où le mariage d’intérêt est la règle ! Mais pour atteindre ce bonheur, il ne suffit pas de se prémunir du mensonge des hommes, il convient tant «  il était difficile de conserver cette vertu » de se préserver des tentations «  par une extrême défiance de soi-même ». Ainsi la mère se

question de la sincérité se pose dans nombre de domaines : dans nos relations avec les autres et avec nous-mêmes, dans notre usage du langage ; elle soulève un problème de morale, elle engage notre volonté et elle détermine notre rapport avec le mensonge. Suis-je sincère ? Comment l’être ? Faut-il l’être ? Autant d’interrogations que nous nous sommes déjà faites et auxquelles il n’est pas facile de répondre. C’est en cela que le thème de la sincérité intrigue et intéresse. Il me semble que notre

personne, d’une activité, d’un groupe, d’une société qu’elle caricature et dont elle dénonce les vices et les ridicules. L’ironie : qui s’appuie principalement sur le procédé de l’antiphrase, consiste à dire le contraire de ce que l’on pense. Ainsi, un éloge s’avère être en fait une sévère critique. L’écriture ironique qui englobe l’humour et l’absurde, crée une grande connivence avec le lecteur qui comprend qu’il doit chercher le sens du texte au delà du sens premier. C’est un instrument efficace au service

conflit de valeurs (enjeu psychologique) A Affrontement sous forme de double jeu (jeu de masques ou jeu de la sincérité ?) a) Thème du jeu conduit par le questionnement de C (« crois-tu… ? ») - Sincérité vraie ou feinte ? les circonstances sont paradoxales : C a fait convoquer Ch par un garde, il l’attend « engoncé dans son manteau » qui cache la tablette, le fait asseoir et « naturel pour la première fois depuis le début de la pièce » semble vouloir « baisser la garde » sans que le spectateur ne

libertinage : la vertu d’une honnête femme qui est de« s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et d’en être aimée ». Singulier éloge du mariage « d’inclination » en un siècle où le mariage d’intérêt est la règle ! Mais pour atteindre ce bonheur, il ne suffit pas de se prémunir du mensonge des hommes, il convient tant «  il était difficile de conserver cette vertu » de se préserver des tentations «  par une extrême défiance de soi-même ».Ainsi la mère se fait

François Rabelais) créé une connivence avec ses lecteurs-élèves et les invite à suivre les fantaisies de son raisonnement. Il leur adjoint une autre catégorie les « fous oisifs » faisant référence indirecte au livre de son maître humaniste Erasme, Eloge de la folie, où celui-ci considère que la folie constitue la vraie sagesse. La folie, la divagation de l’esprit dans une sorte d’inversion carnavalesque mènerait à la vérité et à la raison. § : Interpellation et vouvoiement à chaque phrase du § pour