Eloge De La Méchanceté

directes Conclusion La stratégie de séduction de Dom Juan fonctionne, il met en pratique sa stratégie de manipulation, son côté libertin habile > efficace. Il abuse d'une âme naïve, mais met un effet comique en mettant les spectateurs de son côté. Éloge à Charlotte. Acte II, Scène 2 Introduction: Dom Juan est une des pièces les plus appréciées du public. Écrite en 1665, d’après une œuvre de Tirso de Molina, c’est une pièce qui est envoûtante et qui, aujourd’hui est devenue un véritable mythe. Cette

s’intéressant en particulier aux feux follets au cours d’expéditions nocturnes dont l’une, où ils furent poursuivis, leur fit échapper au danger causé par la destruction de la passerelle du «Saut de la Trogne», destruction due au vicomte dont «la méchanceté n’épargnait personne», et qui continuait à multiplier les condamnations à mort. La joie ne subsistait plus que chez les lépreux du village de Préchampignon, dont Trelawney, plutôt que de les soigner, s’éloignait avec effroi. Le vicomte se mit à

fait différentes révélations dont l’abandon de ses cinq enfants aux Enfants-Trouvés. Cet extrait du livre VIII justifie d’une certaine façon l’acte de Rousseau, ce dernier donnant plusieurs raisons qui causèrent les cinq abandons. Exaspéré par la méchanceté d’autrui, il souhaite à travers Les Confessions montrer sa véritable nature. Comment Rousseau affirme t-il alors son innocence ? Pour le savoir nous étudierons tout d’abord la justification de Rousseau au regard du public. Toutefois cette entreprise

par Dom Juan et cela est souligné dès la scène d’exposition. En entamant son éloge paradoxal du tabac, Sganarelle tente d’imiter son maître pour se donner de l’importance. La vente du tabac ayant été interdire sous Louis XIII, son prix devenu élevé avait rendu le tabac un luxe de seigneur ; or le valet tient une tabatière, appartenant peut-être à Dom Juan. Sganarelle défonce avec des termes forts le libertinage, la méchanceté et l’athéisme de son maître, mais il essaye parfois d’imiter son maître :

travaillaient » triple opposition « et dans l'endroit du pays le plus écarté (...)vie heureuse et tranquille » générationnelle, spatiale et morale termes péjoratifs associé au 1er T condamnation morale a travers la connotation des noms « méchanceté » « propre injustice » « compatriotes indignes de leur présence » Il se soucie de construire un monde à l'envers de l'ancienne accumulation de subordonnée juxtaposées « que » « que vouloir » « que la vertu » « qu'il ne fallait » phrase déclarative

oriente vers une autre interprétation : D.J. et sa destinée tragique . On peut donc parler de pièce baroque et de tragi-comédie . LES LIEUX ACTE I : Lieu : intérieur : un palais Scène 1 La pièce s’ouvre sur un éloge étonnant du tabac . Il s'agit en fait d' un éloge paradoxal, c'est à dire l'éloge de quelque chose que l’opinion commune a tendance à condamner, c'est une pratique rhétorique que l'on retrouve tout au long de la pièce avec l'éloge de l'inconstance (I/2) et l'éloge de l'hypocrisie

la leçon politique. → Paralysie radicale du corps = conséquences évoquées de façon rapide et négative → la leçon, le dénouement de l’histoire est clair, explicite. Le refus du peuple d’assurer son rôle → Condamnable. * Leçon politique : éloge du roi. - Echange, union nécessaire qui doit exister de façon constante entre le roi et ses sujets. Réciprocité appuyée par le rythme, coupe à l’hémistiche → régularité, équilibre, interdépendance, enjambement. Vers 24-25 « Royale », « égale » rime

une insistance sur le fait que l’on parle, dans ce cas, seulement des guerres des cannibales et non des européens. Il les illustre de “chose émerveillable (l. 4), émerveillable vient de merveille, du latin “mirabilis“ qui veut dire admirable, cette éloge de la guerre fait penser à un conte ou un récit épique ce qui est le contraire de la pensée des européens. Montaigne atténue, banalise même ce qui est normalement très choquant “qui ne finissent jamais que par meurtre et effusion de sang“ (l. 4-5)

enfantin peut tout à fait se rallier à une narration plus longue, à un schéma quinaire plus complexe, du moment que le registre merveilleux le fascine et capte son attention : "Les Fées" met en scène deux sœurs que tout oppose (l’aînée affiche une méchanceté sans vergogne, la cadette est l’allégorie de la bonté et de la générosité) ; la benjamine, que sa mère inique charge de toutes les corvées, se rend un jour chercher de l’eau au puits ; elle y rencontre une pauvre femme, âgée et chétive, qui lui

de Dom Juan, s’entretient avec Gusman qui est l’écuyer (serviteur) de Done Elvire, la femme que Dom Juan a enlevée d’un couvent et épousée. La pièce commence par un éloge burlesque du tabac (qui annonce l’éloge de l’inconstance, par Dom Juan, à la scène suivante) : on a l’impression de prendre le dialogue en cours de route. Cet éloge du tabac est une provocation de Molière à l’égard des dévots (après la censure de Tartuffe (suite à la cabale des dévots), Molière ne se soumet pas mais continue son