Eloge De La Méchanceté

donnée. Le problème énoncée ici est celui du rapport entre politique et morale. Machiavel commence ce chapitre par une louange adressée aux princes fidèles: "Combien il est louable à un prince de tenir sa parole,(...) chacun en convient". Mais, cet éloge est de courte durée, et s'avère être totalement ironique Il est en effet tout de suite après contredit par l'expérience du penseur: "Les princes qui ont fait de grandes choses sont ceux qui ont tenu peu compte de leur parole", ceux qui, "grâce à la

également le grec ancien au Trinity Collège de Dublin de 2001 à 2002. Il se marie en 2004 avec Corine, suissesse rencontrée à Dublin. Ils ont trois enfants : Victorine (30/10/2004), Augustin (31/03/2006) et Céleste (03/01/2011). Son premier ouvrage, Éloge de la faiblesse, paru en 1999, a été accueilli par le prix Mottart de l’Académie française de soutien à la création littéraire et le prix Montyon 2000 de littérature et de philosophie. Il a été mis en scène en 2007 par Charles Tordjman au théâtre de

retour de Rousseau sur cet épisode qu’il l’a particulièrement marqué. Ce retour s’effectue en plusieurs étapes : le passage de la ligne 1 à la ligne 12 constitue la révélation à proprement parler ; de la ligne 12 à la ligne 21 Rousseau propose un éloge de sa victime, Marion ; enfin le reste de l’extrait est un récit de la confrontation entre le menteur et sa victime. A travers cette composition et à la lecture du passage, il semble intéressant de s’interroger sur la manière dont le récit rétrospectif

Henri FOCILLON (1881-1943) “ Éloge de la main ” 1934 Un document produit en version numérique dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi Site web : http ://bibliotheque

le moins réconfortant. C'est à ce moment qu'on se rend réellement compte que Dom Juan n'est pas qu'hypocrite avec les femmes, mais que c'est un personnage totalement immoral et rempli de vice. Il ne le cache pas puisque peu après il se laisse à une éloge de l'hypocrisie, qu'il décrit comme un pouvoir, un moyen d'assouvir ses besoins et de se protéger. Survient alors un spectre en femme voilé qui le prévient qu'il à encore une dernière chance de se repentir, sceptique il refuse de se laisser impressionner

l’œuvre, Suzanne est envoyé au couvent par ses parents et par obligation. Donc, je m’attendais à un roman qui éloge les couvents. J’ai été surprise par le comportement de Suzanne qui montré un caractère solide et fort quand elle apprend la vérité sur elle et quand elle subit les maltraitances au couvent de Longchamp. Tout au long du récit, j’ai été surprise d’un côté par la méchanceté de certains personnages comme la mère Sainte-Christine qui met tout en œuvre avec les autres habitantes du couvent

rassemblant les souvenirs ; cf le « tableau »  poétique  qui « réchaufferait » l’âme morbide du poète ; enfin, le « tambour » des vers qui « soûlerait son cœur »… La poésie comme planche de salut, en somme ! L’ALBATROS Intro : poème fort connu, éloge du poète, topos romantique du poète-oiseau : cf. Alfred de Musset qui se comparait au « pélican », par des temps de famine « donnant son cœur en pâture à ses petits » ( ici = lecteurs) ; ou encore Lamartine, se comparant au cygne, et à son chant (« les

lieu de Giraudoux. • Le dialogue permet aussi de souligner la différence entre les personnages, leur discours est marqueur de leur mentalité. Ex : Dom Juan est un beau parleur (Cf. son approche des femmes), il manie très bien la rhétorique (Cf. son éloge de l’hypocrisie) => pas le même discours, pas la même manière de parler que Sganarelle.                 B- Le débat d’idées. • Importance du dialogue argumentatif, forme vivante, héritière du dialogue philosophique. Ex : dans une des pièces de

aussi de souligner la différence entre les personnages, leur discours est marqueur de leur mentalité. Par exemple, dans Dom Juan, Dom Juan est un beau parleur (par rapport à son approche des femmes), il manie très bien la rhétorique (par rapport à son éloge de l’hypocrisie) ; il entre en conflit avec la société et aura une fin tragique. Le débat d’idées est propre au théâtre, l’importance du dialogue argumentatif, forme vivante et héritière du dialogue philosophique. Chaque personnage défend sa thèse

l'ermite le principe de base de la métaphysique donjuanesque : SGANARELLE : Vous ne connaissez pas Monsieur, bonhomme ; il ne croit qu'en deux et deux sont quatre et en quatre et quatre sont huit. L'intervention de Sganarelle est faite sans méchanceté aucune ; elle n'a pas d'autre but que de prévenir Le Pauvre de la nature réelle de son interlocuteur, une manière de dire :"N'insistez pas !". Mais Dom Juan est décidément curieux d'en apprendre plus sur cet homme qui, de fait, est son antithèse