Eglise Et Société Féodale Du Ix Au Xi

c'est-à-dire que le droit romain cause dans l’installation des droits locaux étant donné que les coutumes sont propres à chaque région. La coutume, en cas d’incertitude, peut être précisée par le roi mais aussi, après consultation, d’un siégé local (ex : église, noblesse). En aucun cas, le roi de France ne peut changer la coutume de manière autoritaire. Les rédactions de ces coutumes sont rédigées sur consultation d’assemblées appelées les « Plaids ». Elles sont importantes dans le Droit privé et influencent

.......................................... 16 Séance 4 ........................................................................................................................................................................ 22 L’ELEMENT GERMANO-FEODAL : ............................................................................................................... 22 Les institutions et les relations interindividuelles, Ve - XVIIIe...............................................................

partager.) Là, où il y a la société, il y a le droit. Le droit doit inspirer les hommes dans leur organisation politique et sociale. Les hommes vont produire un droit positif. Il est oral ou écrit. Selon Paul Ricker : La Mémoire, l'Histoire et l'Oubli, l'Histvoire est un récit que l'on nous a transcrit. L'Histoire reçue est une histoire officielle. L'Histoire du droit est un outil. Genèse de l'Etat morderne puis de l'Etat contemporain. Place de l'individu dans la société.

normes, il faut rappeler que le droit est lié à la société, comme les religions le sont. Il n'y a pas de société organisée sans droit, ni sans transcendance (sans religion), la preuve : les tenants de la laïcité la plus rude veulent créer une religion républicaine, voire une religion mondiale. Pas de société organisée sans normes. « Ubi societas, ibi jus » qui veut dire « Là où il y a une société, il y a du droit ». C'est évident. Si, dans une société le droit est menacé, si les normes sont dévalorisées

donnent l’impression qu’à la différence des Mérovingiens, ils vont pouvoir rétablir, imposer l’ordre, la paix, donc l’unité. Cette espérance se solde par un échec et l’on peut dire qu’à partir des années 888, l’époque dite féodale succède à l’époque carolingienne. Les temps féodaux sont les temps de la diversité, du morcellement territorial, ils se caractérisent par l’extrême faiblesse du pouvoir royal à partir du IXème s. avec la consécration de nouvelles relations socio-politiques entre les personnes

trouble pas l’ordre public établi par la loi », la Révolution commence d’ailleurs par tenir ses promesses en achevant d’émanciper les minorités religieuses. Le statut du catholicisme dans la nation suscite de vifs débats, d’autant que la fin de la société d’ordres remet évidemment en question la place des clercs. Les protestants se montrent d’abord plutôt favorables à une Révolution qui met à mal la prééminence du catholicisme. Le vote par l’Assemblée de la constitution civile du clergé, le 12

doivent obéissance au roi, le respect des autorités vient de l’attitude commune de la population. L’Ancien Régime est très marqué par la religion chrétienne qui est la religion du roi. Cette religion chrétienne est donc la base de la société d’Ancien Régime à société d’ordre. On observe donc une tripartition : le clergé (ceux qui prient, les ORATORES), la noblesse (ceux qui combattent, les BELLATORES),  et le tiers-état (ceux qui travaillent, les LABORATORES). Pour la France, la dynastie

Mésopotamien se considère comme une révélation : le Code d’Hammourabi, roi de Babylone qui a réunifié la Mésopotamie en 1750 av JC, proclame le respect envers le Dieu Shamash (le soleil et la justice) qui avait lui-même dicté le code au roi. Dans ces sociétés le Droit s’approche plus de la morale et a un but de conservation sociale. L’ordalie est aussi un signe de l’imprégnation religieuse puisqu’il s’agit d’un jugement divin accompli en l’absence de toute preuve (voir aussi Droit hébreux) On peut considérer

autorité du roi. La royauté dirige la vie économique dans une large mesure. Section II: La subordination de la société I- La noblesse et la cour La royauté a permis de mettre au pas une noblesse qui a souvent été indocile et turbulente. Dans la première moitié du 17è, la noblesse reste un danger pour le pouvoir royal. Effectivement, les grands seigneurs persistent à se comporter en féodaux et dans les périodes de faiblesse monarchique ils tentent de s'imposer. Ils prétendent exercer la réalité du

l'identité du droit). Quel est le passé du droit pour mieux le comprendre et comprendre quel en sera son avenir. C'est du droit comparé à travers l'Histoire. L'apport et la force permanents du droit. Il y a toujours eu du droit dès qu'il y a eu une société. Le cours va nous montrer que les règles juridiques changent souvent. Donc, ili y a une grande relativité des règles du droit, alors il ne faut pas absolutiser le droit, une norme. Elles sont toutes relatives. Elles changent, elles ne sont pas assacralisées