Edit Thessalonique

Rome Citoyenneté universelle aspirée par les empereurs : facilite les échanges commerciaux, influence des stoïciens (vivre en accord avec la nature et la raison) : aboutissement politique et juridique en 212 ap JC : un empereur (Caracalla) prend un édit qui va accorder la citoyenneté à tous les étrangers qui en 212 habitent l’empire romain, ne compte que pour le présent et pas pour le futur ; les « deditis » : les anciens esclaves affranchis sans respecter les formalités d’affranchissement du droit

Constantin. En effet, Constantin s’est converti à la religion chrétienne. Il accorde des privilèges à la religion chrétienne, et reconnait aux évêques le pouvoir de juger les chrétiens : « C’est un pouvoir de juridiction ». Deuxièmement : L’édit de Thessalonique 380 : L’empereur Théodose (littéralement, consacré à Dieu) 1er , fait du christianisme, la seule religion officielle d’Etat. La religion chrétienne est imposée à tout l’Empire. Les autres religions et autres cultes sont condamnés. On considère

romain, une socialisation de ce droit. Au début de son "mandat" d'un an, il va annoncer son "programme" juridique, il dit ce qu'il va défendre durant un an, ce programme s'appelle "LES EDITS" du prêteur. Il a cependant la possibilité de prendre un édit exceptionnel afin de défendre une cause qu'il n'a pas éditée au début de son mandat. Le mauvais point dans ce système est qu'on assiste à un droit totalement instable. Mais vers 250 av JC, chaque nouveau prêteur va reprendre les promesses de son prédécesseur

romain, une socialisation de ce droit. Au début de son "mandat" d'un an, il va annoncer son "programme" juridique, il dit ce qu'il va défendre durant un an, ce programme s'appelle "LES EDITS" du prêteur. Il a cependant la possibilité de prendre un édit exceptionnel afin de défendre une cause qu'il n'a pas éditée au début de son mandat. Le mauvais point dans ce système est qu'on assiste à un droit totalement instable. Mais vers 250 av JC, chaque nouveau prêteur va reprendre les promesses de son prédécesseur

valeurs égales. On obtient un mariage isogamie. Egalité de richesses, mais pas de consentement (sentiments). Section 3 : le mariage en droit canonique, l’époque médiévale. En 380, le christianisme est reconnu comme culte religion de l’empire (édit de Thessalonique). La religion chrétienne veut affaiblir la famille romaine, païenne, et l’entre des évêque dans les plus hautes instances de l’empire va influence le droit matrimonial. La doctrine de l’Eglise connaît trois principes : 1° le mariage est monogame

chrétien doit être autorisé dans tout l'empire. Ces conférences sont bientôt appelées Édit de Milan. Une véritable politique de tolérance se met en place. Les biens confisqués sont rendus. Constantin met en place un régime de faveur. Les évêques ont un pouvoir de juridiction. Les clercs sont exemptés d'impôts. 2- L'édit de Thessalonique de 380 En 380, l'empereur Théodose Ier prend à Thessalonique un édit qui fait de la religion chrétienne la religion officielle de l'empire, imposée à tous

peu d'un préteur à l'autre on a vu des formules être reprise. Ce qui signifie qu'il s'est dégagé à partir de 149 av JC ce que l'on appelle une jurisprudence. A cette époque des volumes d'interprétation de la loi vont ce dégager et on va les appelé « édit du préteur ». Lorsque s'ouvre l'année de son mandat il va publier l'édit du préteur qui est l'inscription sur une grande planche de bois blanche où il va peindre les formules, les actions en justices qu'il va délivrer. Il y a eu des répétitions des

christianisme en vigueur dans l'Empire romain, celui auquel se convertirent Goths et Burgondes quand ils rejoignirent l'empire et sa religion3. En 380, l'empereur Théodose opte au contraire de ses prédécesseurs pour le christianisme nicéen ; l'édit de Thessalonique fait du culte catholique l'unique religion officielle, interdisant les autres. Les « invasions barbares » en limitent les effets : le royaume wisigoth est gouverné par des souverains ariens, de même que le royaume burgonde4. Le catholicisme ne

persécutions générales dans le but d’éradiquer la religion mais elles ne vont pas avoir l’effet escompté : plus le nombre de persécutions va augmenter, plus le nombre d’adeptes chrétiens va grandir. L’empereur Constantin va donc reconnaitre le christianisme. Édit de Milan (313 ap. J.-C.) : dès cette date l’Église va pouvoir se développer et commencer à amasser des

romains un communiqué. Dans son édit, le préteur énumérait les cas dans lesquels il allait organiser un procès. Il va permettre aux citoyens de se présenter en justice. Il protégeait les citoyens et reconnaissait qu’une situation de fait, méritait d’être protégée par le droit. Il ne pouvait pas promulguer une règle de fond mais pouvait délivrer aux citoyens de nouveaux moyens de procédure. L’édit du préteur est une sorte de catalogue d’action. Il est appelé « édit perpétuel ». Si des nouvelles situations