Désir Platon

LE DESIR – AUTRUI Le désir est traditionnellement définit comme un état de manque, comme si l'existence humaine ne pouvait pas se suffire de ce qu'elle est ou de ce qu'elle a. Ce manque caractérise t-il une carence d'objet ou une carence d'être ? Le besoin est une nécessité vitale. Si nous ne l'avons pas, nous sommes frustré. Il y a une distinction entre nécessité et superflu. La nécessité est une condition vitale de qqch pour qu'il existe, le besoin est nécessaire. Le superflu est ce qui existe

Peut-on désirer sans souffrir ? Peut-on ne pas souffrir en désirant ? Soit parce qu’on désire ce qu’on n’a pas, soit parce qu’on n’obtient jamais exactement ce qu’on désire ? Le désir n’est-il pas manque, et le plaisir toujours en-deçà de la satisfaction souhaitée ? Souffrir est-il toujours soit la condition, soit la conséquence du désir ? Faut-il alors supprimer les désirs ou accepter qu’il n’y a pas de plaisir sans souffrance ? L’enjeu de cette question est le bonheur, car il nous semble toujours

apercevoir avec les illusions d’optique, mais ce ne sont pas les illusions que nous traiterons principalement car, celles-ci sont purement techniques. La mémoire est limitée et inexacte, l’imagination provoque parfois, en nous, des confusions entre désir et réalité. La religion est aussi une illusion, crée par les Hommes, tout comme le sont l’éducation et la morale. Ces éléments sont à la base des confusions les plus graves de l’humanité et nous enferme souvent dans l’erreur de prendre nos désirs

que le bonheur est une question de plaisir ? Le bonheur réside t’il dans le faite d’assouvir ses envies ? Si pour certain le bonheur et synonyme de plaisir ou que le plaisir exclu la souffrance d’autre sont d’avis qu’il faut vivre en limitant ses désir, voir même que le bonheur réside dans ataraxie (Fait de ne pas souffrir). Pour le philosophe Calliclès, le bonheur c’est le plaisir. Il affirme que le bonheur est tributaire de ce que la nature a conféré à chaque homme ; est heureux celui chez qui

Tobias Douet, Olivier Zürcher, Michael Ris Parcours de la philosophie politique Platon-More-Machiavel Dans ce travail de synthèse, nous allons analyser les différentes figures qui ont marqués la philosophie politique. Nous allons reprendre les principales caractéristiques de Platon à Machiavel en passant par Thomas More. L’Homme normalement constitué, vit dans et avec la société de laquelle il fait parti. Il voit les choses du 1er degré et ne cherche pas à aller plus loin. L’Homme n’aime

avait un énorme succès auprès des jeunes gens. Tout le monde voulait être son ami, et plus si affinité…Ce qui va produire des problèmes. Platon voulait être son ami. Lorsqu’il le rencontre, il a à peu près 20 ans, Socrate en a le double. Il y a donc une génération d’écart. Et c’est le « coup de foudre » instantané. Platon décide de consacrer sa vie à Socrate. Platon était un jeune aristocrate qui avait l’éducation des jeunes aristocrates grecs, il était cultivé, « sportif » (terme qui n’existait pas

Cours de PHILOSOPHIE par J. Llapasset Philo-poche Le désir Site Philagora, tous droits réservés © __________________ I. Autour du mot. Besoin, conscience... - Nous vivons en satisfaisant nos besoins, parce que nous sommes dans le besoin, dans la nécessité d'un système vivant de se nourrir et de se reproduire, son rêve pour ainsi dire. Le système vivant se satisfait de la présence, de la répétition du même (des fruits, des saisons...). - Le besoin qui se manifeste par

L’INCONSCIENT « Qu'une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose » : Sigmund Freud « Je est un autre » : Rimbaud « Les hommes ont conscience de leurs désirs mais non des causes qui les déterminent à désirer » : Spinoza. "La psychanalyse existentielle rejette le postulat de l’inconscient : le fait psychique est, pour elle, coextensif à la conscience" : Jean-Paul Sartre "L’inconscient est une méprise sur le Moi, c’est une idolâtrie du corps" : Alain

maison du sage qui brûle). Il n’est jamais trop tard pour être heureux car le bonheur serait aussi une forme de désir ; on pense trop souvent que, pour être heureux, il nous faut l’objet de nos désirs mais quand on l’obtient on n’est pas plus heureux. On ressent alors une sorte de souffrance car on désire ce qu’on n’a pas et on éprouve de l’ennui lorsqu’on a ce qu’on désirait (car on ne le désire plus). Il cite trois stratégies pour échapper au cycle de la frustration : 1. Se divertir, faire semblant

Dissertation : Dois-je satisfaire tous mes désirs ? Nous allons nous pencher sur la notion du désir. Selon la définition de Platon le désir ne serrait qu’une expression d’un manque. Le faite de manquer nous amènes a la souffrance. Le désir n’est pas non plus un besoin mais une envie profonde, encrée et parfois incontrôlable, généré par des pulsions. Se demander si l’on doit satisfaire tous nos désirs est donc une question que l’on est en droit de se poser, et qui surgit au beau milieu de nos