Désir Platon

I. Préalables a) une mise en perspective au sein de l’œuvre de l’auteur.Descartes analyse le désir de manière scientifique. Ce texte est issu de sa correspondance avec Chanut (lettre du 6 juin 1647) mais il est aussi par ailleurs l’auteur d’un texte sur les passions (Traité des Passions de l’Âme, 1649) qui les analyse de manière à montrer leurs causes physiologiques et psychique.Cette façon de procéder a pu surprendre chez le philosophe des Méditations Métaphysiques (1641) où était faite une distinction

Platon 1. La théorie platonicienne des Idées 1.1. Le dualisme platonicien 1.1.1. Héraclite et Socrate Platon a tenté de concilier deux enseignements : celui d'Héraclite et celui de Socrate 1.1.1.1. Héraclite : Le principe d'Héraclite est le suivant : "Tout change, rien de reste". Héraclite veut dire que rien ne peut subsister définitivement, que rien dans le monde n'échappe à la ruine, que ciel et terre disparaîtront , l'activité de la nature est comparable à un potier qui forme

Doit-on libérer le désir ou se libérer du désir ? L’alternative qui vous est proposée est vraiment radicale : d’un côté, il s’agit de voir dans le désir une force positive, qu’il faudrait ne pas réprimer, de l’autre conrtaire, un sujet de trouble à contenir. C’est donc sur le caractère AMBIVALENT du désir que doit reposer votre problématique. 1) Il faut, ds un premier temps, répondre par la position la + classique : il faut se libérer du désir : - pour désirer quelque chose, il faut que

Dissertation de Philosophie : Ne désire-t-on que ce dont on manque ? Le désir est un lieu connu de tous, nous avons tous ressenti des désirs sachant ou pas les nommés ainsi. Le désir de la même façon que le manque est un des sujets qui ont suscité l’intérêt de nombreux penseurs tel que Freud, Spinoza et bien sur Platon. Le besoin est difficile de dissocier du manque dans nos vie commune, néanmoins nous faisons bien la différence entre ce qui est un besoin est ce qu’est un désir, ceci étant probablement

que les hommes ont des besoins, il faut les satisfaire, la richesse ne dépend que du taux de satisfaction des consommateurs. Voilà d'où nous vient que la richesse est souvent assimilée à la démesure: le supplice de ne nous paraît pas très loin. Le désir de richesse sans fin devient une corruption morale, un vice: or, le vice est antinomie de la vertu. De plus, même si l'on considère la richesse comme l'ensemble des biens qui nous permettent de répondre à nos besoins les plus pressants, le problème

Freud mais cette vie de plaisir est présenté dès l’Antiquité par exemple avec Calliclès dans le Gorgias de Platon, comme étant la vie en accord avec notre nature, il vaut mettre son énergie au service de ses passions et ce sont les faibles qui présentent cette vie de plaisirs comme une vie de licence, de débauche parce qu’ils ne sont pas capables de la mener Mais aller de désir en désir, c’est aussi aller de frustration en frustration et le plaisir ne se vivant que par contraste, on finit par

bonheur ? « Le désir est l’appétit de l’agréable » disait Aristote dans son Traité de l’âme. Comme il le dit si bien, le désir serait donc cette force qui nous pousse à rechercher la réduction d’une tension issue d’un sentiment de manque (la faim dans le cadre de l’appétit). En ce sens, on ne désir que ce dont on manque. D’autre part, le Larousse définit l’appétit comme « Inclination par laquelle on est porté à désirer une chose pour la satisfaction d’un besoin ». Il en découle que le désir n’est pas

moralement supérieurs aux contempteurs de la vertu. Sénèque veut dénoncer l'origine de ces sarcasmes: la mauvaise foi, la honte, l'envie. S'ils ont honte c'est que intuitivement, l'âme de chaque homme quelques soient les personnages qu'il joue, désire être une effigie du dieu, la honte étant l'hommage involontaire du vice à la vertu: incapable de s'assumer (le vice), il rougit. S'ils ont de l'envie c'est que les sarcastiques aimeraient ressembler, même de loin, même insuffisamment à ces exemples

Sujet : Est-il absurde de désirer l’impossible ? Le corrigé : Les notions au programme : Désir, volonté, raison, bonheur. La problématique : Est-il rationnel de désirer l'impossible (conforme aux exigences de la raison et à nos intérêts) ? Est-ce raisonnable au regard de la dualité de l'Homme : être de raison et être de désir ? Les difficultés / pièges à éviter : Bien définir le désir en le distinguant du besoin et de la volonté raisonnable. Bien définir l'impossible : l'interdit

1) le désir naît du manque de quelque chose que l'on conçoit comme apportant du plaisir. Le manque est désagréable et lorsque le désir est satisfait, il y a une sorte de dégout. Le désir renait sans cesse, la satisfaction ne dure pas et elle est parfois suivie de tristesse, de dégout, de honte. L'objet véritable du désir est ailleurs (Platon) L'idée de Platon est que l'amour terrestre qu'un être humain peut éprouver pour un autre être Humain à toujours une dimension divine. L'amour vise autre