Donation Entre Epoux

........................................ 20 CHAPITRE II – LA VIE DU COUPLE ............................................................................................................................... 21 SECTION I – LES RAPPORTS PERSONNELS ENTRE EPOUX ....................................................................................... 21 § I - Les devoirs réciproques ..........................................................................................................................

Cette notion permet d'intégrer la volonté des époux et les règles impératives fixées par les textes. SECTION 1 : LA FORMATION DU MARIAGE Le droit s'intéresse aux fiançailles car elles constituent une promesse réciproque de mariage. Il n'y a cependant pas d'obligation au mariage. Les fiançailles sont donc considérées comme un fait juridique qui va se prouver par tout moyen. Les effets juridiques apparaîtront lors de la rupture. Ainsi, toutes les donations reçues au titre des fiançailles doivent être

droit positif (1999). -s’ils sont tous deux un mode de vie en couple, concubinage et mariage s’opposent par nature -concubinage = union de fait -mariage = union de droit -on dit souvent que le concubinage est une union libre alors que les époux sont tenus par le fait du mariage d’un certain nombre de devoirs (cohabitation, assistance, fidélité…). -il s’y ajoute une structure intermédiaire qui est le PACS (Pacte Civil de Solidarité) qui date de 1999 : c’est une forme de concubinage juridiquement

1-EFFETS PERSONNELS Obligation de vie commune, de fidélité, d’assistance. Véritables obligations réciproques entre époux 1.1 Obligation de vie commune : Cohabitation des époux. Ils doivent choisir un lieu, une résidence qui leur sera commun. Partage d’évènements, de joies, de peines, et de sentiments. Juge ne peut pas vérifier. Mais si cette communauté de vie disparait (époux ne partagent plus le même toit) preuve de l’échec du couple qui pourra servir dans une instance en divorce. 1.2 Devoir

matrimoniaux correspondent à l’ensemble des règles qui gouvernent les intérêts pécuniaires des époux non seulement dans leurs rapports entre eux mais également dans leurs rapports avec les tiers. Pour le bien des époux il faudra déterminer qui est propriétaire, comment se repartissent en cours de vie les charges du ménage et également voir pendant la durée du mariage qui engage quoi à l’égard des tiers (lequel des époux est engagé lors de la contraction du dette et quels sont les biens qu’il engage à travers

édition aout 2013. ouvrage Benier et Biné droit des personne et de la famille. Le mot conjoint désigne un couple marié, mais le terme de conjugalité signifie plusieurs statut, on appelle les différents couple de conjugalité. Le lien entre les deux semestres : étudié la personne de manière isolé n'est pas suffisant pcque cette personne est issue d'une famille et va probablement construire une famille, la famille est le berceux naturel de la personne physique. Il s'agit d'étudié le groupe

sur le patrimoine des époux que sur leur vie professionnelle. Ces problématiques liées au mariage sont réglées par le régime matrimonial. Choisi librement par les époux, celui-ci peut s’avérer être un élément stratégique de protection du patrimoine. En effet, le régime matrimonial fixe les droits et les obligations de chacun des époux sur les biens et les dettes constitutifs du mariage. Cet ensemble a une grande influence sur la manière dont le patrimoine de chaque époux se constitue au cours

parents biologiques. C - Mariage La réforme a particulièrement visé le mariage et le divorce en renforçant les droits des femmes. Le principe fondamental animant l’esprit de ce texte est l’égalité entre l’homme et la femme. Ainsi la famille est-elle désormais placée sous la « direction conjointe des époux » et non plus sous la « direction du mari ». La règle de « l’obéissance de l’épouse à son mari » est donc abandonnée. 1. Formation du mariage Conditions de fond Conditions d’âge L’âge matrimonial

la famille évolue beaucoup, depuis 1954 le rythme des réformes tend à s’accélérer. I/ La notion de famille. A/La relativité de la notion de famille. Définition : Pour le sociologue, la famille c’est un groupe élémentaire formé d’individus liés entre eux par des faits d’ordre biologiques (procréation, formation d’un couple…) Le sociologue constate que la famille a toujours existée même dans les sociétés les plus primitives. La caractéristique de la notion de famille c’est son caractère relatif

règles morales dont la société ne permet pas qu’il puisse être dérogé par la volonté des parties. Si un certain nombre de lois civiles et pénales françaises ont transposés des bonnes mœurs et sanctionnées certaines pratiques, telle la révocation des donations pour cause d’ingratitude et l’indignité successorale, la loi reste incapable de définir les bonnes mœurs dans la mesure où elles sont contingentes et évoluent dans le temps. D’un point de vue juridique, les bonnes mœurs constituent un ensemble de