Dom Juan Libre Penseur

constitue, selon Nietzsche, « la meilleure des polices » : « il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance ». • liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : • 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent sans être déterminé par aucun d'eux. • 2° Liberté de spontanéité. S'oppose non plus au déterminisme mais à la contrainte : état de celui qui agit sans être contraint par une

La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette mais aussi des formes parodiques et comiques comme les romans de Scarron et de Francion. Le Libertinage: Ce courant idéologique part de la philosophie matérialiste de Gassendi. Les libertins (libres penseurs) se détachent de la religion officielle, le christianisme, raillent les pratiques religieuses, manifestent leur indépendance de pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Ce courant assure ainsi la transition entre

aussi une pièce qui fait rire par des exagérations, des situations comiques, des moqueries.  Cette pièce est parue le 10 février 1673 dans un contexte où Molière a déjà fait des nombreuses polémiques causées par ses précédents œuvres telle que « Dom Juan, Tartuffe » à travers cette pièce Molière met en scène Argon un hypocondriaque qui force sa fille de marier un médecin.  La particularité de cette pièce est d'être une comédie ballet, et à travers de cette œuvre Molière fait les satires de médecin

: les libertins. Le terme ibertain comporte deux acceptions principales : - Dans sa version d'origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c'est un libre penseur ou libertain d'esprit dans la mesure ou il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l'éthique religieuse comme Dom Juan de Molière. - Dans le ses qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de moeurs, c'est à dire celui qui s'abonne aux plaisirs charnels avec une liberté qui dépasse les limites

Henri IV qui règnera de 1589 à 1610. Les guerres civiles, la colonisation, la torture, les guerres de religion, les procès pour sorcellerie vont influencer ses œuvres. Montaigne est un héritier de l'humanisme mais est presque un penseur baroque car il constate que dans le monde, rien n'est stable. Situation sociale Il est issu d'une famille de riches négociants. Il appartient au statut de noble. Évènements et faits marquants de sa vie 1533: Montaigne

Texte analytique Michel de Montaigne: (1533 - 1592) Penseur humaniste et homme politique français.  Il entreprend dès lors la rédaction de son principal ouvrage, "Les Essais", sur lequel il travaille jusqu'à la fin de sa vie. Grand ami d'Etienne de la Boétie.    Ecrit en 1580, De l’amitié est tiré de Les Essais, et rend hommage à La Boétie, grand ami de Montaigne. Ce texte relate donc l’amitié que Montaigne a vécue avec La Boétie, amitié qu’il considéra comme un mélange de deux âmes pour ne

certain raffinement cultivé (exemple : le marquis de Sade, Crébillon fils ou Choderlos de Laclos). • dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il remet en cause l’ordre établi (exemple : Dom Juan de Molière) :   |Valeurs du libertin |Quels personnages du roman illustrent ces valeurs ? | |il recherche son bonheur

de mer. 4) Organisation politique de l’Espagne Depuis 1978, l’Espagne est une monarchie constitutionnelle avec un régime parlementaire, issu du processus de retour a la démocratie qui a été amorcé à la mort de Franco en 1975. Le roi d’Espagne Juan Carlos 1er, qui n’exerce aucun pouvoir exécutif, qui est exercé par le chef du parti qui gagne les élections. Le pouvoir législatif s’exerce aux Cortes qui sont composé du congreso de los diputados et du senado. L’Espagne est divisée en 17 communautés

en évoquant la peinture sociale dans les grandes comédies de Molière, dans les romans de Charles Sorel ou d’Antoine Furetière. On décèle en outre, dans la période dite « classique », une persistance du baroque, comme dans les pièces à machines (le Dom Juan de Molière) ou dans la thématique funèbre de Jacques Bossuet. Tout cela conduit les commentateurs à multiplier les étiquettes : préclassicisme, préciosité, burlesque, grotesque, libertinage, jansénisme, littérature mondaine, etc. |4.2 |

La première question qui vient immédiatement à l’esprit est de se demander si LE spectateur existe. Celui qui vient à la représentation théâtrale est d’abord un homme ou une femme, il peut avoir tous les âges. Il est triste ou joyeux, préoccupé ou libre. Avant d’être un spectateur, celui qui assiste à une pièce est un être réel enraciné, marqué par le contexte culturel, sociologique, historique. Au XVIIe siècle, les attentes et les comportements variaient en fonction de la classe sociale. Le public