Dom Juan Libre Penseur

La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette mais aussi des formes parodiques et comiques comme les romans de Scarron et de Francion. Le Libertinage Ce courant idéologique part de la philosophie matérialiste de Gassendi. Les libertins (libres penseurs) se détachent de la religion officielle, le christianisme, raillent les pratiques religieuses, manifestent leur indépendance de pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Ce courant assure ainsi la transition entre

exposer les grandes règles classiques de la littérature et mettre fin aux exubérances Dom Juan et Tartuffe sont deux pièce de théâtre de Molière qui ont fait scandale et qui on fait l'objet d'une cabale car il s'attaque à la religion et à la compagnie du St Sacrement . Tartuffe l'hypocrisie des hommes de l'Eglise, Dom Juan lui défie Dieu . La Comédie Ballet de J.B Lully est un genre littéraire et artistique , prisé par Louis XIV où se

-« au bord des routes » -imparfait qui évoque l’habitude - il agrandit son horizon en s’appropriant aussi le ciel pour accentuer sa liberté. • « Ma Bohème » : - vie insouciante, libre, sédentaire des artistes - vie nomade, errante • la nature nourricière - auberge/loge - nourri le poète - adjectif mettant en valeur la tendresse • relation amoureuse Rimbaud/nature : - « Muse ! Et j’étais ton féal »

inquiéter les rivaux de Molière et de quoi déranger les ennemis du théâtre. Molière va alterner dans sa production comédies légères, destinées à plaire au roi et au grand public, et quelques grandes comédies aux sujets graves, par goût de la satire. Dom Juan ou le Festin de pierre (1665) : Molière reprend l'histoire du séducteur de Séville, mais accentue le cynisme du personnage. Le Misanthrope (1666) : l'atrabilaire Alceste, ne pouvant mettre en accord sa franchise avec le scepticisme souriant de Philinte

d’un siècle tourné vers l’Homme, que l’on croit perfectible moralement et intellectuellement, et son progrès. On refuse le déterminisme d’une providence qui aurait tout décidé, on voit l’Homme comme pleinement maître de son destin et revendiquant le libre arbitre. A cette même époque les philosophes étendent leurs influences : Voltaire va en Angleterre et en Prusse, Diderot devient l’ami de Catherine II de Russie. Ils critiquent la monarchie de droit divin, comme le prouve l’article  « Autorité publique »

siècle et regroupé sous l’appellation de courant libertin. Il existe deux acceptions au mot libertin (du latin libertinus, esclave qui vient d'être libéré. libertinus signifie affranchi) :  - Celui qui remet en cause les dogmes établis, c'est un libre penseur dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l'éthique religieuses .  - Le libertin de mœurs, c'est-à-dire celui qui s'adonne aux plaisirs charnels avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle mais

l'action d'endurer, de souffrir. Elle s'exprime dans un ressenti émotionnel subit, négatif ou positif, comme la colère/la haine, la pitié, ou encore le plus célèbre d'entre tous, l'amour. Nous chercherons dans cette dissertation avec l'appui de grands penseurs à savoir s'il est possible "d'être soi-même" dans la passion. Dans un premier temps, nous réfléchirons si la passion est une composante de "nous-mêmes", de notre essence. Dans un deuxième temps, nous allons réfléchir si la passion nous affaiblit

4. Qu'est-ce que la préciosité ? Le courant précieux naît dans les salons qui se développent beaucoup au cours du xviie siècle. Souvent tenus et animés par des femmes de la noblesse désireuses de se cultiver, ces salons réunissent les artistes et penseurs de l'époque, et sont l'occasion de discussions et de jeux. Ils contribuent à faire évoluer les mentalités en raffinant les mœurs et en donnant une nouvelle dimension aux rapports amoureux. La préciosité s'intéresse ainsi particulièrement aux raffinements

devise des Lumières ». Le libertinage Le mot libertin vient du latin « libertinus » qui désigne l’affranchi. Aux XVIe et XVIIe siècles, le terme désigne un libre-penseur, libéré des emprises de la religion dogmatique (affranchissement de la raison = être athée). Cet affranchissement est très vite associé à la dépravation des mœurs (Dom Juan), c’est l’idée contenue dans le terme au XVIIIe siècle. N’ayant pas peur des punitions divines, la personne va donc se libérer. Roman sentimentaux opposés aux

l’origine de la diversité et du multilinguisme). MAIS l’homme reste au centre du monde et c’est par son travail qu’il doit le gérer, ce qui lui donne une forme de puissance sur le monde. Il le domine, lui donne un sens par le travail. Ce travail est libre mais c’est un projet éthique (morale en acte) qui est soumis à une certaine déontologie. -déontologie : (déon : ce qui convient de faire ; tologie : dans une profession donnée) La vision des hébreux conduit donc à ce que l’homme aménage le monde