Docere Placere Cours

LES OBSEQUES DE LA LIONNE (Fables, Jean de la Fontaine ) * Dédié à Madame de Montespant * La Fontaine a un regard très satyrique au sujet du Roi et de sa cours. * Ce texte est un apologue. Il illustre, la double morale de plaire et instruire (placere et docere) I. Un texte plaisant 1) Un texte versifié * Rimes : suivies : vers 1/2 embrassées : vers 3/4/5 croisées : vers 39-42 plates : 7/8/910 un tercet : 11/12/13 * Ecrit en vers hétérométriques : octosyllabes

merveilleux, bouleverse les codes d’un genre ancestral et en redéfinit son lectorat cible, puisque celui-ci doit être suffisamment éduqué pour déchiffrer l’implicite derrière la fiction. Elle met ainsi en avant la tension aristotélicienne entre le “placere” et le docere”. En outre, le “vraisemblable” n’étant pas le “vrai”, Voltaire semble, dans cette citation, admettre la fiction comme élément nécessaire à la réception d’une vérité. Comment cette définition, aux antipodes de celle du conte traditionnel, permet-elle

d’une famille modeste. Il mène des études médiocres c’est pourquoi ses parents l’inscrivent à l’âge de 16 ans à « l’école spéciale de dessin et de mathématiques » qui devient plus tard l’école nationale supérieure des arts décoratifs. Il y suit les cours du talentueux Horace Lecoq de Boisbaudran grâce auquel il rencontre de célèbres peintres ou sculpteurs comme Antoine-Louis Barye et Albert-Ernest Carrier-Belleuse. C’est grâce à ces derniers qu’il découvre sa vocation : la sculpture. Il se rend régulièrement

l’étendu du rôle de la fiction littéraire. Si l’idée principale est celle de « convaincre et de persuader », quels sont les moyens mis en œuvre pour y parvenir et les limites à ne pas franchir. I/Puissance et enjeux de la fiction littéraire : placere et docere** (plaire et enseigner) Afin de plaire et d’enseigner, voire de convaincre ou de persuader, La Fontaine utilise le genre de la fable. Car la fable appartient à ce type de littérature que l’on associe au genre de l’apologue capable de plaire

Acte 1 scène v En quoi le projet de mariage est-il révélateur du personnage et du comique de la scène I. introduction Pour les classique la comédie avait un objectif : faire rire, plaire, placere et docere. En 1673 jean batiste Poquelin dit « Molière dans sa comédie le malade imaginaire dénonce les vis et travers humain et met aussi en scène argan un noble hypocondriaque que des médecin exploite et qui par intérêt personnelle veut marier sa fille angélique a un étudient en médecine. C’est justement

liberté. 
III. L'enseignement moral de cette fable 1. La servitude - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection. Il appartient au monde des domestiques, de la servitude. 
- Confort matériel, le chien incarne les cours serviles qui obéissent aveuglement au Roi pour obtenir des faveurs, des récompenses. 
- Le chien est vaniteux, a des préjugés, il est borné, donnant deux conseils au loup « quittez le bois » ; « suivez-moi », suivis de leurs conséquences. Le travail

jusqu’à Dieu » - Que le libertin se passe des préceptes des religions au vers 24 : « sans âme et sans fois » Boileau analyse leur comportement qu’il juge idiots. On peut lui attribuer le terme Scolastique qui signifiait dans l’Antiquité : faire cours, tenir école. Il avait des connotations religieuses, bibliques, mais avec le temps se transforma en informations sur les fondements de la nature humaine. 1) Satire et comique Ces rapides portrait péjoratifs et dévalorisant, qui renvoient au fâcheux

Abstemius, un bibliothécaire érudit italien du XVIème siècle. Dans la fable « Les Femmes et le Secret », La Fontaine met en scène un célèbre cliché misogyne : celui de l’incapacité des femmes à garder un secret. Il imagine un récit humoristique au cours duquel un mari fait croire à son épouse qu’il a pondu un œuf et lui demande de taire l’événement.Sous couvert d’aborder un sujet léger et convenu : l’incapacité des femmes à tenir leur langue et donc conserver un secret, La Fontaine tisse une fable

comporte un caractère fortement SUBJECTIF, puisqu'il se nourrit de l'expérience de son auteur. L'essai est donc ancré dans un contexte, un temps et un lieu particuliers. Le genre est libre dans sa forme, il est en prose  et présente souvent une pensée en cours d'élaboration, ce qui peut justifier une certaine discontinuité dans les idées (l'auteur peut passer du coq à l'âne). Il s'agit souvent pour l'auteur de proposer au lecteur des pistes de réflexion à partir desquelles il se forgera sa propre opinion

celui des médecins ou celui des précieux, tous objets de moquerie chez Molière. L’honnête homme, homme social, poli et mesuré, est porteur des valeurs du classicisme. • La visée de l’écrivain est souvent morale. Il faut plaire et instruire (« placere et docere »). Ainsi latragédie se doit de purifier (catharsis) les passions ; la comédie corrige le vice des hommes ; les fablesdélivrent une leçon. Les moralistes, par leurs portraits (La Bruyère, Les Caractères, 1687) et leurs maximes (La Rochefoucauld