Discours Directe Bougainville

réveille » (l.7), « poussant un grand cri » (l.8), « arrive » (l.10), « passe » (l.15)... Le poème est aussi vivant grâce au discours direct entre le sultan et le bourreau, qui alterne avec l’action : « dit le sultan » (l.12, 28), « et le bourreau répond D’accord » (l.14) et « dit le bourreau » (l.17). Même si les signes de ponctuation accompagnant habituellement le discours directe ne soient pas présents ( : « »), il est repérable par l’emploi du verbe « dire » et à la majuscule de chaque premier mot

des événements relatés ? Quelle prise de position y a-t-il par rapport au contexte historique ? • Repérer ensuite tous les procédés par lesquels s’expriment les sentiments du héros, afin d’étudier les différents types de discours rapportés (passage au discours direct et au discours indirect libre sous la forme du monologue intérieur, p. 85 par exemple). Cinquième séance : un parcours initiatique • Comparer la situation du héros au début du roman et à la fin : a-t-il changé ? Comment ? • Qu’est-ce

deux visions différentes du monde en temps de peste ? L’opposition se reflète par la répartition des divers types de discours. Elle aboutit à l’échec de la tentative de persuasion menée par le journaliste. Et le décor revêt alors une signification renvoyant au sens métaphorique du roman. I Répartition des différents types de discours 1) Rambert Majorité de discours direct et indirect (« lui avait dit qu’il »). Grands efforts de persuasion mais il semble se heurter à un mur de silence 2)

situation présentée est dynamique et divertissant. La mise en scène est dynamique de part plusieurs points. Tout d’abord, on retrouve les marques du discours direct « Qu’est-ce donc que tout ceci ? dit l’Ingénu »l.25-26, et du discours indirect « Il demande aux porteurs de chaise à quelle heure on peut voir le roi »l.2. Les deux types de discours s’enchainent, permettant au récit d’être vivant. De plus, la ponctuation, et plus particulièrement les phrases exclamatives sont expressives « Eh bien

l’action.) 2 Les discours rapportés et leurs effets. -Le discours direct permet de rapporter les paroles telles qu’elles ont été dites. Cela crée un effet de réel. « Je serai à Lyon à 15 heures, si le train ne prend pas du retard ! » -Le discours indirect intègre les paroles au récit, le lecteur a plus de recul. Ex : Il a dit qu’il serait à Lyon à 15 heures si le train ne prenait pas du retard. * Le discours indirect libre est un compromis entre le discours direct et le discours indirect. Il

désordre mental chez l’auteur qui s’aggrave progressivement pour arriver jusqu’à une folie hallucinatoire introduite par « Il me semblait ». Le style de l’œuvre contribue à cette impression de désordre mental: L’alternance de la narration et du discours direct au vers 3 à 5 et au vers 17 « Silence ! Elle a parlé ! » qui dramatise le texte, l’anaphore « que » des vers 12 à 16 qui alterne refus : « Qu’elle ne pouvait pas m’avoir ainsi quitté », « Que c’était impossible enfin qu’elle fût morte » et hallucination

narrateur, il doit avoir une attitude active de déchiffreur d’énigmes. Le texte, insolite, est à décoder. II. Une description d’un nouveau type. A) Le refus du discours direct : une conversation est évoquée, et pourtant, les propos ne sont pas rapportés. Refus de " l’effet de réel " du discours direct, distance avec les personnages voulue. B) Un narrateur particulier : il a un point de vue très restreint sur les faits, c’est donc sans doute un narrateur-personnage, doté

en r : « répand, terreur, guerre » - Hyperbole, vocabulaire violent, rimes masculines (fureur, terreur) : dureté b. Variété, diversité : • Versification (rimes embrassées et longueurs irrégulières), accélération • Alternance récit / discours : discours direct aux personnages importants, indirects aux autres c. Des animaux qui font allusion aux Hommes et à leur relation : - Cadre de la scène : procès tribunal (champ lexical de la justice), intervention : plaidoyer, réquisitoire (Prise de parole

côté dégradant des tâches pour la jeune femme, qui rêvait d'une vie très différente. II Le rêve perdu 3° l 19 et 20, ces deux phrases sont les pensées de Mathilde. De quelle manière ces pensées sont-elles rapportées ? (on te demande de parler de discours...) 4° Quel est le temps et le mode de « serait-il arrivé » ? quel est le sens de ce temps et de ce mode ? Que montre-t-il ? 5° a) A quel temps sont les verbes des phrases de la ligne 19 et 20 : « comme... sauver ! » Précise quelle est la valeur

chaque personnage. On remarque aussi un gros plan de Thomas lorsqu’il aperçoit la tombe de Loïc se qui montre la valeur psychologique de l’œuvre cinématographique. b. Les discours Tout d’abord le livre dispose de très peu de discourt, le plus souvent direct composé d’un langage familier. On remarque le même type de discours dans le film cependant le langage devient plutôt courant. On remarque que les paroles entre le livre et le film sont plus ou moins semblables cependant on relève une différence