Différence Classique Néoclassique

refinancer auprès de la BC, ce refinancement à un coût pour la Bcom -l'ensemble des agents non financiers sont clients dans différentes banques commerciales, quotidiennement les banques ont des créances et des dettes, elles ne reglent que les différences = compensation bancaire. Ces règlement interbancaire vont s'effectuer en une monnaie particulière qui est la monnaie centrale (émise par la BC), ses règlements constitue un 2ème coût pour les Bcom , pour éviter ce refinancement les Bcom vont essayer

demande du travail et de l’offre du ménage. Il s’agira de trouver des solutions des problèmes d’ordre financiers, distribution : commerce. PARTIE 1 : Les grands courants de la pensée économique CHAPITRE 1 : Les écoles du courant libéral classique On peut dire que la production, consommation, chômage, inégalités de revenus sont des phénomènes économiques. Le chômage apparaît dans les années 30. Rappel : courant libéral interventionaliste Courant marxiste : L’Etat doit

développent de véritables analyses théoriques chez des économistes, dont les idées sont suffisamment proches pour pouvoir être considérées comme appartenant à des écoles de pensées. I/ La science de l’accumulation des richesses A. Le courant classique Apparu à la fin du 18ème siècle, ce courant est contemporain de la révolution industrielle permettant à ses économistes d’observer une économie en pleine transformation qui passe de l’artisanat à l’industrie, l’agriculture devant s’adapter à la

ménages peut être définie comme la différence entre leur revenu disponible et leur consommation. Consommer signifie détruire par l’usage, immédiatement ou progressivement des biens et des services. Il existe donc une interaction entre consommation et épargne. Nous allons dans un premier temps montrer en quoi la consommation et l’épargne ont un rôle dans l’équilibre offre/demande et dans un deuxième temps comment ces termes sont perçus selon keynes et le classique. 1/ La consommation est nécessaire

richesse d’une nation se mesure au travers de ce que produit la terre chaque année. Le principe est le suivant : chaque année on utilise une certaine quantité d’avance primitives (semences) et la terre produit plus que ce qui a été annoncée. La différence est ce que Quesnay appelle le don « gratuit) » de la terre. Quesnay est le 1er à se pencher sur le problème de l’accroissement des richesses càd de croissance. Un disciple de Quesnay nommé Turgot, va commencer a appliquer les idées libérales des

fondée sur les faits et l'expérience2. En 1917 Edwin Cannan sera très critique envers l'école anglaise d'économie politique d'avant Stanley Jevons et Alfred Marshall et soutiendra que seuls les outils issus de l'approche marginaliste (école néo-classique) ont permis à l'économie devenir une science 3 Microéconomie et macro-économie Une définition microéconomique Les choix des acteurs sont réalisés en fonctions des coûts d'opportunité. Par coût d'opportunité, il faut entendre la valeur du renoncement

Economie – 28.01.13 Economie néo-classique Auteurs marginalistes, se basent sur le calcul à la marge. Il y a tout d’abord l’école de Cambridge, Lausanne, et Vienne. 2 générations d’écrivains = Cambridge : 1ère – W.S Jevons ; 2ème – A. Marshall, A.C Pigou Lausanne : 1ère – Léon Walras ; 2ème – Vilfredo Pareto Vienne : 1ère – C. Menger, Eugen von Böhm-Bawerk, Fredriech von Wieser ; 2ème – Fredriech von Hayek, Joseph Schumpeter Après la révolution marginaliste, les années 1940/1960 vont

mettre en évidence la relation entre l’augmentation des prix et « l’abondance d’or et d’argent ». Et son autre théorie est la souveraineté nécessaire des Etats. ⁃ Richard Cantillon (1680-1733) : Un des grands précurseurs de l’économie politique classique français. Il décrit l’un des premiers circuits économiques, il explique que le niveau des prix dépend de l’offre et de la demande et que le taux d’intérêt dépend de l’offre et de la demande de la monnaie. Il a laissé son nom à « l’effet Cantillon

HOBBES (1588-1679), John LOCKE (1632-1704), David HUME (1741-1776). Ces philosophes vont fonder comme droits et lois naturelles la liberté individuelle, la liberté du commerce, le droit de propriété. Ces idées seront reprises par les économistes classiques. Sir William PETTY (1623-1687) Auteur anglais anti bullioniste et libéral en matière de commerce extérieur. Il développe la notion de “ loi économique naturelle ” il reste cependant mercantiliste (il développe l’idée que l’abondance monétaire stimule

Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur Théorie quantitative de la monnaie Théorie de la régulation Walras Léon 9 PLAN I. LE COURANT LIBERAL A. Le courant classique 1. Le modèle de l’Homo oeconomicus - L’individualisme des agents économiques - L’affirmation de la liberté économique -