Dialogue Monologue

argent, vient de s’apercevoir que sa cassette contenant environ dix mille écus d'or, une somme d'argent assez importante au moment de l'écriture de la pièce, qu'il avait astucieusement enterrée dans son jardin, vient de disparaître. C'est avec un monologue qu'il exprime ses ressentis. Lors de la lecture, on peut penser qu’Harpagon s'adresse à un des personnages mais on a également une impression qu'il s'adresse au public. On découvre beaucoup du personnage durant la scène et on comprend qu'il est

conventions traditionnelles du roman classique. En effet, Natalie Sarraute refuse la description et l'analyse psychologique. Le langage est placé au centre de tout, remplaçant même les personnages. Dans Enfance, le texte est écrit sous la forme d'un dialogue entre Natalie Sarraute, son double étant enfant et elle en rédactrice. Natalie Sarraute cite elle même qu'elle n'a « jamais pu tracer de frontières entre le roman et la poésie. « Ne pas tracer de frontières, c'est maintenir le roman et la poésie

.), - lettre (correspondance avec un destinataire défini dans le libellé du sujet, lettre destiné au courrier des lecteurs, lettre ouverte, lettre fictive d'un des personnages ^résents dans un textes du corpus, ...), - monologue délibératif, dialogue (y compris le dialogue théâtral), - discours devant une assemblée, - essai, récit à visée argumentative sous forme de fabl, d'apologue...

posent nécessairement. Le dialogue entre Greenberg et Rawitch dans la première séquence est à ce titre exemplaire : « What you are, I wouldn’t eat. » « How dare you call me a ham ?! », ham signifiant à la fois jambon (Greenberg est juif) et mauvais acteur. – les quiproquos engendrés par les différents mensonges, qui constituent l’un des ressorts essentiels du film, rendent drôles certains dialogues a priori anodins (Tura qui pense que Sobinski n’aime pas son monologue, Siletski qui apprend à Tura

scène. Où est le sens du théâtre ? Dans le texte ? Le mot théâtre provient de théatron en grec, qui signifie " le lieu d’où l'on voit. " étymologiquement la vue est privilégiée à l’ouïe. Le texte du théâtre a une particularité en effet il y a du dialogue et des didascalies et ces dernières permettent de donner des informations scéniques bien précises pour l'acteur (gestes, voix, déplacement, expression) Dans le théâtre contemporain il y a énormément de didascalies comparé au 17eme maintenant le texte

LA SYMETRIE DE L’AMOUR . Sa commence par un monologue raffiné de Cléonte pour Lucile et Covielle pour Nicole . Mouvement dicte par le dialogue et reflète la classe sociale des protagonistes concernes . Larmes et seau d’eau / chaleur et ardeurs . Querelle amoureux, scène de rembourrages (petit ballet au lieu de suivre le rythme delà music on On suit le rythme des dialogues . Le revirement de situation ajoute a l’effet humoristique

: Pb : Quelle est la fonction de ce dialogue entre Alceste te Célimène, acte de la péripétie (moment au cours duquel une action tout à fait imprévue précipite l’action dramatique et en accélère le mouvement) ? I) Une fausse péripétie : La confrontation tant attendue entre Alceste et Célimène a enfin lieu, mais elle tourne court et aboutit à une nouvelle déclaration d’amour d’Alceste, sans que Célimène ait vraiment à se défendre. a. Un faux dialogue : Echec de la communication, Alceste

raison et à persuader en faisant appel aux sentiments et à l’affectivité. Argumenter, c’est aussi tenir compte de thèses différentes des nôtres, avec lesquelles nous allons entrer en discussion dans une délibération, solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). D'une part, cet extrait est un texte argumentatif prises sous la forme de convaincre. Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire

Le comique de mots • Réplique de Vladimir à la fin du texte qui reprends les termes d'Estragon → « ESTRAGON – Mal ! Il me demande si j'ai mal ! […] VLADIMIR – Mal ! Il me demande si j'ai eu mal ! » (l.38-42) • décalage entre les répliques → dialogue de sourds → « VLADIMIR – Et on ne t'a pas battu? ESTRAGON – Si... Pas trop VLADIMIR – Toujours les mêmes ? ESTRAGON – Les mêmes ? Je ne sais pas. » (l.20-23) • décalage entre les dires et les gestes des personnages → « Lève-toi que je t'embrasse

645, 646 «Je ne suis pas à cran, enfin si, je suis à cran parce que c'est inadmissible ce laxisme, cette incapacité à la contrainte !», ou encore à la république suivante, «Le pauvre Yvan, tu te fous de moi !». Et enfin, il nous faut parler de son monologue de fin. Il se confie enfin, il dit que Marc l'énerve à la ligne 650, et emploie encore une fois des termes familiers, ou vulgaires. II/ Les relations entre les personnages par rapport à l'action dramatique a) Serge-Marc, un conflit qui s'installe