Dialogue Comique

Présentation de l’extrait : dialogue à trois personnages ; Vladimir se demande s’il va porter secours à Pozzo tandis qu’Estragon suit distraitement la prise de décision de son compagnon ; Pozzo appelle à l’aide deux fois et propose de l’argent. 5. Question : quel sens prennent les dysfonctionnements de la communication entre Vladimir et Estragon dans cette scène et leur incapacité à venir en aide à Pozzo ? 6. Phrase-réponse : nous montrerons dans un premier temps le comique d’une situation où

L’ironie voltairienne dans les dialogues du Dictionnaire Philosophique Le Dictionnaire Philosophique portatif s’enrichit progressivement entre l’édition princeps de 1764 et l’édition de 1769 pour atteindre 118 entrées. Parmi celles-ci, on relève 11 dialogues philosophiques. Dans presque tous ces dialogues se rencontre, bien qu’à des degrés divers, l’ironie voltairienne. Ce mélange d’une forme littéraire, le dialogue d’idées, et de l’esprit voltairien dans son expression la plus indirecte, celle

le plus important, pour les pièces comiques, est Molière.  Cet auteur est apprécié car son comique est toujours significatif, c’est-à-dire qu’il cherche à faire rire en s’inspirant de la réalité. Ainsi, à travers Tartuffe, comédie écrite en 1669, Molière aborde le sujet de l’hypocrisie en décrivant le faux dévot qui s’est inlassablement installé chez Orgon. L’auteur nous propose donc, à l’acte I scène 4, un portrait du personnage principal à travers un dialogue conduit entre Orgon et Dorine, la servante

D'abord, ceci se manifeste à travers un refis de communication de la part de Vladimir. Celui qui porte le surnom « Didi » dans lequel on entend le verbe « dire » (« dis, Didi »), celui qui parle le plus dans la pièce, celui qui mène toujours le dialogue, celui qui pose des questions, ici, il refuse, il nie, il se tait. Cela commence par les phrases négatives et impératives de Vladimir qui refuse qu'Estragon lui raconte son rêve : « ne le raconte pas ! ». Cette phrase est d'ailleurs mise en valeur

mot d’auteur, dialogue solitaire, pièce comme monologue), mais il parle peu de la situation dramaturgique où ils prennent place. En définissant le dialogue solitaire en tant qu’une sorte de monologue, nous aboutissons à la problématique de la distinction du monologue et du dialogue. Étant donné que la définition pavisienne contient le critère de « se parler », il nous semble ambigu de parler des traits dialogiques du monologue et de reprendre la constatation de Goldmann : « [l]e dialogue du héros avec

| |Diderot |Dialogue philosophique |non |oui | Cependant il y a quelque chose de théâtral et dans la fable de La Fontaine et dans l’extrait de Diderot. A l’inverse la scène de Molière ne relève pas de l’argumentation (ni convaincre, ni persuader), même si cette scène est porteuse, pour le spectateur, d’une possible réflexion, au-delà des aspects comiques de la scène… Cela étant (caractère

confirment les derniers mots du mendiant. En parlant, le personnage fait exister l’événement. C’est un peu ce qui se produit lors de la rencontre entre Rodrigue et le père de Chimène. Il s’agit pour le héros de venger l’insulte faite à son père et le dialogue en stichomythie est un duel verbal aussi intense que le duel « physique » qui ne peut être représenté. De même, dans la comédie, l’action repose entièrement sur la parole. Par exemple, c’est par la parole, une parole mensongère, que Scapin parvient

constitué de trois textes parlant tous du comique au théâtre. Tout d’abord une pièce de théâtre de Molière intitulé le -bourgeois gentilhomme- de 1670. Ensuite, une pièce nommée –on purge bébé-, de Georges Feydeau en 1910. Et pour finir, de 1951, une pièce d’Eugène Ionesco intitulée –la leçon-. QUESTION 1 On peut dire que les personnages des différents récits se ressemblent bien qu’ils n’appartiennent pas à la même époque. Tout d’abord les dialogues sont composés de deux personnages qui n’ont

déjà annoncer le dialogue qui va opposer Dorante et le Marquis. (On saurait apprécier une remarque sur l’adjectif « plaisant », par lequel Dorante caractérise cette agitation, et, ce faisant, se caractérise implicitement lui-même, signalant ainsi à la fois ce que ses propos vont impliquer: son humour, son absence de pédantisme, son appétence d’honnête homme mondain pour les derniers sujets à la fois en vogue et digne d’être disputés.) Car, «plaisant», c’est bien ce que sera le dialogue, et les candidats

transforme par association « Jean de Nivelle » en « Jean de la lune ». Or, la parole qui n'est pas suivie d'effet est contrainte de se répéter ou de s'annuler. Chez Marivaux, la parole inefficace de Madame Argante est ridiculisée, c'est une parole comique, en tout cas une parole de l'échec. Le Comte offre un autre bel exemple : il ne fait qu'observer et parler, sans que ses propos ne dirigent quelque volonté, et sa seule action véritable se résume au renoncement à Araminte et au procès. o L'ouverture