Denoncer La Misère

un avenir à sa fille. Nous allons nous demander comment, à travers ce personnage féminin, l'auteur dénonce le sort des femmes du peuple au XIXe siècle. Il nous décrit tout d'abord la déchéance de Fantine puis se pose en juge de la société, responsable, selon lui, de la misère de la jeune femme. Nous pouvons nous apercevoir que Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère. Cette misère est tout d'abord matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. « Cellule », « mansarde

différents points de vue sur l'Allemagne durant le livre.( Des communistes et opposants a Hitler,des fervents partisans de Hitler..).J'ai bien aime voir le point de vue allemand pendant cette difficile période en Europe et les conditions de vie et misère des soldats pendant la guerre et ses conséquences. -Puisque c'est Hans qui raconte l'histoire,elle a été rendu beaucoup plus intéressante et on s'est vite plongée dedans et dans l'ambiance de l'histoire.Ce qui a vraiment rendu ce livre intéressant

misérables de Victor Hugo, écrit en 1862. Le roman relate la vie de Jean Valjean, de Fantine, de Cosette, Marius, de la famille Thénardier et du représentant de l’ordre Javert. Les destins de tous ces personnages se croisent dans une misère à la fois financière, sociale, morale et intellectuelle qui est l’incarnation d’un mal du siècle. C’est un roman à la fois réaliste, romantique et épique. Dans ce texte, envoyé au bagne pour avoir volé du pain, le héros, à sa sortie de prison et sous

sujet : En quoi le roman et la nouvelle sont ils particulièrement efficaces pour dénoncer les injustices? Depuis toujours les hommes sont accablés par les injustices, que l’on retrouve même dans la bible « Le riche commet une injustice, et il frémit d'indignation; le pauvre est maltraité, et il demande pardon. ». Le roman et la nouvelle sont deux genres narratifs racontant une histoire fictive qui progresse par l’intermédiaire de personnages, dans un lieu et à un moment donnés. Il existe d’autres

17ème siècles, dans une œuvre versifiée de 7 livres (les Tragiques) écrites en 1616, retrace en les dénonçant les persécutions subies par les protestants dans la dernière moitié du 16ème siècle. Il commence par exposer des scènes de violence et de "misères", titre du premier livre, dont est tiré l’extrait qui nous occupe, et finit dans le 7ème livre en montrant le supplice des persécuteurs et le bonheur des opprimés dans un juste retour des choses, à l’image de la fin de l’ancien testament. Questions

populaire de la littérature française, c’est un roman historique philosophique et social. Victor Hugo, engagé dans la lutte sociale y dénonce les conditions de vie des ses contemporains les plus défavorisés. Il y dresse le portrait de plusieurs personnages accablés par la misère qui cherchent en vain à s’en sortir. Seule une enfant du nom de Cosette, née de la grande misère, grâce à son innocence et à sa bonté naturelle réussira à changer de classe sociale et portera à elle seule l’espoir pour toute

1853. Le troisième poéme est extrait du recueil L'année terrible. Quelles sont les armes utilisés par Victor Hugo pour dénoncer? Victor hugo utilise le registre pathétique pour dénoncer. En effet dans ces poémes on retrouve le champ lexical de la souffrance et de la mort comme avec "la mort; deuil; sanglot" (Souvenir de la nuit du 4, vers 5, 47, 39), "soufle étouffant; misère; pâleur" (Melancholia, vers 24, 18, 12) et avec "la misérable; sa plaie; sanglante"(La Prisonnière passe, vers 23,37,38)

évoqués (« autorité », « culte », « politique », « morale ») et le particulier en désignant vaguement des personnalités qui pourraient (« autres », « personne », « quelque chose », « deux ou trois »). L’aspect totalitaire de la censure est ainsi dénoncé de façon comique car si l’on revient sur l’énumération, on ne peut pas écrire sur : le pouvoir politique et religieux et ses représentants (classique) mais aussi sur la morale et les arts ce qui prouve une extrême rigueur de la censure, rigueur soulignée

Il s'attarde particulièrement sur l'outil de son labeur : ses mains. En effet elles constituent la preuve de son usure au travail. Il emploie un champs lexical autour de la misère : "encroutées", "éraillées", "durcies", "sales". Rousseau cherche à faire parler les mains de quelqu'un qui ne sait pas parler, qui n'ose pas dénoncer l'injustice de son époque et qui a perdu espoir, l.10 à 11 "comme pour présenter d'elles-mêmes l'humble témoignage de tant de souffrances subies." Puis il reprend son portrait

également très nombreux dans les 3 poèmes. Le poète nous demande de partager sa compassion . Les phrases sont souvent courtes (V 1 L'enfant, V11 Melancholia), cela a comme conséquence de nous faire vite comprendre. IV) Les figures de styles « Ô misère (Chanson) Apostrophe qui surprend le lecteur et lui demande « Ô servitude (Melancholia) l'attention ( Interjection) Dans ce qui concerne la métonymie, on retrouve « Fièvre Maigrit » :