Déficit

6 points de pourcentage du PIB du service de la dette va accroître l'investissement de 0,75 à 1 point du PIB et la croissance de 2 points de pourcentage. Enfin, ils concluent que si la moitié du service de la dette est annulée sans hausse du déficit budgétaire, la croissance augmentera dans quelques PPTE par 0,5 point de pourcentage par an. En plus, ils confirment cette thèse de la courbe de Laffer de la dette car ils trouvent qu'au-delà de 50% de la dette en valeur nominale sur le PIB et 20-25%

des encaisses réelles. Toutefois, la relance budgétaire n’a pas réellement un effet déclencheur de l’inflation. Durant les années 70, la France a un déficit plus faible mais une forte inflation, par exemple. L’effet de l’inflation à long terme est plus prononcé. En économie ouverte, la politique de relance budgétaire provoque un déficit commercial par une baisse des exportations compensée par une hausse des importations. La forte demande intérieure, stimulée par une croissance du revenu

de sortir la France de ce marasme économique. Dans un premier temps, elle prévoit une réduction du déficit public à 6,0 %. Alors qu’en 2010, il atteignit un niveau record à 7,7 % du PIB, ce nouveau programme devrait le faire refluer à 6,0 % pour 2011, puis à 3,0 % pour 2013. Dans cette optique, le gouvernement français vise une baisse considérable et même qualifiée de « historique » du déficit du budget de l’Etat. En effet, il est attendu à ce qu’il passe de 152 milliards d’euros pour 2010 à 92

conditions ou du calendrier de l'application des mesures exigées pour réduire le déficit public et atteindre l'objectif de 3 % du PIB, comme l'exige le nouveau pacte budgétaire sous peine de sanctions automatiques. D'une certaine façon, l'Espagne l'a imposé récemment à Bruxelles, en passant d'un déficit public ciblé de 4,4% du PIB à 5,3% pour 2012, actant le fait que le gouvernement précédent avait laissé un déficit public à 8,5% du PIB contre un objectif de 6,6% en 2011. Ces pays pourraient par

« Eloge de la dette » Q.1. Expliquez la relation qui existe entre déficit public et dette publique Le déficit public correspond au solde négatif des budgets des administrations publiques, c'est-à-dire le solde cumulé des budgets de l’Etat, des collectivités locales et de la Sécurité sociale. La dette publique désigne l’ensemble des emprunts contractés par l’Etat pour financer le déficit public. L’accumulation de déficits publics a pour effet d’accroitre les dettes publiques. De plus, la dette

macroéconomiques, qui exigent une solution à court terme, se joue l’équilibre instable du Gouvernement. La hausse des prix a réduit à néant le capital de sympathie dont jouissait le Président qui rassure et son jeune Premier Ministre. L'annonce d'un déficit budgétaire de plus de 30 milliards d'ouguiya, le constat de la faillite de sociétés publiques (à commencer par Air Mauritanie), un secteur éducatif caractérisé par la médiocrité, un rêve pétrolier qui se révèle un mirage miroité par un Gouvernement

Aujourd’hui, l’Union économique et monétaire impose des contraintes aux différents pays différents pays membres : ces derniers, comme la France, ne peuvent plus mener librement leur politique économique. Par exemple, le traité de Maastricht prévoit que le déficit public ne doit pas excéder 3 % du PIB. I- ENJEUX DE LA POLITIQUE ÉCONOMIQUE La politique économique est de plus en plus un enjeu de souveraineté, dans la mesure où l'économie a pris une place déterminante dans la vie des pays, surtout les plus

cotisations à 40 annuités contre 37 d’ici 2015. Les syndicats ont d’ores et déjà annoncé envisager de nouvelles actions pour s’opposer à cette réforme. Le gouvernement socialiste grec a accepté un plan drastique et très impopulaire de réduction des déficits, en contrepartie d’un plan de sauvetage de 110 milliards d’euros sur trois ans de l’Union européenne et du Fonds monétaire international. Dans ce plan, figure une réforme des retraites. Le gouvernement va en détailler les mesures ce lundi. Le plan

du chômage lors des périodes de faible croissance ou de récession. Concernant la grece cette politique de relance est interdite car son déficit est trop important pour envisager des dépenses publiques supplémentaires, il faut d’abord apurer le passif avant de pouvoir relancer l’économie par une réduction de certains impôts qui ne ferait qu’accroître le déficit budgetaire actuel.

coûts. Aujourd'hui, chaque pays possède un taux (décidé par des agences de notations) qui définit le pourcentage de l'intérêt à rembourser. En regroupement toutes les obligations, ce taux sera plus bas, et il sera plus facile pour des pays en large déficit, comme la Grèce, d'emprunter et de ne pas s'enfoncer encore et encore. Cette mise en place montrerait aussi la solidarité présente entre les pays membres de l'UE. l'UE étant une puissance économique, seulement si touts les pays s'entraident. Il