Déficit

au Sao Bento Palace à Lisbonne, le 28 avril 2010. AFP / F. Leong Par Altin Lazaj Il semble que la crise grecque se propage dans la zone euro avec le Portugal pris à son tour dans la tourmente des marchés financiers en raison de l'ampleur de ses déficits. Le Portugal a subi mardi 27 avril une dégradation de la note de sa dette par l'agence Standard & Poor's. Cela a suscité la crainte d'une contagion de la crise grecque à ce pays. La note de la dette à long terme du Portugal a été abaissée de deux

strictement respecté, avec un plan sans précédent de 50 Md€ d’économies sur 2015-2017, dont 21 Md€ en 2015. Le rythme de réduction des déficits est néanmoins adapté à la situation. Il ne sera pas demandé d’efforts supplémentaires aux Français car si le Gouvernement assume le sérieux budgétaire pour redresser le pays, il se refuse à l’austérité. En conséquence, le déficit passera de -4,4 % cette année à -4,3 % en 2015 et retournera sous les 3 % en 2017. 3 Des économies nécessaires pour le redressement

I Évolution de la situation des finances publiques françaises Le déficit public correspond au déficit de toutes les administrations publiques (État, administrations de sécurité sociale, administrations locales et organismes divers d'administration centrale). Le déficit du solde des administrations publiques (différence entre les recettes et les dépenses) se creuse en 2008 (plus de 7 % du PIB). L'accumulation de ces déficits au cours des années constitue la dette publique. En 2009 la dette publique

étrangers. L’accumulation des déficits budgétaires vient gonfler l’encours de dette publique et augmente les charges futures de l’Etat→ à terme, le poids de la dette peut ainsi devenir insoutenable par rapport au niveau des recettes de l’Etat. Certaines dépenses publiques sont particulièrement rigides et difficilement irréversible en cas de détournement de la conjoncture. La contrainte extérieure : la relance par la demande →une hausse des importations donc déficit de la balance commerciale L’inflation:

budgets de 2006 et de 2007 présentent un déficit budgétaire car les dépenses sont supérieures aux recettes. On observe que les dépenses augmentent de 0,7 % quand, dans le même temps, les recettes augmentent de 3,2 %, ce qui a pour effet de réduire le déficit budgétaire, qui passerait de près de 47 milliards d’euros en 2006 à 41,6 milliards d’euros en 2007. 3. Pourquoi parle-t-on d’équilibre de la loi de finances ? La loi de finances est équilibrée car le déficit budgétaire doit être comblé, les comptes

Économie Immobilière Glossaire [pic] Économie Immobilière Glossaire 1 A Équilibre budgétaire et dette publique 2 A.1 Déficit public / PIB 2 A.1.1 Le budget de l'État 2 Le déficit budgétaire 2 Le déficit public 2 Le déficit primaire 3 A.2 Dette publique / PIB 3 A.2.1 Dette Souveraine 3 Dette domestique 3 Créances sociales (salaire des fonctionnaires, par exemple) 3 Créances commerciales (fournisseurs de l'état, par exemple) 3

qui s'exprimait sous le sceau de l'anonymat. Les mesures de rigueur budgétaire Tour d'horizon des plans anti-déficit annoncés par François Fillon le 24 août puis le 7 novembre. [pic] En moins de trois mois, le gouvernement a annoncé deux vastes programmes de rigueur budgétaire.  L’objectif est de permettre à la France de respecter ses engagements de réduction des déficits publics malgré le ralentissement économique. Et envoyer des signaux de bonne gestion à l'Europe et aux marchés financiers

plus souvent en déficit (=plus de dépenses que de recettes) En 2000, le déficit prévu est de 215 milliards de francs Avantage : Le déficit permet de soutenir l'action économique et sociale du gouvernement, en dégageant plus de moyens. Inconvénient : le déficit doit être financé, en particulier par l'emprunt. Ceci alourdit les charges de l'État. Lorsque la dette devient trop importante, l'État peut se retrouver paralysé (C'est le cas par exemple de nombreux pays africains) Le déficit est désormais

taux de croissance plus élevé que la moyenne européenne. Le taux d’imposition des sociétés avait été ramené à 12,5% et le taux effectivement payé par les nombreuses transnationales qui y avaient élu domicile oscillait entre 3 et 4% : un rêve ! Un déficit budgétaire égal à 0 en 2007. Un taux de chômage de 0% en 2008. Un vrai charme : tout le monde semblait y trouver son compte. Les travailleurs avaient un emploi (certes très souvent précaire), leurs familles consommaient allègrement, elles jouissaient

du chômage, ce qui évite une trop forte chute de la consommation) et ses recettes fiscales diminuent (différents impôts). Conséquences : le déficit budgétaire se creuse. Inversement en période de croissance, les recettes fiscales augmentent pour les raisons inverses, et les dépenses diminuent (notamment l’indemnisation du chômage). Cela améliore le déficit ce qui freine un peu la croissance (pression fiscale). Ces stabilisations amortissent les cycles. b) Les amplificateurs de chocs sont l'inverse