Déficit

qui ont entrainé l’endettement au niveau mondial des Etats. - Le déficit (12,7% du PIB) a surpris tous les membres du l’UE, car masqué par l’ancien 1er ministre. Il est du notamment aux fortes dépenses militaires, à l’ampleur du secteur public, et à la fraude fiscale. - Les agences de notations : Elles évaluent la situation économique, la stabilité financière et la politique budgétaire des Etats. Après dévoilement du déficit Grec, elles ont baissé leur notation sur la capacité de la Grèce à

dynamiques d’Europe, avec une croissance de plus de 4% par an en moyenne. Sous l’effet de la crise financière internationale, l’économie du pays s’est peu à peu dégradée. En 2009 les dépenses de la Grèce ont été supérieures à ses recettes ce qui a crée un déficit de 12.7% du PIB et creusé la dette de l’Etat qui a atteint 113% du PIB. L’Euro est la devise officielle de l'ensemble de l'Union européenne et la monnaie unique commune à seize de ses États membres, qui forment la zone euro. Nous pouvons donc nous

directement aux banques même si leurs taux d'intérêt sont plus élevés. Les taux d'intérêt sur les billets de trésorerie ont oscillé autour de 4% au cours de l'année 2009. C'est un niveau nettement inférieur comparé aux taux bancaires». Grèce : un déficit public de 12,7 % du PIB et un optimisme infaillible Le ministre des finances grec, Georges Papaconstantinou, exclut que son pays quitte la zone euro, dans un entretien paru lundi 25 janvier dans le quotidien allemand Die Welt, alors que les craintes

une grave crise similaire à celle que traverse la Grèce aujourd'hui… - « développer une coordination sans cesse plus étroite des politiques économiques au sein de la zone euro » Par cette harmonisation budgétaire on cherche à lutter contre les déficits publics pour un retour à l’équilibre budgétaire dans la zone euro. - Assainir les comportements de "pays-cigales", comme la Grèce, qui paient à crédit leurs dépenses publiques, se servant de l’emprunt comme ressource pour financer la dette.

affaiblissement de la capacité d’importation qui passerait de 5,4 mois en 2008 à 4,6 en 2010. Ce niveau reste toutefois supérieur à 2 mois d’importation et le Burkina Faso ne remplit dès lors pas le critère d’éligibilité n° 2. Au regard du critère n°3 – Déficit budgétaire hors dons Les chocs exogènes que le Burkina Faso a connus en 2009 se sont traduits par des dépenses additionnelles, encore accentués par des mesures prises pour faire face aux destructions provoquées par les inondations. Pour combler les

revêt  une  nature  exceptionnelle  et  sera  supprimé  lorsque  le  déficit  public est inférieur à 3 % du PIB. Il s’applique donc pour la dernière fois aux revenus  2013.    PLF 2012 – DISPOSITIONS FISCALES Page 2 sur 2   NOUVELLE RÉDUCTION HOMOTHÉTIQUE (« RABOT ») DE  L’AVANTAGE EN IMPÔT PROCURÉ PAR CERTAINS AVANTAGES  FISCAUX A L’IMPÔT SUR LE REVENU  Situation actuelle  Dans  le  cadre  de  la  réduction  des  déficits  publics,  la  loi  de  finances  pour  2011  a  introduit une r

grecques ? Tout bonnement catastrophique : Un déficit public prévu à 12,7 % du PIB pour 2009 et 9,4 % du PIB en 2010. Une dette publique de 300 milliards d’euros fin 2009 (113 % du PIB) et attendue à 120 % du PIB en 2010, alors que la limite imposée par l’UE est de 3% du PIB Pourquoi ce problème a-t-il si soudainement inquiété les marchés ? Parce que l’ancien gouvernement de la Grèce avait falsifié les chiffres... Le gouvernement précédent annonçait un déficit public de 6 % du PIB en 2009. George Papandréou

baisse. Il y a une réduction des introductions en bourse car les entreprises ne veulent pas vendre leur actions à prix bradé. Faire défaut de paiement (on ne paie pas) ≠ faillite → on ne pourra plus jamais payer Dette des USA : 1500 milliard de déficit budgétaire 14 300 milliards de $ Quand une guerre éclate , la bourse baisse mais un an après le niveau de la bourse est au dessus du niveau initial. Avant un Président pouvait emprunter quand il avait de l’or. Pour s’endetter il faut déjà

mesure d’orienter l’économie vers une situation de plein emplois de l’équipement et de la main d’œuvre. Conclusion (suite) Les opposants de keynes considèrent que cette politique d’intervention de l’etat creuse le déficit budgétaire, occasionne un financement monétaire de ce déficit, ce qui accroit les risques inflationnistes. Les keynésiens répliquent à ces critiques que le financement de l’intervention de l’etat par des moyens monétaires n’est pas inflationniste lorsque l’économie se trouve en

récolter des fonds qu'on redistribuerait dans le système financier grecque, et à long terme serait la globalisation des déficits budgétaires européens afin de mieu pouvoir la combler. - Avoir recours à des fonds étrangers; Brésiliens, Indiens, Chinois; notamment les pays émergeants qui connaissent une forte expansion depuis quelques années et qui n'ont pas de problème de déficit budgétaire. Évidemment ils ont leurs intérets à participer au sauvetage de la grèce, d'un point de vue économique, mais