De La Vanité Montaigne

ESSAIS, LIVRE I, Michel de MONTAIGNE (1ère parution, 1580) Au lecteur Montaigne informe le lecteur qu’il écrit ce livre pour se décrire, afin qu’on le comprenne. LIVRE PREMIER CHAPITRE I Par divers moyens on arrive à pareille fin « vengeance » n’a alors aucun intérêt, outre le fait de soulager l’Homme. CHAPITRE V Si le chef d’une place assiégée, doit sortir pour parlementer A travers plusieurs histoires qui illustrent la vertu de certains hommes, Montaigne semble exprimer que la pitié

savoir, la culture ? 1) Qu’est ce qu’un esprit cultivé ? développer l’aptitude au jugement dans la théorie (poser une pb, argumentation,…)  être capable de percevoir le sens des choses : différence entre tête bien faite et tête bien pleine : Montaigne 2) Comment développer son esprit ? étude de grands œuvres qui sont de grands du passé qui reste toujours d’actualité et permettent à l’esprit d’analyser les situations avec du recul : Alain il faut méditer sur la culture travail par lequel

doutes se forment, et que apparaît une nouvelle forme d’argumentation. En effet des découvertes scientifiques prouvent que l’homme n’est pas au centre de l’univers et devient au centre des questionnements, c’est l’Humanisme. Les Essais de Michel Montaigne (1595) témoignent de ses expériences personnelles et de ses réflexions philosophiques, inspiré des textes antiques, stoïciens et des préoccupations contemporaines. La remise en cause de l’ethnocentrisme (nouveaux continents, civilisions), la condition

possessifs → village symbole simplicité & intimité B. Comparaison Anjou/Rome • Recours récurent à comparaison + anaphore « plus que » ds tercets • Accélération rythme tercets → de – en – de verbes • Nombreuses antithèses : simplicité village vs. Vanité & orgueil de Rome C. L’affirmation d’une singularité : un poète et sa patrie • Importance des racines et histoire de DB → 2ème quatrain : Anjou chaleureux & reposant • Choix curieux : cheminée mieux que palais | III. Un sonnet humaniste

sceptiques, il n’y a pas sa chez Montaigne On trouve chez lui des positionnements moraux 2) Les dangers du dogmatisme Naturellement on à l’impression d’être certain, on aime pas l’inconfort du doutes Suspens nos actions et trancher, on manques de direction Mais le dogmatisme est vecteur d’intolérance Grace au scepticisme on est pas mue par nos passions, il faut de la force pour contre balancer est ne pas avoir l’obstination Le scepticisme prévient la vanité l’orgueil et hubris Exclure

"je", lorsqu'elle est instaurée dans les Confessions de Saint Augustin, apparaît aussitôt comme longue, sinon interminable. Qu'il s'agisse des Essais de Montaigne ou des Confessions de Rousseau, les textes sont copieux, parce qu'il faut tenir compte de l'évolution du "je". De surcroît, ce "je" paraît éminemment mobile: c'est le va-et-vient de Montaigne de l'épicurisme au stoïcisme, c'est la façon dont Rousseau essaie de débusquer, derrière chacun de ses sentiments, des causes éventuellement lointaines

européenne. Instabilité politique : sensible dans les œuvres littéraires + replis de l’humanisme vers une création artistique. Groupe de la Pléiade avec Ronsard et du Bellay. Crise : 1572- 1620 ; Henri IV ; St Barthélémy Aggripa d’Aubigné + Montaigne. - Pour les humanistes, l’intérêt se porte essentiellement sur l’homme auquel ils accordent une fois et une ferveur sans précédent. - Frénésie d’écriture et de traduction. Volonté de repenser le monde. I) -------------------------------------------------

facultés. Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, même religieux : la parole divine doit être accessible à toute personne, quelles que soient ses origines ou sa langue. - Erasme (L’Éloge de la Folie). - Rabelais (Gargantua, Pantagruel). - Montaigne (Essais). • La Pléiade, de 1540 à 1590 : Les membres de la Pléiade entrent dans une logique de rupture avec leurs prédécesseurs, ils rompent avec la poésie médiévale et cherchent à exercer leur art en français (« la poésie doit parler la langue

l’homme d’accéder à la connaissance du souverain bien, à condition de poser une différence vraiment essentielle : l’homme peut trouver le souverain bien non par ses propres forces, mais par la foi. Croquette Bernard, Pascal et Montaigne, p. 35, propose un rapprochement avec Montaigne, Essais, III, 13, éd. Balsamo et alii, Pléiade, p. 1112 ; mais le contexte est différent, et touche la question des lois et de leur application : « La multiplication de nos inventions, n'arrivera pas à la variation des exemples

= mouvement de rénovation des lettres et de la pensée s’appuyant sur l’étude des textes antiques. Caractérisé par un idéal de tolérance et de confiance dans le progrès humain. Les humanistes sont nourrit de la culture latine et grec. Rabelais et Montaigne : grands humanistes. Siècle de la Renaissance, du savoir propagé par l’Elite intellectuelle d’abord en Italie puis en Europe. Renaissance : phénomène socio-culturel qui voit , du XIVème au XVI ème en France et en Europe, un bourleversament des