De La Physionomie

Etudes ! Derrière le Maître-clerc était un énorme casier qui garnissait le mur du haut en | |bas, et dont chaque compartiment était bourré de liasses d'où pendaient un nombre infini d'étiquettes et de bouts de fil | |rouge qui donnent une physionomie spéciale aux dossiers de procédure. Les rangs inférieurs du casier étaient pleins de | |cartons jaunis par l'usage, bordés de papier bleu, et sur lesquels se lisaient les noms des gros clients dont les affaires| |juteuses se cuisinaient en

d’un produit. Le modèle est donc une forme graphique comportant un volume ; par exemple, une création de joaillerie, de l’art mobilier ou la carrosserie d’une automobile. Il en est de même des créations comportant un aspect extérieur « ayant une physionomie propre et nouvelle » ; par exemple, un tissage produisant un aspect velouté particulier. Dans la loi française, les dessins et modèles bénéficient d’une double protection en raison de leur double nature. Dans ce contexte, on parle du principe de

corpulent...) enfin l'attitude (leste, souple, gracieux, prompt...). 2. Le visage: Le choix de quelques détails caractéristiques de la physionomie du personnage permet d'annoncer son portrait moral: Le visage peut être (maigre, osseux, ridé, lisse...). Sa forme (ovale, carré, arrondi...). Le teint (blanc, brun, rose, injecté de sang, bronzé, blême...). La physionomie (gaie, triste, froide, souriante...). Les cheveux (châtains, roux, ondulés, dorés, fauve, lisses, crépus, touffus...). Le front (étroit

T C É C I T É ................................................... ........... 3 Compétences spatiales ................................................................................. ............................................ 3 Visagéité et physionomie.............................................................................. ............................................ 4 I M A G E S O I ................................................... .............................................. 4

consacré à la description et à l’analyse de la communauté des bohémiens vivant en Espagne, faites par un narrateur tout à fait neutre : leur vie errante, leurs activités de contrebande, leurs métiers, leur histoire, leur langue, leur caractère, leur physionomie, leurs mœurs, etc. sont abordés

possible de ressemblance avec de ‘vrais’ mineurs. Les moyens utilisés par l’auteur pour que son personnage traduise le milieu de dans lequel il vit sont nombreux. Le romancier fait une description réaliste et détaillée des personnages : il décrit la physionomie de celui-ci, ainsi que des détails anatomique – dans Madame Bovary : ‘il fut surpris par la blancheur de ses ongles taillés en amande’. L’auteur s’appuie aussi sur des évènements et des personnages historiques pour plus de réel comme Madame Bovary

de se peindre soi-même ! » Van Gogh réalisa 35 autoportraits qui permettent de suivre à la fois les signes de sa maladie et l'évolution de son style. Dans cet autoportrait de 1889, Vincent se montre moins tragique que dans les précédents. "Ma physionomie est calmée, quoique le regard soit vague davantage qu'auparavant." Dans tous ses autoportraits, on remarque que Van Gogh a le visage légèrement tourné vers la gauche, de trois quarts, comme s'il voulait cacher une oreille ! le seul autoportrait

de joie, masques d’hypocrisie, tous exténués, tous empreints de signes ineffaçables d’une alletante avidité «  l.9 Ici le mot «  masque «  insinue donc que ces personnes ne sont pas ce qu’elles pretndent. . Ces âmes sont dites comme étant une «  physionomie cadavereuse «  l.13, ou la jeunesse n’est plus enthousiatse, «  jeunesse blafarde et sans couleur «  l.14. De nombraux adjectifs perjoratifs tels que «  hâve, jaune, tannée » l.14, insitent sur des coulleurs repouissantes. Si la population parisienne

- « les ongles (…) presque trop pointus » - « son haleine fétide » - « un sourire effrayant qui découvrit ses dents proéminentes » (l. 22) 3) Le narrateur ressent d’abord de la curiosité et de l’étonnement : « sa physionomie ne pouvait laisser indifférent » (l. 4), « une vitalité étonnante » (l. 11), « extraordinaire maigreur », « Etrange constatation » (l. 17) (1 pt.) Puis cette impression se change en inquiétude, en peur, en dégoût : « un frisson » (l. 20)

membres décomposés en cônes ou en cylindres, ils ont des mains rigides avec des doigts mécanisés. Le peintre a représenté les personnages tels qu’ils sont à l’intérieur d’eux même, c'est-à-dire, complètement vide. Ils n'ont pas de visage, aucune physionomie donc aucunes expressions qui montreraient leurs sens humain, se sont des ''chair à canon'' déshumanisés .Le décor est aussi géométrique que le reste. On ne distingue pas très facilement les différent corps représentés. Au centre des soldats il