De La Physionomie

eux-même « les poisons dont sont engrossés leurs cerveaux ». Balzac montre qu'il ne se montrent même plus peut-être par honte, il se cache derrière des masques « masques de misères, maques de joie, masques d'hypocraisie ». Le peuple est fatigué « physionomie cadavreuse », « jeunesse blafarde et sans couleur »; « caducité fardée », « peuple exhumé ». Les habitants semble mort-vivants, exténués par cette vie et fiat ressentir un mouvement de dégout de la part des lecteurs, « teinte presque infernale des

personnages, sur les lieux,… qui n’étaient à mon goût pas forcément nécessaire. Pour illustrer mes pensées, je vais vous montrer un extrait de l’une de ces longues descriptions présente dans mon livre : ‘’ Passepartout était un brave garçon, de physionomie aimable, aux lèvres un peu saillantes, un être doux et serviable, avec une des ces bonnes têtes rondes que l’on aime. Il avait les yeux bleus, le teint animé, la figure assez grasse, la taille forte, la poitrine large, …’’ Enfin, il faut

est encore composé de stéréotypes La blancheur du teint La finesse de la taille renvoi a une féminité conventionnelle La noblesse de la tenue La relation entre le portrait du corps et de l’âme. -Présence du terme « physionomie »l3338  évoque les traits d’une personne qui exprime le caractère, par conséquent ; le portrait physique qui va suivre, va certainement nous livrer les caractéristiques de son âme ; de son esprit. « Le calme trahissait une étonnante profondeur

ainsi qu’un sein féminin aux motifs colorés, crée un lien avec une grande forme blanche, sorte de monstrueux tubercule bosselé évoquant un visage aux traits incertains. De minuscules signes et des taches jaunes aussi bien que rouge suggèrent une physionomie. Les épaisses formes sont colorées dans des tons puissants de rouge, jaune, blanc et noir. Miro crée des contrastes de couleurs entre les parties posées les unes sur les autres en utilisant un clair-obscur, ainsi qu’un chaud-froid. Il souligne

Paris - à Venise - Constantinople - Turquie et s’installe sur les bords de la Propontide, Candide est une réflexion sur le mystère du mal et sur comment concilier l'existence du mal sur terre avec l'existence de Dieu. Candide ; " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de

s'appuyant de la clameur générale, les agents tirèrent leurs pistolets. Collin comprit son danger en voyant briller le chien de chaque arme, et donna tout à coup la preuve de la plus haute puissance humaine. Horrible et majestueux spectacle! sa physionomie présenta un phénomène qui ne peut être comparé qu'à celui de la chaudière pleine de cette vapeur fumeuse qui soulèverait des montagnes, et que dissout en un clin d'oeil une goutte d'eau froide. La goutte d'eau qui froidit sa rage fut une réflexion

et le monde aristocratique.Toutes ces personnes semblent appartenir à une communauté qui les unit (ce que nous pouvons affirmer par l’utilisation récurrente du pronom ils). C’est un monde indéterminé. Les invités, hommes et femmes, n’ont pas de physionomies propres : ils sont décrits selon leurs attributs (habits et manières), et ils sont désignés par le pronom impersonnel « on » qui exprime l'inconnu. En effet, Emma distingue des actions et des mouvements plutôt que des personnes. Elle se retrouve

allant du plus descriptif au plus théorique. Les composants du monument de la Comédie humaine sont les Études de mœurs, les Études philosophiques et les Études analytiques. Les Études de mœurs englobent tous les effets sociaux sans que ni une physionomie ni un caractère de femme ou d’homme, ni une profession, ni une zone sociale n’ait été oublié. La seconde assise est les Études philosophiques, car après les effets viendront les causes, ce sont donc les conditions au-delà desquelles ni l’homme ni

à l’imaginaire collectif et merveilleux du conte. Situé en Westphalie, lieu réel qui réduit à néant l’imaginaire. Candide : Naïf comme l’indique son nom, ignorant : »jeune garçon », « l’esprit le plus simple » (renforcée par superlatif), « physionomie annonçant son âme », « pureté de son âme », « jugement assez droit » et « écoutez ses lecons » : rôle de l’élève modèle qui apprend. Candide : illégitime à cause « d’un quartier » qui montre l’ironie, bâtard « fils de la sœur du baron… », « que

finissent par devenir de plus en plus pathétiques vers la fin du récit..Voltaire, qui n’aime pas ce genre de personnage, nous met en garde contre de pareilles gens.C’est un philosophe, il parle toujours, sa théorie: tout va bien. Candide :   " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de