De L Inégalité Montaigne

personnelle, vous vous demanderez si, indépendamment des voies qu’ils empruntent, les échanges sont efficaces. Éléments de correction Certes, échanger peut porter ses fruits : — les échanges permettent de se construire individuellement (Socrate, Platon, Montaigne) ; — les échanges sont à l’origine des sociétés, fondent les relations communautaires et forment le socle des systèmes économiques (voir le Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes, de Rousseau) ; ils sont omniprésents dans la société

grandes caractéristiques sortent de ce principe : * La liberté : les athéniens sont libres, ils ne peuvent être entravés sinon il ne pourrait être des souverains * L’égalité de parole entre les citoyens : conséquence logique, s’il y avait une inégalité de parole cela vaudrait dire qu’il y a un groupe supérieur * La souveraineté de la loi : rien n’est supérieur à la loi adoptée par les citoyens. Qui sont ces citoyens ? Ils sont les hommes jouissant de leurs droits civiques, de plus de 18 ans

avec l‟absolu et sans cesse fuyant, exprime positivement sa possibilité illimitée de changement et par conséquent la faillite inhérente à toute entreprise visant à la conceptualiser. C‟est ce que corrobore cette contestation ou confirmation de MONTAIGNE, selon laquelle « l‟homme est ondoyant et divers ». Des lors, toute la suite de la vie, aussi absurde soit-elle, est pleine d‟interrogations :     Agir pourquoi ? Ne pas agir pourquoi ? Que je m‟engage ici ou là ? Que je ne m‟y engage

retrouve notamment chez Montaigne (1553-1592), qui est hanté, angoissé par la fragilité de la vie humaine (or il écrit pendant la période des guerres de religion en France). Pour lutter contre cette angoisse il va essentiellement insister sur la connaissance que l'individu doit avoir de soi même. Et les essais de Montaigne sont tout un ensemble de récits du quotidien de Montaigne, d'anecdote ainsi que de petites fables. Et grâce à cette auto-biographie l'enjeu pour Montaigne va être d'investir les

durable », parce que l'homme y découvre les relations avec ses semblables et notamment, la famille. Dans cet état naturel, l'homme connaît la liberté et l'égalité. Les développements de l'agriculture et de l'industrie, la propriété engendrent les inégalités. La société, et l'asservissement qui en résulte, en sont les conséquences inéluctables, puisque, la sécurité est menacée par les passions et les rivalités sociales et qu’il faut la retrouver. La société idéale doit rassurer ces velléitaires instables

règles assez strictes d'espacement des villes selon leur taille. Dans sa théorie des lieux centraux, W. Christaller (1933) en a donné une explication par la concurrence entre les villes qui assurent la desserte et l'encadrement d'un territoire. Les inégalités du poids démographique des villes sont très corrélées avec les différences du niveau des fonctions qu'elles exercent, niveau mesuré par le nombre, la diversité, la fréquence d'utilisation, la rareté et la portée spatiale de leurs activités de service

mal ; ils vivent avec leur famille et n’ont pas besoin des autres pour survivre. Une suite de catastrophes va les amener à entre en société (lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui provoque le développement de la propriété privée -> inégalités + raison morale (connaissance du bien et du mal). En conséquence, il y a bien l’idée d’une nature humaine dans le sens où une certaine idée, définition de l’homme, est antérieure à toute culture. Le problème : Rousseau pense bien un état de nature

différences légitimes ("des goûts et des couleurs, on ne discute pas!") qui se partagent le marché. C'est ainsi que l'agora où se rencontraient les citoyens égaux est devenu un marché où l'on vient d'abord pour y trouver des marchandises et où toutes les inégalités se rencontrent (Hannah Arendt). L'absence de lieu de discussion véritable, de légitimité de tout jugement rend toute parole insignifiante alors que seul compte la mise en scène de la consultation de tous et la représentation d'une discussion sans

rapidement assimilé la culture des lumières a l'universalisme > la culture peut s'imposer a tout les hommes quelques soit leur ethnie -Dans l'oeuvre de Montaigne , on trouve une acception de la culture mettant l'accent non pas sur son universalisme mais sur le rapport très étroit qui le lie a un contexte particulier , dans ce sens là pour Montaigne , il existe autant de culture que de contexte particulier , différent d'une vision universaliste de la culture . -Sur les mœurs et l'esprit des nations

Edit de Villers-Cotterêts 1598 : Edit de Nantes 1610 : assassinat de Henri IV 2) Situez ces différents auteurs et textes : d’Aubigné ;  du Bellay ;  Calvin ;  Erasme ;  L. Labé ;  Luther ; Machiavel ; Marot ; Montaigne ; Thomas More ; M. de Navarre ; Rabelais ; Ronsard ; M. Scève ; les Amours ; la Bible en allemand ; Cymbalum Mundi ; Défense et illustration de la langue française ; Eglogues ; Eloge de la folie ; Essais ; Gargantua ; Heptaméron ; Pantagruel ; Le