Dangers De La Rhétorique

l'effet produit par un spectacle tragique, altère-t-elle notre vertu? Rousseau va d'abord se demander qu'elle sorte de pitié ressentons nous à la vue d'une tragédie? Puis si cette pitié a sa place en dehors des théâtres? Et enfin, si elle représente un danger pour notre vertu? En répondant à ces trois questions, l'enjeu de Rousseau est de démontrer de manière logique la théâtralisation de la vertu en distinguant la fiction de la réalité. I) Qu'elle sorte de pitié ressentons nous à la vue d'une

mortification de toutes [les] passions, inclinations, humeurs et aversions ». En quoi l’extrait choisi est-il un enseignement sur la lutte contre les passions et comment révèle-t-il une vision particulière de l’homme? Ainsi, F. de Sales utilise une rhétorique didactique afin de convaincre ses Filles d’observer les Règles et de se s’adonner à la mortification comme combat contre les passions, dévoilant ainsi une conception originale de l’homme et de ses passions, faite d’indulgence exigeante, à la croisée

ce projet de mariage plaisait à sa fille, elle lui répondit en toute liberté que Silvia était mécontente de cette initiative, cette idée lui déplaît. Or le ton montre entre les deux personnages si bien que le débat se centre sur les charmes et les dangers du mariage. Cette 1ère scène confirme ses fonctions d’exposition puisqu’elle présente l’héroïne Silvia ; sa servante Lisette et au delà du discours un jeune homme que Mr Orgon souhaite faire épouser à sa fille. Ainsi l’enjeu de l’action est-il posé :

Dans le second texte, Jean Giono implique le lecteur à l’aide d’une sorte de dialogue fictif où il développe sa thèse tout en anticipant les éventuels arguments d’une antithèse de la part des combattants. Pour cela Il utilise aussi des questions rhétoriques tels que « Comment la perte totale de la liberté peut-elle protéger la liberté ? ». COMMENTAIRE COMPOSE : Vous ferez le commentaire du texte d’Alice Ferney à partir du parcours suivant : -Montrez que la vision de la guerre se construit à travers

rêve/réalité : conjugaison à l’indicatif (présent, futur, et, dans « La laitière », imparfait), discours direct ; « la Laitière », assurance dans les tournures (« il m’est facile », « bien habile/S’il ne m’en laisse assez », « coûtera peu »), question rhétorique v. 19 à 21. 2. Dénouements · Dénouements : brusque retour à la réalité, conséquemment rêves brisés. Dénouements comparables ; mais déroulements différents, nuances dans les conséquences, perception par le lecteur différente. · Chute brutale

ils peuvent en exiger le prix d’un solidus par an jusqu' à ce que l’enfant ait dix ans. ». Ils existent aussi des hôpitaux pour enfants trouvé les enfants abandonnés peuvent trouver un toit mais beaucoup meurent avant l’âge de six mois. III Les dangers de l'enfance. Les maladies et le manque d’hygiène : La diarrhée et la fièvre sont les deux principales maladies. Les squelettes d'enfants retrouvés lors de fouilles laissent apparaître des blessures profondes. Des décalcifications (des

l’égoïsme -Forme de Misanthropie qui met en danger en quelques sorte les autres avec la chute du texte. - Le présent de vérité générale transforme Gnathon en type universel, qui s’oppose a l’honnête homme. Conclusion : Ce caractère dépeint par la Bruyère dénonce à la fois un travers de l’être humain et le type sociale indigne qui préfigure la ruine d’une société de privilège ou le moraliste cherche l’approbation du lecteur en utilisant une rhétorique importante et un ton satirique. La Bruyère préfigure

engendre le Fils Comment peut-on concevoir l’amour sinon comme « amour de… », « amour pour… » ? Exemple des veilleurs d’Alain (Propos sur les pouvoirs) : base de la religion que de croire. L’image du veilleur associé à la religion Surveiller des dangers (utilité pratique qui donnera lieu à la politique) et des esprits (utilité spirituelle qui donnera lieu à la religion). Double croyance : en les esprits pour combler le vide, l’inconnu ; et en les veilleurs, foi, confiance en l’homme pour protéger

troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée. Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ; La Dame de ces biens, quittant d’un œil marri              Sa fortune ainsi répandue,             Va s’excuser à son mari             En grand danger d’être battue.             Le récit en farce (5) en fut fait ;             On l'appela le Pot au lait.             Quel esprit ne bat la campagne ?             Qui ne fait châteaux en Espagne ? Picrochole, Pyrrhus (6), la Laitière, enfin tous,            

amant ou leur mari. II- Une opposition entre le corps et l’âme Les trois activités conviennent aux hommes mais les femmes ne sont ici associées qu’à l’amour. Elles ne sont pas capables d’amitié et les lectures sérieuses, comme l’étude de la rhétorique et de la philosophie ne leurs conviennent pas. Problème posé au début = il critique le mauvais jugement des « savants » qui ne parlent que de sujet élevé aux femmes : « Le savants choppent volontiers à cette pierre : ils font toujours parade de