D Ou Vient La Conscience Morale

leurs lois, leurs usages, leur jargon, et leurs mots pour rire. Tant que cet assemblage est dans sa force, et que l’entêtement subsiste, l’on ne trouve rien de bien dit ou de bien fait que ce qui part des siens, et l’on est incapable de goûter ce qui vient d’ailleurs : cela va jusques au mépris pour les gens qui ne sont pas initiés dans leurs mystères. L’homme du monde d’un meilleur esprit, que le hasard a porté au milieu d’eux, leur est étranger : il se trouve là comme dans un pays lointain, dont il

raisonnements rationnels sont exigibles : on exige une exactitude des résultats, des démonstrations et des démarches. → Un raisonnement rationnel est un raisonnement qui suppose un calcul. * Raisonnable : Il porte sur des faits pratiques, des actions morales, non pas scientifiques, et qui vise à s’assurer que les décisions prises, les actes accomplis, sont les plus raisonnables qu’il soit possible. → Il y a donc un usage théorique de la raison scientifique qui suppose un usage de la preuve. C’est le

La Technique (précisions du cours sur le travail. Le cours sur la technique peut être relié à la notion de culture, d’art, d’histoire, de matière et esprit, de conscience, d’éthique et de bioéthique) I°/ Essai de définition Ensemble de procédés transmissibles permettant de reproduire des fins utiles. Le terme technique vient du grec technikos qui concerne un art, de techné, art manuel, métier, habileté à faire quelque chose. Dans le sens ancien, la technique est l’ensemble des procédés d’un

Il est évident que l'on a profondément besoin d'autrui, à la fois pour la conscience de soi et pour la connaissance de soi : cette interdépendance mutuelle peut même être vue comme une condamnation. D'une part, on a besoin du dialogue avec autrui pour sa construction intellectuelle, même si cela comporte des risques. D'autre part, autrui est essentiel à la construction morale : son jugement est implacable, au point où le regard des autres peut constituer un enfer. ILe besoin de l'Autre AL'hypothèse

Le libertinage au XVIII ème siècle Le mot « libertin » vient du latin « libertus » qui signifie « affranchi » mais a deux significations. Du temps de Pascal (XVII ème siècle), ce mot désignait la liberté de pensée affranchi de toute doctrine religieuse. Au XVIII ème siècle s'ajoute à ce sens une idée de transgression morale. L' Encyclopédie en donne sa définition : « C'est l'habitude de céder à l'instinct qui nous porte aux plaisirs des sens ». Comment évolue le libertinage et comment est-il

problématique, il est saisi immédiatement comme sujet, Sartres se demande ce que ça signifie. Qua, il n’est pas un élément de plusnd je suis seul dans cet espace il s’organise à partir de moi-même, de mon regard, et vient le moment ou quelqu’un entre dans mon jardin et ce quelqu’un ne vient pas s’ajouter dans le tableau comme un élément neutre, il n’est pas quantitatif mais qualitatif, c’est ma présence dans ce lieu, mon expérience même qui s’en trouve modifiée, quand l’autre surgit dans ce jardin public

l’individu qui y est soumis. Le sujet ne s’impose pas lui-même une contrainte comme avec le droit de la morale ou de la religion (où ce dernier semble être pur et unique produit de conscience). Ici, la règle de droite est un ordre, une suggestion imposée à chaque membre du corps social qu’il le souhaite ou non puisqu’elle est contrainte émane de l’état. Ainsi, si toute règle de conduite ou de morale comporte une sanction (par exemple psychologique ou divine), la règle de droit est la seule à avoir une

INTRO : La conscience se caractérise comme la connaissance de l’homme sur ses pensées , ses actes ou ses actions. Il a la capacité d’y revenir pour les analyser ou bien seulement les juger . On pourrait donc penser que nous sommes libres dans notre façon de penser mais le problème de la religion survient . La religion vient du latin « religare » qui signifie « relier » ou bien de « religire » qui veut dire « recueillir ». Ces deux possibles explications de la religion montrent un double aspect

autres tous les membres dont est composée la société, ce qui précède pourra être répété à propos de chacun d'eux. Voilà donc des manières d'agir, de penser et de sentir qui présentent cette remarquable propriété qu'elles existent en dehors des consciences individuelles. Non seulement ces types de conduite ou de pensée sont extérieurs à l'individu, mais ils sont doués d'une puissance impérative et coercitive en vertu de laquelle ils s'imposent à lui, qu'il le veuille ou non. Sans doute, quand je m'y

fondamental ? L’homme est-il une menace par essence ? Met-il la vie, le bien-être, en danger de par ses actions ? Cause-t-il le mal? C’est une question morale, c’est-à-dire qui relève de la distinction entre le bien et le mal que l’on fait. Ce que l’homme fait de mal, le fait-il sans pouvoir y remédier ? Est-ce essentiel et inchangeable ? Ou bien vient-ce au contraire de ses acquis, de sa culture. L’homme provoque-t-il le mal à cause des savoirs et des savoir-faire qui se transmettent de génération