Cultiver Sa Différence

mentalités B. Mathématiques, l'égalité des compétences C. Egalité des compétences, divergence des orientations D. Sexe et origine sociale, deux régimes distincts d'inégalités E. Enseignement professionnel, une mixité difficile III. Les différences de réussites professionnelles obtenues A. L'école en avance sur la famille et l'entreprise B. Ecole, famille et profession, quel arbitrage ? Résumé du commentaire de texte Le baccalauréat sanctionne la fin des études secondaires des garçons

nous fait penser l’unité de l’humanité dans sa diversité. La réponse raciale a été discréditée par les avancées génétiques et la nature chez l’homme est entièrement interprétée par la culture. Il y a des différences liées à la nature, par exemple la différence entre les sexes sauf que la différence des sexes est travaillée par les cultures et dans toutes les sociétés on a une division des sexes différents, les rôles différents des h/f. Chez l’homme la culture est complètement naturelle, mm les besoins

1. - L''humanisme'', au sens courant, est l'intérêt que l'on porte à s'enrichir, dans le sens intellectuel, à se cultiver. Le cœur du sujet est la personne humaine, son épanouissement pour la littérature ou la science. Le but d'un humaniste est donc de se cultiver, de s'épanouir en ayant de nombreuses connaissances sur les peuples et civilisations du passé et contemporaines. L''humanisme'' met donc au premier plan le développement des qualités essentielles à l'être humain dont la capacité de réflexion

de l'individu, on décidera de considérer ici que la culture signifie un savoir maîtrisé, et que l'homme cultivé est un érudit correspondant à l'image de l'Homme des Lumières. En premier lieu, dans la pensée collective, l'éducation, c'est l'instruction. La culture s'entend ici au sens de savoir pur. Deux figures se dégagent: l'Homme cultivé et son reflet négatif, l'Homme ignorant. L'Homme cultivé, instruit, exprime bien sa pensée, est capable d'exercer un raisonnement logique. Plutôt que de subir son

- comportement que l'on juge indigne d'un homme --> normatif Etymologiquement --> logos (grec): -langage articulé ≠ cri -la raison/cohérence/intelligence ≠ animalité/affects/pulsions Tout homme est animé d'une tendance à rejeter la différence du côté de l'altérité radicale. Cette attitude peut se retrouver en chacun de nous. Parallèle à l'idée de barbarie nazie, on refuse de se reconnaître comme semblable, on diabolise afin d'économiser cette réflexion. "Le barbare (1) , c'est l'homme

Par le passé, des gènes influençant l'intelligence de manière profonde et négative ont été identifiés, comme ceux qui causent un retard mental par exemple. Les gène qui contribues à des différences moins dramatiques sont beaucoup plus difficiles à isoler. Une équipe de scientifiques composée de généticiens psychiatres de l'école médicale de l'université de Washington à Saint-Louis montre dans un article publié dans le journal médical Behavioral Genetics, qu'un gène activateur de signaux dans le

POURQUOI SE CULTIVER Depuis notre enfance, nous ne cessons de nous cultiver. En effet, nous avons été élevé dans une certaine société qui a placé en nous des valeurs, notamment par l’éducation. Sans la culture, nous ne serions alors que des animaux sujets à nos pulsions, cela montre donc l’opposition qu’il y a entre la culture que nous recevons et la nature avec laquelle nous naissons. Ce serait alors par la culture que nous deviendrions des Hommes. Par ailleurs, les connaissances sont propres

L'habitude est un frein à la liberté Les différences culturelles passent pour naturelles car elles sont acquises très tôt. Rousseau montre cette idée en prenant l'exemple des différences physiques Comme elles s’inscrivent dans les faits et que le corps est au départ naturel, les différences entre les individus vont passer pour naturelles. Pourtant, selon la façon de vivre et l’habitude (donc acquis) le corps aura plus ou moins de force, etc. Pour les différences intellectuelles qui sont un autre exemple

pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. Le terme de culture vient du latin colere qui signifie « mettre en valeur ». C’est pourquoi on utilise aussi bien ce terme pour parler d’un champ que l’on cultive que d’un esprit qui est cultivé. On oppose traditionnellement ce terme à celui de nature pour souligner que l’homme est un être de culture, un être qui s’est détaché de la nature et qui sans cesse transforme, modifie son environnement. En ce sens, si la culture est

autre corbeau et adopte un comportement adapté à cette rencontre), on observe que l'homme n'a pas toujours été, de fait, un homme pour son semblable. Pourquoi ? Qu'est-ce qui serait susceptible de nourrir ce doute ? Il semble que ce soit la différence de culture qui alimente ce questionnement sur l'humanité de l'autre. En effet, la diversité des croyances religieuses, des langues, et des coutumes produit une très grande hétérogénéité dans les valeurs, les pensées et les manières de