Côte de Beauté

belle· « Une beauté » indéfini, elle n’a pas de nom, indéterminé car on ne la connait pas, elle est définie par sa beauté· « L’effet est immédiat, … tout le monde » hyperbole, « tout le monde » = personne ne peut résister, elle a une beauté qui conquière n’importe qui, la beauté de cette femme parait objectiveLigne 2  : · « On doit croire » insiste sur le fait qu’elle veut qu’on croie la beauté de cette femme · « C’était une beauté parfaite » reprise de « beauté » · L’adjectif

est à-peu-près le même que pour les ymages du mur. Les figures de la danse sont celles de la beauté, symbolisant dans le même temps la beauté du verger. Elles sont présentées en opposition avec les fugures de la laideur, peintes sur le mur. Celles-ci sont immobiles, alors que les vertus seront des allégories mouvantes. Les allégories de l` amour courtois participant à la ronde sont: Richesse, Beauté, Franchise, Jeunesse, Largesse, Courtoisie ainsi que le Dieu d`Amour et son double, Doux Regard

terres, n’arrête pas de penser à elle et à sa beauté : « bien que les champs, les fleuves et les lieux/ les monts, les bois, que j’ai laissés derrière/ me tiennent loin de ma douce guerrière/ […] Toutes les nuits, impatient de hâte/ entre mes bras je rembrasse et retâte/ son vain portrait en cent formes trompeur ». Ainsi le poète est impatient de revoir son amoureuse et passe des nuits entières à penser à elle et à son beau portrait en se rappelant de sa beauté. De même, l’idéalisation de la femme est

produire des faux-semblants. L'art est une illusion et nous ramène au monde sensible, alors que la vérité selon la métaphysique platonicienne, existe dans le monde intelligible. L'art n'est en effet qu'une imitation qui se donne pour but de copier la beauté naturelle. Prenons un exemple : lorsque l’on voit une chose singulière, par exemple un cheval, et que je dis « c’est un cheval », ce que je reconnais c’est l’être, l’essence, la forme ou encore l’idée de cette chose. L’idée c’est ce qui dans la chose

question, dans un premier temps nous verrons l’éloge de la femme, puis la fatalité de cet amour et enfin le caractère moderne qui en ressort. 1. I. L’idéal féminin A) L’apparition gracieuse et mystérieuse de la femme « œuvre d’art » -titre + v3= côté mystérieux avec déterminant indéfini « une » -v5 « jambe de statue »= métaphore de la passante et d’une œuvre d’art: la femme incarne l’Idéal, la perfection (allusion à l’art : Baudelaire= critique d’art) -v4 « le feston et l’ourlet »= lexique de

« talent », l'obtienne s'il s'agit là d'une acquisition ? Il existe deux formes de production. D'un côté la production technique, qui passe par un savoir et qui est basée sur un concept. Dans ce type de production, l'idée précède la création. De l'autre côté se trouve la production artistique. Elle n'est pas totalement consciente, n'est pas réellement basée sur un concept non plus. Elle a un côté inexplicable et dans ce type de production il n'y a pas d'idée avant la création. On retrouve ici la

laid, doit-on donc mépriser la beauté ? Il y a une autre beauté en Socrate qui à les mêmes séductions, Socrate ne dénigre pas la beauté des jeunes gens qui l'entourent, il y voit une promesse de leur qualités intellectuelles et morales » La beauté et virilité, sont sources de dialogues qui ont beaucoup évolués à travers les âges, quand on dis beauté concernant ces périodes grecques anciennes, il ne pas oublier qu'il s’agit de la beauté masculine. L'idéal de beauté chez les grecs et en particuliers

sources d’inspiration entre les poètes Verlaine et Nelligan sont aussi similaires puisque les deux artistes s’inspirent du courant littéraire symbolisme. La rêverie est l’une des caractéristiques du courant symbolisme, on la retrouve dans les poèmes « Beauté cruelle » d’Émile Nelligan et « Mon rêve familier » de Paul Verlaine. Tout d’abord, dans le poème de Nelligan, il y a une métaphore qui montre bien la présence de la rêverie dans « Je ne puis l'approcher qu'en des vapeurs de rêve »(l.6). Cette figure

lyrique caractérise l'expression poétique des sentiments et émotions du poète. Ainsi, Louise Labé nous fait part de ses sentiments amoureux, invoqués au vers 9 par la personnification de l'amour, Ronsard nous invite au Carpe Diem amoureux par son "Vos beautés [...] en peu de temps cherront toutes flétries et comme fleur périront tout soudain." aux vers 6 à 8, et Du Bellay rend compte de sa nostalgie, son mal du pays grâce à son "Et puis est retourné [...] vivre entre ses parents le reste de son âge !"

la beauté  Il y a un relativisme du beau. Concernant la beauté qu’on rencontre, certains auteur ont notés qu’il ya des similitudes de phénomènes psychologiques. On peut en distinguer 4 mécanismes psychologique qui accompagnent la rencontre avec la beauté :  ex une fille dans le métro devant un bel homme.  1. Un sentiment fondamental de l’admiration, proche de l’éblouissement. D’ailleurs on a les yeux écarquillés. ça nous pétrifie, bouche bée. (cf le syndrome de Stendhal, face à la beauté