Côte de Beauté

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La Beauté’’ sonnet de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Éternel et muet ainsi que Ia matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ; J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes,

dans la surprise du déroulement de l'action : « Trop présente à mes yeux je croyais lui parler. » Cette tirade écrite sur une hypotypose met en avant la beauté du texte afin d'estomper la cruauté des actes et des paroles. Pour commencer nous pourrions croire qu'à première vu les paroles de Néron sont tendres et ne cachent rien «  Belle », « beauté », « timides douceurs »... D’entrée, on remarque un champ lexical de la vue ; ainsi, Néron raconte l’arrivée de Junie du moment où il l’a vue arriver

et le Noir » on assiste à une rencontre plutôt inattendue, entre Julien et Madame de Rênal, où au fond, tout les oppose, et dont on peut voir, à la fois un côté romantique « sa beauté », « un teint éblouissant », mais aussi un certain côté maternel « mon enfant ». Un côté moins romantique est repéré dans l’extrait « Madame de Bovary », et un côté réaliste plus mis en relief. On retrouve des similitudes en rapport avec les trois autres extraits, comme le portrait de la jeune femme dès le début de texte

Baudelaire à sublimé la laideur du monde et de son entourage dans ses poèmes grâce à la magie et l’enchantement. Alors nous pouvons nous demander si le poète est un être pouvant transfigurer la laideur du monde afin d’en faire ressortir toute sa beauté en utilisant la dimension magique de la poésie.Afin d’y répondre nous verrons dans un premier temps que le poète est en décalage avec la société. Nous affirmerons ensuite que c’est un alchimiste puis nous finirons par le qualifié d’enchanteur. Dans

socialisation I. Dossier documentaire Document 1 : Les formes que prennent l’expression de la beauté semblent en partie universelles mais également en grande partie culturelles. Selon la théorie de Darwin, la perception de la beauté est universelle et innée car influencée par des éléments physiologiques et non pas cognitifs. Elle est un marqueur, un signal de santé physique. Les critères universels de beauté et donc de santé sont : symétrie du visage, apparence générale, rapport hanche-taille, jeunesse

l’humanité ? Dans le premier mouvement, Lily est décrite. Ce prénom féminin semble tout d’abord trop dérisoire pour désigner une femme aux dimensions mythiques. Le mot «lily», en anglais signifie la fleur de lys. Le lys est représentatif de la beauté éclatante et de la blancheur. Blanche, la fleur de lys est le symbole de la pureté. Par extension, on peut faire le rapprochement avec l’emblème des rois de France, le lys : Le lys a donc une connotation majestueuse, royale, or, on remarque dans la

CLUB DES CREATEURS DE BEAUTE vs YVES ROCHER Audrey JOLY – Marine SERRE – Claire TARDY Introduction Depuis quelques années, la stratégie de l’entreprise est devenue primordiale pour sa pérennité. Pour réussir commercialement, une société doit prendre en compte la spécificité du marché global sur lequel elle s’implante. Les deux entreprises que nous allons étudier se sont positionnées sur l’un des marchés en forte croissance actuellement : celui des cosmétiques. La vente à distance se

l'Eglise et l'Islam, les juifs prenaient ce métier. Balsac un peu antisémite. « Gobseck » → gobe l'argent. Un personnage peut être perçut par son milieu, l'endroit où il habite. Maison Gobseck, comme une huître accrochée à son rocher pour montrer le côté rapace. Lucien de Rubempré habite à Angoulème, ville haute (aristocrate), basse (petite bourgeoisie). Lucien fait des allers-retours entre les deux, portrait (implicite) qui balance, double origine sociale... Il peut aussi y avoir des portraits explicites

“grandes attitudes” de la beauté, mais on sens une certaine ironie dans cette phrase, comme si la beauté suggérait que ces attitudes sont pour elle normale, et donc qu’elle est admirée par les poètes sans faire le moindre effort pour cela. L’utilisation de l’expression “avoir l’air de” suivie verbe “emprunter” dans la proposition suivante renforce cette impression, et le fait que c’est attitudes soient prises “aux plus fiers monuments” poursuit cette idée encore plus loin: la beauté, sans le moindre effort

Baudelaire, Hymne à la beauté On remarque que la beauté semble presque toujours émerger d’une profondeur (« ciel profond », « abîme », « gouffre noir »). L’allusion à une profondeur ténébreuse souligne son origine obscure. En fait, son origine oscille entre le bien et le mal. Une série d’image représente cet antagonisme : l’opposition haut / bas (« ciel » / « abîme »), ténèbres / lumière ( « gouffre » / « astres »), « ciel » / « enfer »... Il compare la beauté au paradis en employant des