Corset

fait attention à ces personnes. Près d’eux, En bas, à droite et à gauche, deux chiens sont dans la rue. Donc les anciens combattans sont amoindris, mis au même niveau que les chiens. A l’arrière-plan des vitrines contiennent des perruques, des corsets et des prothèses. 2) Couleurs Les couleurs sont vives, au premiers plan il y a la veste bleu du personnage, robe rose d'une dame, et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…) Ce que j'en pense: Je trouve qu'Otto Dix

couleurs éclatantes. Il se rapprochait l'air de rien faisant mine d'admirer la nature environnante... si bien qu'il faillit trébucher. Il l'admirait tel un enfant devant une confiserie. Ses longs cheveux blonds venaient recouvrir une partie de son corset. Ses yeux d'un bleu...d'un bleu qui semblaient refléter le ciel, et sa robe si blanche semblable aux papillons virvoltant autour d'elle était...magnifique. Il continuait sa promenade, enfin ... il tournait en rond autour de la jeune femme. Jusqu'à

noblesse élégante, que ne détruisait pas la mobilité toute française de sa personne. Cette attitude incessamment changeante avait un prodigieux attrait pour les hommes. Elle paraissait devoir être la plus délicieuse des maîtresses en déposant son corset et l'attirail de sa représentation. En effet, toutes les joies de l'amour existaient en germe dans la liberté de ses regards expressifs, dans les câlineries de sa voix, dans la grâce de ses paroles. Elle faisait voir qu'il y avait en elle une noble

elles-mêmes. J’ai été influencé notamment par le costume matelot. Ce costume était formé à cette époque d’une longue jupe évasée avec un veston à manches gigots et longues. La taille était tres ajustée, soit grâce au vêtement ou bien à l’aide d’un corset. Les tissus rappelaient bien sûr les couleurs de marin : bleu marine, blanc et rouge. Dans ma création, j’ai utilise les mêmes couleurs mais en rayure et en changeant complètement le costume; d’un trois-pièces à une robe. Cette robe arrive jusqu’en

avec des bonnets sales. Soit faute de temps, soitindifférence, elle ne raccommodait plus son linge. À mesure que les talons s’usaient, elle tirait ses bas dans ses souliers. Cela se voyait à de certains plis perpendiculaires. Elle rapiéçait son corset,... (copié collé)

misère, démon, qui lui parle à l’oreille. » Champ lexical de la pauvreté dans le texte Les Misérables : « plusde lit », « une loque qu’elle appelait sa couverture », « un matelas à terre », « une chaise dépaillée » , «des bonnets sales », « son corset, vieux et usé »…. 2.Le premier texte est un extrait depoésie du recueil de poésie « Les Contemplations », on y retrouve des strophes, des rimes (ex : rime suivie : jour, amour, fille, anguille ), des vers etc.Les deux autres textes sont des extraits

mais pour elle c'est sa souffrance. son corps et les sillons du paysage déchiré et monotone sont le symbole de la solitude et de la souffrance de Frida. Frida a peint cet autoportrait alors que sa santé empirait et qu'il lui fallait porter un corset de métal. La colonne ironique brisée en plusieurs endroits symbolise sa colonne vertébrale blessée. La fente de son corps et les sillons du paysage déchiré et monotone sont le symbole de la solitude et de la souffrance de Frida. La colonne brisée

autres exhibant leurs blessures comme autant de preuves de leur bravoure guerrière. Dans La rue de Prague, leurs infirmités se trouvent accentuées par la proximité d'une femme en robe rose moulante et d'un chien. La vitrine contient des perruques, des corsets et des prothèses. Une main de bois tient une canne. La peinture oscille entre une précision neutre et des déformations satiriques. Elle n'est pas exempte non plus d'allusions politiques. Près du cul-de-jatte au buste monté sur une planche à roulettes

des images qui exprime déjà une analyse du personnage par lui-même.) En fait, le personnage est davantage développé, on développe en même temps plus sur l'absurde. Dans la seconde partie du roman, Meursault est comme retranché de la vie, il sort du corset du temps, pour lui le temps s'est en effet arrêté et dans cette partie, on analyse plus sur ce qu'est un homme absurde.

alitée pendant trois mois, dont un mois à l’hôpital. Mais environ un an après l’accident, elle doit retourner à l’hôpital, car on remarque qu’une de ses vertèbres lombaires est fracturée. Frida sera contrainte de porter durant neuf longs mois des corsets en plâtre. C’est alors qu’elle commence à peindre. Pour l'aider, ses proches placent un baldaquin au-dessus de son lit avec un miroir pour ciel. Elle peut ainsi se servir de son reflet comme modèle, ce qui est probablement l'élément déclencheur de