Corset

Biarritz. La maison devint particulièrement célèbre pour son élégante petite robe noire, son tailleur en tweed, et son parfum emblématique N°5 conçu en 1921 par Ernest Beaux. Coco Chanel participa à la révolution de la haute couture en remplaçant le corset traditionnel par le confort et l'élégance de simples tailleurs et robes. Elle habille les femmes de tenues pratiques et sobres, crée des vêtements flottants, raccourcit les jupes et popularise le jersey, tissu léger utilisé pour les dessous. Son style

son bus percute un tram, une barre de fer transperse Frida de l’abdomen au vagin. Ses jambes et surtout ses vertèbres, subiront les plus graves séquelles. Cet accident sera un grand tournant dans sa vie. Devant restée dans son lit, coincée dans son corset, elle fait installer un miroir au-dessus de son lit. C’est donc là qu’elle y peindra une grande partie de son oeuvre, les auto-portraits, parmi les 150 peintures qu’elle accomplira dans sa vie. Elle devra subir de très nombreuses interventions chirurgicales

créé de la haute joaillerie Napoléon III lance l’idée des cafés-concerts avec l’arrivée des grands Bordeaux Fin du XIXème siècle : Gabrielle Chanel se lance dans le domaine artistique. Elle prend des grandes décisions : - Suppression du corset (car on ne peut pas faire d’équitation) - Elle créé une tenue pour aller se baigner : tenue de plage - Elle ouvre un magasin à Deauville et vend des chapeaux 1916 : ouverture du magasin Chanel rue Cambon. Gabrielle décide de vendre chapeaux

dimension lorsqu'il évoque la faiblesse physique de ses enfants, leur lente dégradation, la disparition avec le temps de leurs sourires, leur enfermement de plus en plus grand, l'obligation du corset, et puis la mort très jeune de Mathieu (page 82) : « Mathieu est de plus en plus vouté. Les kinés, le corset rien n'y fait.[...] il ne peut même plus voir le ciel […] Une opération sur la colonne vertébrale doit être tentée. Elle est tentée, il est totalement redressé. Trois jours plus tard, il meurt

Le pourcentage de femmes en activité augmente et dès août 1914, l’appel aux françaises du président Viviani leur ouvre l’accès à des secteurs d’activité jusqu’ici interdits. On assiste alors au développement de la « mode garçonne » : abandon du corset et de la robe longue, cheveux courts, bras nus et ceinture basse. Paradoxalement, cette mode s’accompagne d’emplois typiquement féminins comme l’infirmière, qui guérit les corps et les âmes. On ajoute à cela les marraines de guerre dont la compassion

representée par une colonne métalliques. Ses sourcils épais et ses longs cheveux mettent en valeur ses yeux desquels sortent des larmes qui inondent son visage inexpressif et fix qui decrivent egalement la douleur de Frida. Son buste est retenu par un corset de fer qui represente son immobilité. Le personnage est représenté seins découverts ce qui décris sa vulnérabilité. Un voilage cache la partie basse de son corps. Il y a des clous un peu partout sur son corps qui representent sa douleur et aussi les

alitée pendant trois mois, dont un mois à l’hôpital. Mais environ un an après l’accident, elle doit retourner à l’hôpital, car on remarque qu’une de ses vertèbres lombaires est fracturée. Frida sera alors contrainte de porter durant neuf long mois des corsets en plâtre. C’est alors qu’elle commence à peindre. Pour l'aider, ses proches placent un baldaquin au-dessus de son lit avec un miroir pour ciel. Elle peut alors se servir de son reflet comme modèle, ce qui est probablement l'élément déclencheur de

jusqu'alors réservé aux sous-vêtements masculins. Elle finira par lancer la coupe à la garçonne en 1918 sous prétexte que les siens la « gênaient ». Plus question d’avoir le buste serré dans un corset qui empêche de bouger et de respirer. L’historienne de la mode, Catherine Ormen, raconte que, débarrassée du corset, la silhouette de la femme devient tubulaire. et que Peu à peu le costume-tailleur qui allie aisance et élégance trouve sa place dans les nouvelles gardes robes et ce n’est pas sans avoir une

phrase « des cathédrales de marbre blanc, dont les clochers aigus portaient des nids de cigogne » ligne 6 et 7, l’influence du roman de Victor Hugo, Notre Dame de Paris. A la ligne 8, « bouquets de fleurs que vous offraient des femmes habillées en corset rouge » est inspirée de Carmen de Prospère Mérimée et à la ligne 10, l’extrait « des tas de fruits, disposés en pyramide au pied des statues pâles » est influencé par le livre Le Comte de Monte Cristo par Alexandre Dumas.Enfin, l’aspect de fuite du

lui aussi artiste peintre, qui deviendra son mari en 1929. Ils connaîtront une vie de couple très tumultueuse. En 1943, année où elle a peint cette œuvre, elle se fera opérer de la colonne vertébrale et restera de longs mois en « enfermée » dans une corset de fer. Après une vie de souffrance physique et psychologiques (trahisons de son mari), elle décédera en 1954 INTERPRETATION DE L'OEUVRE -Mise en avant de son féminisme par le port de sa tenue traditionnelle de Tehuna, région du sud ouest