Corpus La Fontaine Rousseau

l’imbrication de la sphère privée et de la sphère publique, et en particulier le rôle singulier que joue la petite Jeanne. Cette séquence peut aussi enrichir la connaissance de l’univers hugolien par des lectures cursives d’autres poèmes Enfin, le corpus retenu permet de mieux saisir les points de rencontres et les écarts avec Rimbaud, cet autre poète dont toute l’œuvre, à partir de 1871, est hantée par la Commune de Paris. Bien évidemment, les lectures analytiques proposées sont conçues comme des

reste la norme dans le champ littéraire dominant. Dans le canon établi au xixe siècle, des frontons des bibliothèques au Lagarde et Michard, les noms des grands écrivains étaient inséparables de leur image (Rabelais et Montaigne, La Fontaine et Molière, Voltaire et Rousseau, Hugo et Blazac, etc. : nous reconnaissons tous leur silhouette), et aujourd’hui les photos accompagnent le moindre écrivain. Observez la réticence exceptionnelle de Blanchot, le seul auteur dont nous ignorions la mine. Le nom d’auteur

francophones d’horizons géographiques et socio-culturels divers. Notre étude intitulée « Aspects comparés du roman francophone contemporain se fondera sur des romans issus des littératures française, maghrébine et négro-africaine; nous précisons à présent le corpus choisi : - Portrait d’un inconnu de Nathalie Sarraute (1948) - Le planétarium de Nathalie Sarraute (1959) - Habel de Mohammed Dib (1977) - L’escargot entêté de Rachid Boudjédra (1977) - Les crapauds-brousse de Tierno Monénembo (1979) - L’anté-peuple

réécrire la fin de la nouvelle en faisant varier le point de vue (récit de M. Falcone, ou de son épouse). Séquence 2 Directions essentielles : « Expression de soi », « Formes d’argumentation ». Texte : « Une œuvre autobiographique française ». J.-J. Rousseau, Les Confessions (extraits des livres I et II). Axes d’étude : – le discours narratif : le pacte autobiographique et le rôle du narrateur adulte ; – le discours argumentatif : les formes de justification. Production écrite : écrire une page d’autobiographie

écrivent dans la foulée une histoire singulière. Rétrospectivement on privilégie ce qui paraît produire directement le récent événement historique ou y contribuer vivement. Les démontages ironiques de Voltaire, Montesquieu et ses trois pouvoirs, le Rousseau du Contrat social, Kant et son culte de la raison, d’Alembert maître d’œuvre de l’Encyclopédie, etc. En fait, on privilégie des Lumières pas plus aveuglantes que ça, des Lumières présentables et politiquement correctes. Je tiens pour des Lumières

peut être le fruit d’un raisonnement, elle réclame un engagement de confiance. Et là aussi l’homme est un animal social ; sa vie spirituelle réclame une dimension collective. Pour réussir notre vie nous avons notre conscience, instinct divin dit Rousseau, faire le mal ne rend pas heureux et les méchants tombent parfois eux-mêmes dans le piège qu’ils ont tendu. Pourtant ne nous faisons pas illusion, toute vie est traversée par des épreuves : maladie, accident, deuil, déceptions, erreurs. Nous avons

mythe, une façon de présenter le lien social fondé sur une volonté individuelle d'adhérer à un système qui protège chacun. La société devient un élément subjectif, l’État n'existe que parce que nous le pensons. Contractualistes : Locke, Hobbes, Rousseau, Spinoza... → Thomas Hobbes : Le Léviathan (1651) : « œuvre de juriste », il est le principal penseur de la République. Il nous explique que la République c'est l'unité réelle de tous en une seule et même personne, unité réalisée par une convention

droit entre les Etats, l’autorité législative entre Etat fessait défaut. Les théologiens, par pragmatisme, ne pouvaient imaginer le droit naturel que fixe car il n’y a pas d’autorité supérieure pouvant le fixer. Le droit naturel devait se résumer à un corpus de règles inamovibles, c’est-à-dire à des énoncés de principes de droit naturel. c. Le droit des gens « jus gentium » —> le droit des gens —>branche du droit —>renvoie aux juristes romains qui distinguaient le droit civil (propre

l’ancien régime est la preuve de la perte du mandat du ciel donc de sa légitimité. C’est une conception de la légitimité très éloigné de celle des droits occidentaux, mais qui facilite évolution et résolution politique. Le droit Chinois s’appuie sur un corpus théorique très important du aux penseurs confucianistes, taôiste et bouddhistes. Confucius a eu une influence sur le droit chinois jusqu’à nos jours. Le contexte du droit chinois est donc totalement différent, de celui des autres droits non Européens

exposé de manière général et synthétique Code Justinien (534) → véritable recueil de lois, de constitutions (tout ce qui a émané de l'autorité de l'empereur). Novelles → tous les recueils de constitutions qui arrivent après le code Justinien. Le corpus juris civilis : formera avec le droit canonique un droit savant, à partir du XIIe siècle. Chapitre II : Les sources médiévales Le Haut M-A, le M-A des débuts, les monarchies barbares du VIe au IXe siècle. Un M-A central, celui de la féodalité