Convaincre Persuader Le Lecteur

Thème : fonctionnement du système judiciaire et en particulier l’utilisation de la torture. Enjeux : persuader le lecteur de l’inhumanité de la torture Caractéristiques : - texte didactique en apparence mais en réalité un pamphlet - argumentatif et quelque peu narratif - registre polémique - ton ironique - style soigné PROBLEMATIQUE : Par quels moyens l’auteur persuade t’il le lecteur de l’inhumanité de la torture ? PLAN :I. Le Plan du texte 1) Une structure rigoureuse 2)

Dissertation L’écriture poétique vous paraît-elle apte à convaincre le lecteur, à susciter son engagement, ou pensez-vous comme Sartre qu’elle brouille le message ? Le mot "poésie" vient du grec ποιεῖν (poiein) qui signifie «créer ». Le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives. Mais comme l’écrivain ou plus généralement l’artiste il s’est souvent questionné sur le monde qui l’entourait, la société à laquelle il appartenait. Le poète, prenant conscience de ceux-ci

thèse (ou les deux, dans le cadre d’un débat d’idées). Pour bien traiter le sujet, il est capital d’avoir recours à des arguments et des exemples variés, en lien avec la thèse. I. La recherche d’arguments pour soutenir une thèse. Les arguments pour convaincre - Argument d’autorité (référence à un modèle de sagesse, d’intelligence pour légitimer son argumentation) - Argument d’expérience (témoignage concret) - Argument logique (ex : « je pense donc je suis ») - le recours aux faits (exemples clairs :

Argumenter, convaincre, persuader, délibérer Apologue Essai Utopie Rhétorique Allégorie Implicite Explicite Aphorisme Paradoxe Optimisme Épicurisme (voir fiche) Stoïcisme Absurde Catharsis Exotisme Argumenter: L’objectif du discours argumentatif consiste à propos d’un thème (un sujet) de soutenir une thèse (un point de vue, une opinion) qui réponde à une problématique. Il faut convaincre un adversaire, soit pour modifier son opinion ou son jugement, soit pour l’inciter à agir

sa thèse tout en ayant l'air de faire une concession à La Fontaine. Sous axe 2 : Convaincre et persuader Rousseau s’exprime en son nom et utilise donc les pronoms de 1ère personne : « Je » aux lignes 18 et 23, « Moi » et « j' » à la ligne 24. On trouve aussi des modalisateurs qui témoignent de la force des convictions défendues par l'auteur : « Il n'y en a pas un seul ». On a des interpellations du lecteur : « vous verrez » à la ligne 5, « je promets » à la ligne 23, « j'espère » à la ligne

siècles Séance 1 : la littérature d’idée I . Introduction 1 définition 1)  Définition : Une littérature pour agir sur le monde On nomme littérature d’idées l’ensemble des œuvres qui ont pour but d’apporter un enseignement au lecteur, de défendre une opinion et de peindre ou modifier la société présente, en exposant un raisonnement soit de manière explicite, souvent à la 1ère personne (argumentation directe), soit à travers une fiction qui permet de défendre et développer ses

(un point de vue, une opinion) qui réponde à une problématique. Il faut convaincre un adversaire, soit pour modifier son opinion ou son jugement, soit pour l’inciter à agir. Un argumentation a pour but de convaincre, c'est-à-dire d’amener le destinataire à adhérer à un point de vue en jouant sur la logique, la rigueur et le rationnel. On peut aussi faire appel aux sentiments, au plaisir et à l’émotionnel, pour le persuader. De plus, le récit fictif utilise l’argumentation indirecte alors que pour

des êtres au gré de la « démonstration » La fiction qui attire permet aussi de mieux diriger l’esprit de son lecteur. « Composer » son histoire de toutes pièces • La liberté d’accentuer les situations et les événements : les événements au service de la dénonciation ou du plaidoyer. • Les événements et les actions n’étant pas historiques, on peut les exagérer pour apitoyer le lecteur (pathétique) ou pour le faire rire (comique, ironique). • L’auteur peut choisir ses personnages et les adapter

Section 2 : de l’art de persuader Lors de ce passage du texte Pascal va montrer au lecteur que les opinions qui sont reçues dans l’âme peuvent être reçues par deux « entrées » : l’entendement et la volonté. Celle que l’homme devrait utiliser naturellement est l’entendement du fait qu’elle nous apporte des vérités démontrées or l’homme se laisse aller à la volonté dans la plupart des cas. L’auteur qualifie cette voie de « basse indigne et étrangère » du fait qu’elle ne fait pas référence a des choses

1909 et le troisième est un extrait du Journal officiel, annales de la Chambre des Députés publié en 1908. Nous étudierons pour chaque cas la thèse soutenue et la thèse combattue par l’auteur, puis nous verrons si l’auteur cherche à convaincre ou à persuader le lecteur. Dans chacun des textes, la thèse combattue par l’auteur est la peine de mort et la thèse soutenue est l’abolition de cette dernière. Dans Le Dernier Jour d’un condamné, Hugo dénonce la société en disant que