Controverse de Valladolid

plus tard publiques. L’auteur Montaigne écrit également sur la question de l’Altérité, dans des cannibales. Plusieurs siècles plus tard, des auteurs contemporains, reprennent cette réflexion, comme Jean-Claude Carrière qui écrit en 1992, La Controverse de Valladolid. Seulement ses récits, malgré les apparences, n’ont pas seulement pour objectif de narrer un voyage ou une expérience mais aussi d’apporter une réelle réflexion, une remise en question, du lecteur, sur ce qui l’entoure. Comment et par quels

Toulouse, Montpellier, Bologne, Paris… (voir carte). Mais la lecture et l’écriture ne profitent qu’à un petit nombre de privilégiés, d’où l’apparition des « ordres mendiants » au 13ème siècle. c. Les ordres mendiants : Dominicains (voir « la controverse de Valladolid »), Franciscains, et Carmes sont des ordres monastiques, mais qui s’installent directement en ville ! Pour deux raisons : lutter contre les excès de la ville (prostitution, ivrognerie, vols, etc. voir docs 5 et 6 p. 123) et apporter une culture

conséquences humaines qu’elles impliquent, comme la disparition des populations amérindiennes et le commerce des esclaves noirs pour les remplacer. Tous les peuples colonisés sont asservis, ils sont considérés comme des animaux malgré la controverse de Valladolid qui trancha sur l’humanité de ces nouveaux peuples. En Europe ces découvertes eurent des répercussions économiques et sociales importantes. Tout d’abord la découverte d’importantes mines d’or entrainera une chute de la valeur des métaux

destiné à défendre ou attaquer une cause en étant pas sous la forme d’une histoire suivant une trame précise, mais en étant publié directement dans le contexte et en s’adressant directement aux personnes concernées. C’est le cas pour la controverse de Valladolid, qui débat de l’humanité des indiens, et ou Las Casas les défend directement, sous forme d’un monologue. Il s’agissait là d’un débat engagé clairement et concrètement, étant d’actualité à l’époque. La littérature est parfois très artistique

Convaincre, c'est avec des arguments, de l'intelligence, un démonstration, des faits précis, le vrai et le faux, tandis que persuader c'est avec des images, de la sensibilité, des impressions, des intuitions, des possibilités. Dans « La controverse de Valladolid » de Jean-Claude Carrière, opposant deux thèses contraires, Bartolomé de Las Casas utilise la persuasion tandis que Juan Ginés de Sepulveda essaye de convaincre, par la logique et en s'appuyant sur Aristote par exemple. La littérature

LA CONTROVERSE DE VALLADOLID : CHAPITRE 7. LA SCÈNE THÉÂTRALE ENTRE LAS CASAS ET SÉPULVÉDA Le pape a envoyé un de ses cardinaux pour trancher le débat qui oppose Sépulvéda à Las Casas. Le dominicain soutient que les Indiens sont des Hommes comme les Européens. Sépulvéda au contraire affirme que les Indiens sont nés pour être esclaves. L'étude de ce passage en trois axes est pertinente. Nous étudierons en premier lieu les deux points de vue qui s'opposent, celui de Sépulvéda d'abord puis celui

A- Les caractéristiques de la satire et du blâme 1- Définitions : - Le blâme est un genre littéraire hérité de l'Antiquité qui revient vers le XVIe siècle avec l'œuvre majeure du blâme de la Controverse de Valladolid sur les massacres Indiens aux Amériques, contrairement à l'éloge, il revient à stigmatiser les défauts d'un individu ou d'une institution. Il peut critiquer et dénoncer des défauts comme la cruauté, la lâcheté, etc... Il s'agit d'un discours public ou donné comme tel, destiné à

cannibales de Montaigne, a pour but soit de nous montrer l’absurdité d’une thèse, soit, au contraire, de nous la prouver par des exemples précis. De plus si nous assistons à un débat semblable à celui exposé par Jean-Claude Carrière dans La controverse de Valladolid où s’affrontent les points de vue du frère Bartolomé de Las Casas et de Juan Ginés de Sepúlveda sur le sort des Indiens, cela nous oblige à réfléchir sur la position à adopter, celle qui est la plus juste à nos yeux. Le voyage initiatique

ou de commentaires. Partout, le même éclat de rire accompagne les scènes types comme l’Arroseur arrosé ou encore les films de Charlie Chaplin. Cette universalité du rire est aussi la preuve indiscutable de l’humanité des Indiens dans La Controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière. Par ailleurs, le rire est souvent utilisé pour son pouvoir de subversion. Il a une portée critique indiscutable : la satire par exemple est un moyen de d’argumenter en utilisant le rire. Eviter le coté austère d’un

restent des humains à travers leurs actes. Pour conclure, on peut dire que Primo Lévi est arrivé à faire passer son témoignage horrible aux lecteurs à travers cet extrait de si c’est un homme . Il est possible de comparer ce texte à La controverse de Valladolid où l’on se pose aussi des questions sur l’humanité.