Contexte Du Taylorisme

irréfutable. Hors de la science, pas de vérité -> problème vis-à-vis de la religion. * La science est universelle -> démocratie. Le Taylorisme est un instrument de pouvoir au service des scientistes et non pas des patrons -> échec de Taylor. Il a trop voulu croire que la politique est une science positive et physique. Applications concrètes du Taylorisme : * Toutes les connaissances traditionnelles doivent être étudiées, enregistrées et surtout transformées en lois scientifiques.

organisations véritablement hiérarchisées étaient, au XIX ème siècle, l'armée et l'église. Bien qu'inspirée de ces modèles, la conduite des organisations productives doit trouver une voie qui lui soit propre et adaptée aux exigences d'une entreprise dans un contexte tout à fait nouveau : . succession des innovations et de leur application industrielle qui induit une mécanisation de plus en plus grande du travail. . Augmentation de la taille des entreprises, donc des capitaux, des équipements et des effectifs

déroulement relativement précis dans le temps. Elle est structurée par des périodes d’essors et de récessions qui se succèdent et qui forment ce que l’on appel des cycles longs. Ceux-ci, en théorie, durent environ 50 ans (la durée peut varier du fait du contexte et de diverses facteurs tels que les innovations apparut durant ce cycle). Mais qu’est ce que ces cycles longs ? En quoi rythment-ils l’activité économique et dans quelles mesures influencent-ils la croissance ? Il faut tout d’abord savoir que

système tayloro-fordien. Doc 7p101 : Taylorisme  * « one best way » = analyse et observation du processus de p° afin d’obtenir des moyens de p° le plus efficace. Cette observation est faite par le « bureau des méthodes » => séparation de la conception et de l’exécution. Décomposer les tâches en tâches simples, améliore la pté :  les ouvriers font le même geste répété  tâches mécanisées  la répétition de la même tâche = gain de temps Le taylorisme est le début de la hiérarchisation dans

début du XXème siècle aux Etats-Unis avec Henry Ford, succède au Taylorisme. Et puis dans un deuxième temps, nous verrons le toyotisme, apparu au Japon dans les années 70-80, axé sur de nouvelles notions telle que la qualité, le juste à temps et l’amélioration continue. Ces modèles sont tous deux issus du secteur automobile mais chacun a vu le jour dans un contexte social bien particulier. Diapo 3 Le Fordisme Diapo 4 Le contexte historique Le XXème siècle commence par la premiere guerre

un phénomène qui renvoie à la culture toute entière. Il a fallu faire preuve d’adaptation. Il devient impératif pour les industriels de faire des compromis entre l’ancien mode de fonctionnement et les nouveaux systèmes, aussi il faut d’adapter au contexte social. De même, la façon de recruter la main d’œuvre doit elle aussi changer. Auparavant, les industriels faisaient appels à une masse salariale plutôt rurale mais celle-ci adaptée à un rythme calqué sur les saisons (irrégulier, discontinu, autonome…)

domaine de l’appropriation du travail et la notion de contraintes imposées par le réel. De telle sorte que le travail vivant spécifique s’oppose au travail abstrait et donc mesurable. II LES DÉBUTS DE LA THÉORIE DES ORGANISATIONS : LE TAYLORISME Dans un contexte de 2ème révolution industrielle au XIXème siècle, les premières théories des organisations émergent. Elles tentent tout au long de leur histoire de répondre à plusieurs problèmes. Trois facteurs ont permis à cette deuxième révolution industrielle

de grande consommation. Le taylorisme a négligé dans sa méthode le facteur humain, ce qui a entraîné des conséquences telles que la baisse de rendement, l'augmentation de l'absentéisme, l'augmentation du temps de travail, et finalement le "coulage" (augmentation des déchets, gaspillage de l'énergie et des matières premières...). D'autres conséquences sont l'apparition de conflits avec la hiérarchie, entraînant de ce fait une dégradation du climat social. Le taylorisme est donc une méthode efficace

Pfizer Animal Health. Dans un second temps, nous résumerons le premier chapitre du livre « la société des services » de Jean-Louis Laville intitulé « Les entreprises privée à l’épreuve des relations de services ». Nous pourrons ainsi remettre en contexte le résumé au sein de l’ouvrage. Dans un troisième temps, nous confronterons l’expérience vécue par Quentin Bugli avec la problématique à l’aide des fiches publiées sur le site du cours et du résumé du chapitre sélectionné. Nous terminerons ce rapport

travail industriel, réalisant la première mesure du temps d'exécution d'une tâche (voir Taylorisme[i]). Taylor parle toujours de l’homme au travail comme d’un individu isolé, jamais au sein d’un groupe. Il pense que sa seule motivation est l’argent. Cette théorie est donc pour l’auteur, l’antithèse de la collaboration (principe pourtant que Taylor ne cesse d’affirmer) dans l’organisation. L’effet pervers du Taylorisme a été de donner tout pouvoir à la direction, en la qualifiant de « scientifique »,