Contexte Culturel De 1820

missionnaires et Pōmare II imposent ainsi l’interdiction de la nudité (obligation de porter des vêtements couvrant tout le corps), l’interdiction des danses et des chants, qualifiés d’impudiques, des tatouages et des parures de fleurs. Dans les années 1820, l’ensemble des Tahitiens se convertit au protestantisme. Duperrey, qui accoste à Tahiti en mai 1823, témoigne de la transformation de la société tahitienne dans une lettre datée du 15 mai 1823 : « Les missionnaires de la Société Royale de Londres

mondiale a éT multipliée par 5. Le PIB par habitant a éT multiplié par 8 et le PIB mondial par 40. Le volume du commerce international a éT multiplié par 540. Modification profonde de la répartition du commerce internationale par zone géographique. En 1820 le Royaume-Uni par exemple représenT pratiquement 40% du commerce mondial. En 1997 il représente a peine 5%. On a une croissance de la part des pays asiatiques dans le commerce international. On a un déclin de la Grande Bretagne et une diminution du

pays d’Europe et d’Amérique du Nord sont à des niveaux technologiques semblables et le problème ne se pose plus vraiment. Gerschenkron, avec la théorie des late-comers, explique les retards initiaux de certains pays par des handicaps sociaux, culturels, politiques, qui doivent être surmontés par une réaction adaptée (en Russie ou en Allemagne, par exemple). Mais ces retards initiaux peuvent devenir un avantage lorsqu’une industrialisation tardive se fait, car d’une part les coûts de l’innovation

émigrations italiennes, 1840-2008 Nous aborderons ici un phénomène migratoire, celui italien, qu’en cent cinquante ans d’histoire (de 1861 à nos jours) a intéressé 29 millions de personnes expatriés, dont 11 millions ont fait retour en Italie1. 1. Le contexte européen Pour mieux situer la particulière histoire migratoire d'Italie, il faut d’abord rappeler que la révolution industrielle, avec l’abandon de la société rurale et le déplacement des populations de la campagne vers la ville [en 1800, seules

émigrations italiennes, 1840-2008 Nous aborderons ici un phénomène migratoire, celui italien, qu’en cent cinquante ans d’histoire (de 1861 à nos jours) a intéressé 29 millions de personnes expatriés, dont 11 millions ont fait retour en Italie1. 1. Le contexte européen Pour mieux situer la particulière histoire migratoire d'Italie, il faut d’abord rappeler que - la révolution industrielle, avec l’abandon de la société rurale et le déplacement des populations de la campagne vers la ville [en 1800, seules

exactement de ses motivations. En effet, l’anthropologie sociale et culturelle, dans la mesure où cette science a l’Homme pour objet d’étude, s’ouvre avec la détermination des chercheurs, de reconstituer les différents stades du développement humain, c’est-à-dire de restituer l’histoire humaine à partir de l’étude des hommes contemporains. Il s’agit donc d’étudier la diversité humaine, diversité qui s’entend non seulement sur le plan culturel mais encore sur celui des degrés de développement. Cette perspective

d’une maladie grave, même si sa diffusion se heurte à des préjugés tant que l’esprit scientifique ne s’est pas suffisamment diffusé, ce qui prend tout le XIXe siècle. Puis, la quinine (Pierre Joseph Pelletier et Joseph Bienaimé Caventou, français, 1820), découverte grâce à l’apparition de la chimie, s’impose. En revanche, Ignac Semmelweiss (hongrois, 1818-1865) qui découvre l’utilité de l’hygiène contre la fièvre puerpérale et Louis Pasteur (français, chimiste, 1822-1895) se heurtent à de violentes

 santé, richesses naturelles, routes, code civil,   (immigration et agriculture reste au main du provincial et du fédéral.)  première provinces (4): Québec, Nouveau­Brunswick, Nouvelle­Écosse, Ontario.   ­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­  1820 à 1920 environ :   Exode  des  canadiens­français:  plus  de  jobs  au  USA,  rigueur  de  l’hiver  =  pas  bon  pour  agriculture.  Arrivée massive d’irlandais = cause :  la mouche de hesse   ­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­­  Révolution 

sociologie et les sciences humaines ont un caractère réflexif au sens « qu’elle se regardent elle-même ». Cette dimension réflexive est inévitable. Quand on regarde un travail sociologique, on doit avoir en tête le contexte dans lequel il été produit (contexte historique) et au-delà du contexte, il faut se poser la question suivante : que peut-on faire de ce travail ? Le piège est de relativiser à l’excès, puisque l’ambition de la sociologie est toujours de parvenir à des analyses qui ont un certain niveau

pour les résoudre. Séquence 1 : la nouvelle Objet d’étude : le récit ; la nouvelle Perspective d’étude principale : le genre narratif  Perspectives d’étude secondaires : les registres (pathétique, fantastique) ; l’histoire littéraire et culturelle (l’histoire du genre de la nouvelle ; première approche de l’écriture réaliste) ; approche de l’argumentation (visée argumentative de l’auteur) Supports : - Trois faits divers extraits des journaux Libération et Le Parisien - « Toute une