Conseil des gardiens de la Constitution

sur le principe de séparation des pouvoirs de l’article 16 de la DDHC1(I). L’impartialité et la responsabilisation de l’ordre judiciaire sont les éléments clés d’un état garantissant les libertés des citoyens (II). I. Les atteintes portées à la Constitution entrainant la dégradation de l’Etat de droit Dans son discours, J.L. Nadal dénonce les coups portés à la justice, le mépris affligé au principe de séparation des pouvoirs au détriment du pouvoir judiciaire (A) et le statut du ministère public

problème de la meilleure constitution politique. Comme dans la République, Platon vise dans les Lois la constitution de la cité la meilleure possible en prenant pour modèle le juste selon les dieux. Dans les deux cas, ce modèle est l'image que les dirigeants doivent suivre pour unifier une cité et la rendre entièrement vertueuse, sans qu'il soit cependant possible de l'instituer réellement. Platon est toutefois plus « empirique » dans lesLois, puisqu'il examine des constitutions réelles et propose une

Citoyen : « toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution ». Cet article vient d’une lecture vulgarisée de l’Esprit des lois de Montesquieu. La constitution de 1791 consacre un chapitre à l’exercice du pouvoir judiciaire. Ce pouvoir judiciaire est dans cette constitution sans contenu réel. On interdit au législatif comme à l’exécutif toute intervention dans l’exercice de la justice mais les tribunaux ne doivent

révolutionnaires et offrant de nombreux droits et libertés fondamentales aux citoyens), le préambule de la constitution du 27 octobre 1946, les principes fondamentaux reconnus par les lois de la république, la constitution du 4 octobre 1958 et la chartre de l'environnement depuis 2005. Ce phénomène d'élargissement du "bloc de constitutionnalité", c'est-à-dire des textes auxquels le Conseil constitutionnel se réfère pour apprécier la constitutionnalité des lois, a une conséquence vis-à-vis de toutes

désigne donc pas autre chose que la Constitution ainsi comprise, et à la quelle le conseil constitutionnelle se réfère dans l’exercice de son contrôle de constitutionalité des lois organique, des règlements des assemblés parlementaire, des lois ordinaire et des traités. La constitution a pour objet primordial de régler l’organisation d’un État. Celui-ci étant une personne morale, il a besoin d’un statut pour exister et pour fonctionner. Ce statut est sa constitution. En quoi le bloc de constitutionalité

Le Conseil Constitutionnel est un organe institué par la Constitution de 1958 qui lui consacre un titre VII et pas moins de 7 articles. Il est donc instauré pour assurer le contrôle de constitutionnalité(notamment sur les lois avant promulgation),veiller à la régularité des référendums et des éléctions législatives ou présidentielles, jouer un rôle consultatif en cas de recours au procédures exceptionelles de l'art 16 ( de la Constitution), constater l'empêchement pour le chef de l'Etat d'exercer

efforts d’un peuple cohabitantDes gardiens de cette volonté d’intégritéUne intégrité à tout prix accompliUn droit négatif afin d’interdire...…et éviter les sanctions. I. Une équité réalisée par la mise en commun des entitésDans le prologue, se manifeste principalement la volonté de réunir ces deux peuples en utilisant une approche juridique mais il y a également des gardiens protecteurs de ces lois imposéesA. Les efforts d’un peuple cohabitant« Le livre des constitutions » (l.1), ce prologue introduit

française adoptée à une voie près modifie certains articles de la Constitution promulguée le 4 octobre 1958. Cette ultime révision constitutionnelle n'est pas la première depuis son entrée en vigueur il y a plus d'une cinquantaine d'années. D'autres étaient déjà apparues modifiant par exemple le mode d'élection du Président de la République (en 1962) ou encore la durée du mandat (en 2000). Cependant, d'autres articles de la Constitution n'ont pas forcément évolué depuis sa rédaction par Michel Debré

européennes, celle créée en France avait pour seule fonction attendue des pères fondateurs de la Constitution de garantir la séparation des pouvoirs et plus précisément de museler le Parlement dans sa fonction normative (I). Cependant, une évolution fonctionnelle inattendue du juge constitutionnel français est perceptible depuis les années 70, le rapprochant ainsi de ses voisins européens (II). I- le CC, un gardien attendu de la séparation des pouvoirs A- une fonction originelle limitée au musellement

SOMMAIIRE OMMA RE Article 5 de la Constitution de 1958 ............................................................................. 3 I. LE PRESIDENT, GARDIEN DE LA CONSTITUTION ..................... 3 Article 56 de la Constitution de 1958 ........................................................................... 3 Article 54 de la Constitution de 1958 ........................................................................... 4 Alinéa 2 de l’article 61 de la Constitution de 1958 .................