Conscience Malheureuse

de la pitié pour ce femme désabusée, c'est le sort qui semble s'acharner sur elle, qui ne veut pas la lâcher, qui veut sa mort. C'est cette fatalité dont elle est n'est pas maîtresse, elle, pourtant reine, cette fatalité dont elle a parfaitement conscience mais qu'elle ne peut pas dépasser. Tout semble enfermé, écrit d'avance, comme si certains devaient souffrir tout nous prépare à la seule issue possible et au seul acte de liberté que Phèdre peut faire: se donner la mort. La complexité des personnages

satisfaire surtout les besoins charnels de ce dernier. La nuit de noces marquera la fin du bonheur de Jeanne et le bonheur auquel elle a presque été prédisposée par sa joie naïve à son retour du couvent et sa liberté mais aussi le début de la prise de conscience de la réalité, aussi douloureuse soit-elle du mariage. Cependant, l’échec du mariage est montré tout au long du roman notamment lorsque Julien trompe sa femme avec Rosalie la bonne et lui donne un enfant. Jeanne est anéantie mais veut elle aussi

masques invisibles. Dans la scène 3 de l’acte V du drame romantique de Victor Hugo, Don Salluste veut se venger de la Reine. Dans cette scène, il oblige la Reine à signer un parchemin où elle renonce à son titre. Il lui explique qu’elle ne sera pas malheureuse car elle partira avec Ruy Blas dont elle est amoureuse. Ruy Blas en effet, bien que laquais de Don Salluste, se fait passer pour Don César son cousin ce qui lui confère un statut d’homme très important et riche. A force d’arguments convaincants

Entre Aurélien et Bérénice, la longue séparation a créé un abîme et ne fait que confirmer ce que tous deux pressentaient : leur amour n'aura été qu'une chimère. Bérénice avait le goût de l’absolu, elle a vécu selon cette exigence et a acquis cette conscience qui lui fait dire : « Il n’y a vraiment plus rien de commun entre vous et moi, mon cher Aurélien, plus rien. » Cet amour qui n'aura jamais été qu'un besoin d'aimer est au centre de deux parcours, celui d'Aurélien, bourgeois brisé par la guerre

sans connecteur logique) met en relief l'aspect mécanique des gestes que Des Grieux doit accomplir etui sont marqué par le réalisme.. Des Grieux n'extériorise pas ses sentiments : après avoir enterré Manon il attend la mort et perd progressivement conscience, allongé face contre terre à l’endroit où Manon est ensevelie. II) Une scène marquée par le pathétique : 1°) Une scène très romanesque : la situation est tout à fait caractéristique du romanesque : deux jeunes amants, poursuivis par

principe même de lʼironie tragique. Les héros sont écrasés par la fatalité : leurs efforts sont vains, et le public en est conscient.  Le pathétique est provoqué par le décalage entre les espoirs du héros, qui tente d'échapper à son destin, et la conscience qu'a le spectateur de la vanité de ces efforts.  Les silences qui creusent les répliques instaurent également une gêne et un malaise qui se communiquent au spectateur.  Cʼest Madame qui interroge et par moments la scène à des allures dʼinterrogatoire

2.3. Les enfants (Omar) .................................................................................... p. 11 3. Inégalités, pauvreté, discrimination ................................................................... p. 12 4. Prise de conscience paysanne et dénonciation .................................................. p. 13 Conclusion ................................................................................................................ p. 14 Références bibliographiques ..

européen de son temps n’a si profondément marqué l’imaginaire et aussi la conscience morale et politique de sa propre génération et de la suivante. Il était intensément européen parce qu’il appartenait à la frontière de l’Europe et était conscient d’une menace. La menace lui faisait aussi les yeux doux. Il a refusé, mais non sans lutte. Aucun autre écrivain, pas même Conrad, n’est plus représentatif de l’attention et de la conscience occidentale à l’égard du monde non occidental. Le drame interne de son

le poète romantique est une sorte de « mage » 2- L’importance du « Moi » - Ecriture à la 1ère personne  - L’auteur analyse ce que ressent le personnage, ses attentes, ses espoirs, ses déceptions. Il fait part de ses expériences, souvent malheureuses. - Ce lyrisme personnel est perceptible dans les interrogations sur une identité perturbée, dans l’évocation du temps, dans l’expression d’une éternelle insatisfaction, caractéristique du « mal de vivre », « spleen » baudelairien : mouvement

m’enfuir mais celle-ci m’en empêcha en me tenant les poignets. Me débattant du mieux que je pu, j’avais réussi à lui échapper et je vins me réfugier dans la salle de bain. On entendait le son assourdissant des poings de Maria frapper sur cette malheureuse porte. Mes jambes m’entraînèrent jusqu’à la fenêtre de la pièce pour ainsi contempler la banlieue du coin. Je n’ai jamais aimé obéir aux ordres, je préférais vivre de ma propre volonté mais ma situation sociale m’imposait de nombreuses règles. Notamment