Conscience Malheureuse

Ces choix lâ, pas question de les jouer à pile ou face pour s’en débarrasser, bien que cela puisse être un choix de vie! Pour ma part, je pense préférable de les envisager, de peser leurs pours et leurs contres, leurs conséquences heureuses et malheureuses, pour nous… mais aussi pour les autres… Si vous avez choisi de vous soucier des autres… Et puis il y a les ÉNORMES, les “Plus gros que nous”, ceux que l’on aurait voulu n’avoir jamais eu à affronter. que l’on aimerait fuir mais qui sont entrés

espérer un retour de fortune, ou retomber dans les pires craintes. Si, en effet, pendant qu'ils sont dans l'état de crainte, il se produit un incident qui leur rappelle un bien ou un mal passés, ils pensent que c'est l'annonce d'une issue heureuse ou malheureuse et pour cette raison, bien que cent fois trompés, l'appellent un présage favorable ou funeste. PLATON, Phédon Le corps nous empêche d’accéder au réel Tant que nous aurons le corps associés à la raisons dans notre recherche et que notre

mystère du monde. La conscience, l’inconscient « La conscience est toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et

intelligible (rationnalistes). contraire contradictoire amour oblatif captatif 2 Qu’est-ce que la philosophie ? Philosophie : attitude de questionnement, de remise en cause des préjugés, de la doxa (δoξα : opinions, idées reçues) → on prend conscience de son ignorance : – Socrate (399 avt JC) : «Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.» → dialogues aporétiques (sans conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de définir des concepts. Le language doit être l’instrument du vrai

l’empêche de penser réellement à lui, il ne fait que l’emmener vers la mort. Il espère vivre mais ne vis jamais vraiment. Ainsi, l’homme doit séjourner dans l’idée négative de sa mort pour vivre réellement. Mais une fois qu’il a pris pleinement conscience de sa finitude, sa vie, ses actions ont elle encore un sens ? La mort est elle synonyme de la fin d’absolument tout ? Certes, l’homme fuit la mort de par l’angoisse que celle-là lui provoque, mais l’amour qu’il a pour sa vie peut tout autant le

(un des plus grands opéra de milan). L’ambiance très austère, les locaux du journal, le fait de rester enfermé dans son bureau, absorbé par ce travail monotone et fatigant jusque tard dans la nuit, de 1933 à 1939, tous ces éléments font prendre conscience à BUZZATI de la fuite du temps. Mais en sera-t-il toujours ainsi ? Intellectuel raffiné et sensible à l’absurde, BUZZATI, de retour chez lui compose des récits où un puissant sentiment d’étrangeté se dégage de la banalité la plus quotidienne. Il

pour Mme Brignolin. La famille decide donc de déménager à Nantes.  Le voyage pour Nantes permet à Jacques et son père de se “retrouver “. Jacques, qui pensait trouver l'aventure dans cette ville, regrette d’avoir quitté Saint-Etienne.Jacques prend conscience de l'attitude criminelle des adultes quand Louisette,10 ans, meurt sous les coups de son père, M. Bergougnard A 14 ans, Jacques prépare le cycle des «humanités» où il étudie le grec et le latin. Mme Devinol, s'éprent de Jacques. A ses cotés il découvre

la secondarisation de l’écriture. Le génie littéraire des auteurs tels que E.POE, J.P SARTRE, G.FLAUBERT et J.GENET trouve son origine dans la complexité des personnalités de chacun d'entre eux, leur talent est, malgré eux, le fruit de vies malheureuses, d'enfances traumatisantes, d'expériences douloureuses, de mal-être et déceptions...nous retiendrons parmi ces épreuves celle du rapport à la mort, précisément celle du père. Nous remarquons à travers les écrits de SARTRE et de FLAUBERT la violence

d'attitudes possibles: *Stoïque: supporte sa condition, et voit le caractère la norme de la contrainte mais la supporte sa dépend de moi il s'appuie dessus; *Sceptique: absence de conscience des contraintes, il découvre que des contraintes locales et partiels il faut les découvrir *Conscience malheureuse: conscience de la contrainte maximal qu'il subit, ne la supporte pas et impossible de s'en dégager. Conscient du caractère négative de cette évolution et sont convaicus de l'impossible d'agir.

fait social * Ecarter les prénotions et traiter les faits sociaux comme des choses * Définition de l’objet 2/ l’objet suicide : permanence et variabilité II. Expliquer le social par le social 1/ Holsime et conscience collective 2/ réfutaions des causes extras sociales du suicide III. Intégration et régulation : une explication sociologique du suicide 1/ Intégration et régulation : une théorie de la socialisation 2/ la typologie des suicides