Connaitre Scientifiquement

(1896-1960) Entre artiste et technicien, il n’y a qu’une différence de degré chez G. Berger. Différence de nature chez Kant : Kant distingue l’art, la nature, de la science et de la technique L’art et la libre production d’une œuvre pour laquelle connaitre des techniques de production ne suffit pas. Il définit les Beaux-arts «  art de génie » précisant que le génie est la disposition innée de l’esprit, c’est parce que le plaisir que nous prenons à les écouter nous fait interpréter les sens qu’ils émettent

de jugement) • Evaluation : - Développer une compréhension des problèmes qui permette une prise de décision éclairée et l’établissement de plans d’action adéquats. - Savoir utiliser des outils de classifications diagnostiques reconnues scientifiquement. - Apprendre à analyser les forces et compétences et à analyser faiblesses du patient. - Il est aussi utile d’avoir des notions de base en psychopharmacologie. • Intervention : - La théorie et les techniques reliées aux interventions

pas fortuit. 2. L'adulte représente le terme d'un processus de développement qui fait passer l'être humain par plusieurs étapes : l'enfant, l'adolescent, et finalement l'adulte. Comment le passage à l'âge et à l'état adulte est-il abordé scientifiquement ? On peut s'appuyer sur différents exemples de disciplines : la biologie, et diverses branches de la psychologie. * La biologie établit des critères de maturité permettant de reconnaître l'achèvement de la croissance d'un être humain

la meme pour tous ou qui résulte d'un préjugés . Les préjugés sont aussi une forme de conformités sociales , ils regissent des groupes des tendances . En effet nous pouvons attacher une certaine valeur a un préjugés et nous n'avons pas envie de connaitre la vérité car ce prejuges fait que nous appartennons a une société commune , avec les meme valeurs , il y a un sentiment d'appartenance qui rassure , alors on préfére suivre la penséé des autres plutot que de l'affronter et se sentir exclu . De ce

il faut harmoniser le flux d’énergie dans le corps en stimulant les zones réflexes des plantes des pieds. Les occidentaux s’intéressent à cette méthode de guérison orientale à la fin du XIXe siècle. En 1898, le médecin Anglais Henri Head fait connaître sa théorie des « zones d’hyperalgésie » en démontrant que certaines zones de la peau deviennent sensibles au toucher quand un organe du corps est malade. L’américain William Fitzgerald présente sa théories des zones réflexes dans les années 1910

son humanité, ses qualités morales. L’existence de l’âme dépend du corps car sans celui-ci, l’âme se détache de l’individu. Religieusement, elle rejoint Dieu ou réincarne un autre corps et scientifiquement, elle disparait. De plus, l’âme a besoin du corps et du vêtement de l’individu afin de faire connaitre ses pensées. Elle les utilise comme des objets. Cependant, l’âme ou le « moi intérieur » n’est pas complètement maître de ces objets. Comme nous le verrons dans la partie dédiée au vêtement

augmenter la part des salaires et les propriétaires la part des profits. Si la valeur ajoutée est suffisamment élevée, il deviendrait « inutile de se quereller sur son mode exact de répartition ». Pour parvenir à cet objectif, il faut rechercher scientifiquement les procédés de fabrication les plus efficaces. Le Fordisme est basé sur une production standardisée de masse. Au sein d’une même usine que les matières premières se présentaient sur la ligne d’assemblage pour ressortir en voitures achevées à

méthode, la possibilité pour l’homme de se rendre « comme maître et possesseur de la nature », il s’appuie sur l’idée que les lois de la physique, déjà connues et utilisées par les artisans dans leurs différents métiers, doivent aussi permettre de connaître, d’expliquer et de maîtriser les forces de la nature en dégageant une régularité dans les faits naturels. Pour comprendre le fonctionnement des êtres vivants, il suffirait alors de les considérer de la même manière que l’horloger comprend le fonctionnement

21/03/11 Charly TS4 La science permet-elle de connaître la réalité ? La science, ou les sciences, de nos jours, semble être la principale source de connaissance, et parce que telle propriété d’une chose (produits cosmétiques, appareils électroménagers…) est prouvée scientifiquement, alors on admet que cette chose est efficace. Les sciences sont alors de façon générale synonymes de savoir en général

l’histoire répond également à la question du « pourquoi? » et fait intervenir la subjectivité de l’historien. En effet, le fait historique ne prend sens que si l’homme en prend conscience. En ce sens, seul l’homme fait et a une histoire. Mais peut-on la connaître vraiment cette histoire ? Nous soulevons ici un problème d’ordre méthodologique : l’histoire est-elle une science et existe-t-il alors une explication historique comme il existe une explication scientifique des phénomènes ? Ou l’histoire n’est elle