Connaissance De Soi Bergson

d’animal (=des machines) user de signes (parole ou geste) pour exprimer quelque chose qui n’aurait point de rapport a ses passions. 3) Enfin Descartes rejette l’argument de la capacité des animaux à raisonner. Ce n’est pas en combinant leurs connaissances et les principes d’une logique naturelle que les animaux résolvent les problèmes qui se posent à eux, mais “c’est la nature qui agit en eux selon la disposition de leurs organes”. à c’est un effet mécanique, et non un effet rationnel. Les animaux

d’animal (=des machines) user de signes (parole ou gestes) pour exprimer quelque chose qui n’aurait point de rapport à ses passions. 3) Enfin Descartes rejette l’argument de la capacité des animaux à raisonner. Ce n’est pas en combinant leurs connaissances et les principes d’une logique naturelle que les animaux résolvent les problèmes qui se posent à eux, mais “c’est la nature qui agit en eux selon la disposition de leurs organes”. C’est un effet mécanique, et non un effet rationnel. Les animaux

qu'imaginer pour donner à l'homme le moyen de se conserver, vole à Héphaïstos et à Athéna la connaissance des arts avec le feu ; car, sans le feu, la connaissance des arts était impossible et inutile ; et il en fait présent à l'homme. » Platon B La technologie pour acquérir la liberté L'homme utilise la technologie pour acquérir sa liberté. Cette idée est notamment développée par des philosophes comme Bergson. Selon Bergson, l'homme est depuis toujours un technicien au sens étymologique du terme. C'est un

après 1871. Goût de la recherche intellectuelle, scientifique, intègre l’ENS en 1898, et prépare l’agrégation philosophique, reçut premier en 1901. Influences intellectuelles : d’abord impressionné par un prof de philo qu’il a à l’ENS, Henry Bergson ; au cours de ses études jusqu’au moment où il sort, il est marqué par le contexte politique de son époque, l’affaire Dreyfus, et se range avec Durkheim et les durkheimiens dans le camp des défenseurs de Dreyfus, comme Zola ; proche de Jean Jaurès

pertinentes 4, force est de saluer la tentative pour intégrer les recherches les plus contemporaines. La philosophie manifeste deux efforts complémentaires. Elle veut comprendre son temps tout en ne se réduisant pas à une pure et simple actualité. La connaissance et la référence, positive ou négative, à la tradition, constitue une manière de mettre ses pas dans des traces anciennes et de participer à une plus vaste communauté que celle de son temps. La philosophie forme le vœu, plus ou moins secret, de

dont on ne peut se passer par opposition au superflu, à l'accessoire. Mais dans un second sens, c'est ce qui ne peut pas ne pas être , ce qui s'oppose au contingent. La science peut aussi être soit réduite à la connaissance scientifique soit associé au savoir en général, à la connaissance. Dès lors, le sujet demande de s'interroger, dans une comparaison avec la science, sur l'utilité de l'art, sur le rapport de l'homme avec la création artistique aussi bien en tant qu'amateur que de créateur. On

| |ANTIQUITE | |la philosophie, recherche de la sagesse (connaissance de la nature, | |afin de vivre en harmonie avec elle)

l'esthétique ) 2 positions sur l'inspiration: Croit pouvoir expliquer ce phénomène ( vient des Muses → déconsidération de l'artiste car l'artiste inspiré aurait perdu la raison, étant un instrument entre les mains d'un dieu ) celle de Bergson ( 24s après Platon ) : établit un parallèle entre l'inspiration et l'hypnose ( = agir sur la volonté de quelqu'un sans qu'elle s'en rende compte ) : l'artiste, au moment où il créer est en état d'hypnose → art moyen de suppléer au langage ) <=

ainsi que l’acquisition de l’habileté. Lorsque ROUSSEAU parle de l’éducation comme un art, il veut dire qu’aucun savoir théorique ne garantit le succès de l’éducateur. L’art est une pratique éclairée, dont le but est la réussite plutôt que la connaissance et qui s’applique sur les choses sur lesquelles l’homme a un pouvoir.  « Le hasard aime l’art, l’art aime le hasard. » disait ARISTOTE qui voyait dans la technè la manifestation de la liberté de l’Homme. Ainsi on peut dire que l’art, au sens

certain savoir est suggérée par son étymologie ; le mot vient du latin « conscientia », formé du préfixe « cum » signifiant « accompagné », et du radical « scire », « savoir ». La conscience est donc définie comme la faculté d’ajouter à un fait une connaissance, un savoir immédiat de ce fait. « Nous sommes conscients » signifie donc qu’en même temps que nous agissons ou que quelque chose nous arrive, nous savons immédiatement que nous agissons ou que quelque chose nous arrive. Cependant, nous pouvons