Connaissance De Soi Bergson

Mode sensible:  monde que nous percevons, perçue avec les 5 sens, mais au fond il dit que les phénomènes sensibles sont changeants, il n'y a rien de fixe, de stable, tout est en devenir, or si il en est ainsi, alors aucunes connaissances objectives n'est possible, car la connaissance exige qu'elle demeure la même. Donc le monde perçue est un monde illusoire, un monde des apparences, le monde perçue n'est donc pas le monde réel, la réalité sensible n'est pas la vraie réalité. Par exemple, pour Platon

distance est-elle la condition pour devenir reconnaissant de soi par soi, et ainsi me donnerais accès à une existence plus libre et donc plus réfléchie ? Puisque La conscience (cum-scientia : avec science) n’est pas dissociable d’une certaine forme de connaissance I] Prendre conscience de soi, c’est produire une identité Prendre conscience de soi, c’est passer d’une conscience immédiate, d’une perception du monde extérieur et de ses différents états, à une conscience réfléchie, à une conscience de

moins de qualités. L’Homme est le plus fragile de la création, mais c’est un problème, il va s’éteindre. Alors Prométhée, aimant les hommes, va « voler » le feu à Héphaïstos, le feu représente l’énergie, le pouvoir. Il vole à Athéna les Arts, la connaissance. Il veut dire que l’Homme a survécut, a renversé l’ordre des choses grâce à la science et la technique. Zeus punira Prométhée car il va voir en l’Homme un conçurent, l’Homme est comme un « Dieu » dans la nature. Mais il manque à l’Homme une

entière au présent définit justement, pour Bergson, l'inconscience. La conscience tient tout entière dans ce paradoxe: elle nous fait réaliser ce qu'il y a autour de nous en même temps qu'elle nous en sépare irréductiblement. Nos hésitations, nos inquiétudes, nos scrupules nous font assez ressentir cette duplicité par laquelle nous sommes à la fois spectateurs et acteurs de notre existence, engagés et distants, impliqués et en retrait. C'est pourquoi la connaissance échoue à saisir objectivement ce qu'est

engendré par les sens, et qui subsiste malgré la connaissance que l’on a de ce leurre. Par exemple, j’ai beau savoir que la Terre évolue dans l’espace à grande vitesse et en révolution par rapport au soleil, j’ai l’illusion par les sens que notre planète est immobile, parce que mes perceptions sont assez limitées quant à mon environnement. Quant à l’illusion au sens figuré, il s’agit d’un leurre spirituel et qui a tendance à subsister malgré la connaissance que l’on en a . La vie de l’esprit génère t-elle

à laquelle j’appartiens sans pour autant savoir qui je suis en d’autres termes qu’els   sont mes sentiments, mon caractère,   savoir tout ce qui constitue ma personnalité. La connaissance de soi passe d’ailleurs par une bonne connaissance de ce que l’on est puisque si notre point de vue n’est pas objectif   cette connaissance de soi seras faussée.Ainsi nous en arrivons à nous demander si nous sommes les mieux placés pour nous connaître ? Cette question est a priori évidente et sans problème majeur

« perception (intuition) plus ou moins claire des phénomènes qui nous renseigne sur notre propre existence (l’existence de notre activité psychique, de nos actes, du monde, de nous même) ». Définition double :  « c’est la connaissance qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments, et de ses actes. On distingue généralement la conscience spontanée (immédiate) laquelle renvoie à la simple présence de l’homme à lui même au moment où il pense, agit, sent, etc., et la conscience

comprendre le texte ..........................41 Texte 7 : E. HUSSERL (1859-1938) ............................... 42 Pour mieux comprendre le texte ......................... 43 Texte 8 : H. BERGSON (1859-1941) .............................. 44 Pour mieux comprendre le texte ......................... 46 Texte 9 : H. BERGSON (1859-1941) .............................. 46 Pour mieux comprendre le texte ......................... 48 Texte 10 : M. PROUST (1871-1922) ............................... 49 Pour mieux

les civilisations dites primitives et depuis bien des années. Ainsi Bergson affirme dans Les deux sources de la morale et de la religion, 1952 « On trouve des sociétés qui n'ont ni science, ni art, ni philosophie. Mais il n'y a jamais eu de sociétés sans religion ». D'après cette citation, il serait donc difficile de savoir comment l'homme a pu devenir un être religieux puisque la religion est présente avant même son arrivé. Bergson pense que la religion est une création de l'homme, qui l'aurait créée

toi-même » inscrit au fronton du temple de Delphes, un principe fondamental de notre vie, le philosophe allemand NIETZSCHE(1844-1900) estime qu’il s’agit d’une expérience impossible dont l’évocation n’est que plaisanterie.Très vite, la question de la connaissance de soi et, par suite de l’autre, glisse vers le débat sur la nature de l’homme. L’homme, en réalité, est-il un être dominé par la conscience ou au contraire un jouet de l’inconscient ? Sa nature est-elle vraiment insaisissable ?       I.        LA